Y.Blues: Adrastia
Un des mèmes du metal, c’est les mélanges bizarres, et aujourd’hui, je vais vous parler de blues-metal avec Adrastia, le nouvel album de Y.Blues.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Un des mèmes du metal, c’est les mélanges bizarres, et aujourd’hui, je vais vous parler de blues-metal avec Adrastia, le nouvel album de Y.Blues.
Certains – rares – groupes sont plus intéressants en album qu’en concert, comme Mars Red Sky, si j’en juge par cet album, Dawn of the Dusk.
Il y a des gens qui aiment bien les concepts, par exemple les post-rockers de Hubble et leur album du même nom, qui parle de conquête spatiale.
Parmi les albums de post-rock de ces dernières années, peu m’avaient fait aussi forte impression que celui de Maudits. Le groupe revient avec Précipice.
Nomen est omen: ce cliché s’applique au groupe Moozoonsii, dont la musique sur leur album Outward est à peu aussi barrée que leur nom.
Il y a des groupes qui semblent mettre un point d’honneur à cocher les cases les plus improbables dans le bingo-metal. Ainsi, Griffon, avec De Republica.
Il y a quelques années, Yohan m’avait contacté pour me l’EP de son projet, Past and Secrets. Il revient avec un nouvel opus, intitulé Another Day, Another Time.
Insérez ici mon laïus habituel sur les groupes de post-rock. Il y a des exceptions, comme flyingdeadman le prouve avec As the hearts stop to beat.
Il y a des albums tellement encensés par la critique qu’on finit par se dire qu’il y a un truc chelou. Et puis il y a Ilion, de Slift, qui est excellent.
Qu’obtient-on quand on mélange Saint-Exupéry et Jacques Chirac? Abracadabrantesque, de Draw Me a Sheep. Du bon, mais du secoué.
Quand Maxwell a annoncé le nouvel EP de son projet Bataille, j’étais plutôt perplexe. Et puis j’ai écouté 5 Magics et je dois dire que c’est plutôt sympa.
France, avenir proche. Une graphiste s’aperçoit que quelqu’un a modifié un de ses souvenirs et c’est le point de départ de Composite, d’Olivier Paquet.
Volkor X ne vient pas en paix. C’est lui-même qui l’annonce et s’autoproclame seigneur galactique suprême. Et cet album, The Loop, lui donne raison.
La nouvelle série vidéo de Pacôme Thiellement, intitulée L’Empire n’a jamais pris fin, m’a happée au long de ces trois longs épisodes déjà parus.
Il y a un an, le Naheulband passait en concert au Pont Rouge de Monthey et samedi, c’était au tour de Magoyond, avec Fire Rain et les Fatals Picards!
Une édition des Restes du samedi variée, du très sombre Faction Senestre au moins sombre Drache, pour finir avec du plus lumineux en la personne de CySev.
Il y a deux ans, Resolve me mettait une grosse claque avec son premier album. Ils reviennent leur nouvel opus, Human; vont-ils me coller le retour?
C’est encore l’esprit quelque peu intoxiqué par Tè Mawon que je me suis attaqué au nouveau roman de Michael Roch, Les Choses immobiles.
Ah, Psygnosis! Mythique studio de jeux vidéos des années 80-90, qui… ah? En fait, c’est Psygnosis, formation française de metal progressif instrumental.
Il y a des affiches auxquelles je peux difficilement résister, comme cette tournée commune « Leather Sacraments » au Château Rouge d’Annemasse.