« Nuit nimraokhen », de Jeanne Perrin
Tout commence par une liste de douze noms et deux des noms vont tenter de comprendre ce qu’il en est au cœur de la Nuit nimraokhen, de Jeanne Perrin.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Tout commence par une liste de douze noms et deux des noms vont tenter de comprendre ce qu’il en est au cœur de la Nuit nimraokhen, de Jeanne Perrin.
Avant cette chronique de Manifesto, de Sunburst, j’avais parlé du groupe en 2016, pour Fragments of Creation, mais ils n’ont pas fait d’albums entre deux.
Bon, pour une fois, je vais vous poser le bilan mensuel création et mécénat du mois de septembre 2024, un peu à la cool. Pas en retard, quoi.
Il y a pas mal de groupes qui annoncent la couleur sur leur nom seul, comme le projet de rock progressif An Endless Sporadic et son album Magic Machine.
Ce samedi 28 septembre, il y avait le CrabCore Fest. Certes, mais il y avait aussi Slift à Annecy. Du coup, désolé les gars, mais ça écrase un peu tout…
Cinq ans avoir échappé à la Fin du Monde – encore! – les membres de la Umbrella Academy se retrouvent avec une nouvelle apocalypse à l’horizon.
Mes conseils en création: « un: pompez; deux: changez les noms ». Wheel n’a sans doute pas suivi ce conseil, mais leur album Charismatic Leaders l’illustre.
Dans la société parfaite d’une ville idéale de l’avenir, Roy se prépare à devenir un immortel, un Éternel-22, titre de ce roman d’Yvan Barbedette.
Quand ProgCritique mentionne Saga dans une de ses chroniques, je ne peux qu’embrayer. Et c’est ainsi que je découvre Magic, le nouvel album de Voyager-X.
Après avoir été peu enthousiasmé par leur précédent opus, j’ai cependant donné une nouvelle chance à Avaland avec The Legend of the Storyteller.
Dans une France ravagée par diverses catastrophes, Pépé est un Alone, qui survit seul (ou pas) et donne son nom à cette intégrale de Thomas Géha.
Histoire de vous casser le cerveau, je pose cet album au milieu d’une séquence prog. Scars of Yesteryears, de Inherits the Void, c’est un poil plus brutal.
J’ai parfois l’impression d’être maudit. Ou très con. Ou les deux. Par exemple en arrivant avec deux heures de retard à la convention La Boîte de Pandoure.
Oneironauts, de Quantum Fantay, c’est l’occasion de ressortir une vieille blague belge, du genre « comment dit-on Ozric Tentacles en Belgique? »
Avec True, de Jon Anderson and the Band Geeks, c’est le retour d’une légende (bien) vivante du rock progressif: le chanteur emblématique de Yes.
Jeudi passé, je me suis lancée dans un exercice casse-gueule et en solitaire: du livestream. La raison officielle, c’est les mille abonnés à Radio-Erdorin.
Nouvelle découverte du duo Rhyme Signatures / Notes Review, Fym, d’Azure, est un concept album que je pourrais qualifier de rock progressif archétypique.
C’est la rentrée, c’est aussi le retour de la Saison des Conventions, qui commence cette année à Morges, avec l’Arcana Festival, édition 2024.
Encore un groupe de metal progressif! Certes, mais The Anchoret est un groupe qui nous emmène dans une autre direction avec It All Began with Loneliness.
Le metal progressif est un genre varié et si je compare Nascence, de The Aphelion, avec le précédent chroniqué, il y a quand même des différences majeures.