Jon Anderson and the Band Geeks: True
Avec True, de Jon Anderson and the Band Geeks, c’est le retour d’une légende (bien) vivante du rock progressif: le chanteur emblématique de Yes.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Avec True, de Jon Anderson and the Band Geeks, c’est le retour d’une légende (bien) vivante du rock progressif: le chanteur emblématique de Yes.
Jeudi passé, je me suis lancée dans un exercice casse-gueule et en solitaire: du livestream. La raison officielle, c’est les mille abonnés à Radio-Erdorin.
Nouvelle découverte du duo Rhyme Signatures / Notes Review, Fym, d’Azure, est un concept album que je pourrais qualifier de rock progressif archétypique.
C’est la rentrée, c’est aussi le retour de la Saison des Conventions, qui commence cette année à Morges, avec l’Arcana Festival, édition 2024.
Encore un groupe de metal progressif! Certes, mais The Anchoret est un groupe qui nous emmène dans une autre direction avec It All Began with Loneliness.
Le metal progressif est un genre varié et si je compare Nascence, de The Aphelion, avec le précédent chroniqué, il y a quand même des différences majeures.
Vous allez rire: j’ai encore oublié le bilan mensuel création et mécénat! C’est donc une nouvelle fois avec un peu de retard que sort celui d’août 2024.
Rhyme Signatures a un don certain pour mettre la patte sur des albums qui sortent de l’ordinaire, comme Portal Hopper, de Mothman and the Thunderbirds.
Sur les Folandes, les elfes se piquent d’idées de suprématie raciale et menacent les Édrulains dans Longues oreilles, idées courtes, d’Étienne Bar.
L’épisode d’août de Radio-Erdorin n’aura ni live, ni bonus: dix albums et moins de vingt-cinq minutes, c’est rafraîchissant. Ce qui est bon à prendre.
Protagoniste des Fauteurs d’Ordre, nouvelle de Jean-Philippe Jaworski, le conseiller Praetor travaille avec zèle à la purification du pays.
C’est au cours d’une des émissions de MoM que j’ai entendu parler de Inner Landscape et de 3h33. Du post-metal en produit régional, ça m’intéresse.
Je ne divulguerai pas grand-chose en disant qu’Edwin et Charles, les détectives titulaires de Dead Boy Detectives, sont des fantômes: c’est dans le titre.
Septembre arrive, avec lui bientôt l’automne et le froid. Alors on va commencer ce mois en douceur avec Lost Places, dernier album en date d’Electric Mud.
Conclusion du diptyque lancé au tome 50, cette nouvelle livraison de Saint-Denis des Amériques, de la série uchronique Jour J, fait la part belle à l’action.
Il y a dix ans, Dawn sortait son deuxième album, Darker, et entamait une série de concert, dont voici un enregistrement, intitulé Live Case à Chocs 2014.
This Is How You Lose the Time War, de Amal el-Mohtar et Max Gladstone, raconte une correspondance entre deux agents ennemis à travers le multivers.
Le metal que est souvent affaire de contraste. Et « contraste » est un peu le maître-mot de Hand of Kalliach sur cet album, Corryvreckan.
Montée des océans, polarisation géopolitique, extinction de masse: l’avenir décrit par Étienne Cunge dans Symphonie atomique n’est guère riant. Sans compter la menace nucléaire.
Autre recommandation en metal progressif venue des vidéastes anglophones, notamment Notes Review: VIII, de Vicinity est classique, mais efficace.