Slift: Ilion
Il y a des albums tellement encensés par la critique qu’on finit par se dire qu’il y a un truc chelou. Et puis il y a Ilion, de Slift, qui est excellent.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Il y a des albums tellement encensés par la critique qu’on finit par se dire qu’il y a un truc chelou. Et puis il y a Ilion, de Slift, qui est excellent.
Qu’obtient-on quand on mélange Saint-Exupéry et Jacques Chirac? Abracadabrantesque, de Draw Me a Sheep. Du bon, mais du secoué.
Quand Maxwell a annoncé le nouvel EP de son projet Bataille, j’étais plutôt perplexe. Et puis j’ai écouté 5 Magics et je dois dire que c’est plutôt sympa.
France, avenir proche. Une graphiste s’aperçoit que quelqu’un a modifié un de ses souvenirs et c’est le point de départ de Composite, d’Olivier Paquet.
Volkor X ne vient pas en paix. C’est lui-même qui l’annonce et s’autoproclame seigneur galactique suprême. Et cet album, The Loop, lui donne raison.
La nouvelle série vidéo de Pacôme Thiellement, intitulée L’Empire n’a jamais pris fin, m’a happée au long de ces trois longs épisodes déjà parus.
Il y a un an, le Naheulband passait en concert au Pont Rouge de Monthey et samedi, c’était au tour de Magoyond, avec Fire Rain et les Fatals Picards!
Une édition des Restes du samedi variée, du très sombre Faction Senestre au moins sombre Drache, pour finir avec du plus lumineux en la personne de CySev.
Il y a deux ans, Resolve me mettait une grosse claque avec son premier album. Ils reviennent leur nouvel opus, Human; vont-ils me coller le retour?
C’est encore l’esprit quelque peu intoxiqué par Tè Mawon que je me suis attaqué au nouveau roman de Michael Roch, Les Choses immobiles.
Ah, Psygnosis! Mythique studio de jeux vidéos des années 80-90, qui… ah? En fait, c’est Psygnosis, formation française de metal progressif instrumental.
Il y a des affiches auxquelles je peux difficilement résister, comme cette tournée commune « Leather Sacraments » au Château Rouge d’Annemasse.
Klone est un groupe que j’apprécie, mais sans être enthousiasmé, et j’ai encore une fois hésité pas mal de temps avant d’acheter Meanwhile, leur dernier.
Un peu moins d’un mois s’étant passé depuis le concert, je peux donc aborder Rupture, le nouvel album de Lost in Kiev, avec le recul nécessaire.
Le premier album d’Autómata, sorti il y a deux ans, ne m’avait pas enthousiasmé, mais leur nouvel opus, Heart Murmur, propose du bon post-rock cinématique.
Quand L’Usine de Genève annonce du post-rock, je dresse l’oreille. Surtout quand il s’agit de The Ocean, This Will Destroy You et Lost in Kiev.
Il y a cinq ans, à l’occasion du Very Prog Festival, je découvrais Taotopia et son premier album. Ils reviennent avec un nouvel opus, intitulé Glitch.
Je ne sais pas à quoi carburent Arnaud Quevedo et ses potes, mais ce 2nd Life est le troisième album en autant d’années pour Arnaud Quevedo & Friends.
Du neuf, du vieux, du long, du court, du bon et du moins bon: ce sont les Restes du Samedi, avec Magma, Yes et Septénaire.
Avec Afterworld, le nouvel album de Carcariass, j’inaugure une séquence de chroniques dans le genre death/black. Mélodique, certes, mais pas calmes.