Les Restes du Samedi: Magma / Septénaire / Yes
Du neuf, du vieux, du long, du court, du bon et du moins bon: ce sont les Restes du Samedi, avec Magma, Yes et Septénaire.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Du neuf, du vieux, du long, du court, du bon et du moins bon: ce sont les Restes du Samedi, avec Magma, Yes et Septénaire.
Avec Afterworld, le nouvel album de Carcariass, j’inaugure une séquence de chroniques dans le genre death/black. Mélodique, certes, mais pas calmes.
C’est de saison: entre mi-juillet et début août, d’une fête nationale à l’autre, la question du patriotisme resurgit. En tout cas dans ma tête.
Le week-end passé, c’était Guitare en Scène et dimanche, c’était le jour avec Wishbone Ash, Magma et Porcupine Tree à l’affiche. Excusez du peu!
Parmi mes nombreuses lubies, il y a le metal symphonique à voix féminine, comme dans ce Twelve Daemons, le nouvel album d’Alwaid.
Depuis le temps que Wilderun balance des albums géniaux, il est logique que des nouvelles formations s’en inspirent. Comme Stormhaven, avec Blindsight.
Where Mermaids Drown. J’avoue que le nom de ce groupe – là où se noient les sirènes – est pour beaucoup dans mon choix d’écouter cet album, Reminisce.
Au milieu de nouveautés attendues et de découvertes improbables, des groupes osent m’envoyer leurs albums, comme Sunbeam Overdrive pour Diama.
Stömb fait partie de mes groupes préférés. Du coup, l’annonce de leur nouvel album, Massive Disturbed Meta Art a généré en moi un émoi certain.
Parce que je suis un influenceur des intarwebs, One Step Closer, de Pledge of Healing, est un des albums que j’ai reçu en service presse, ces temps.
Quand Max Enix m’a contacté pour me demander de chroniquer Far from Home, je ne savais pas dans quoi je me lançais. En trois mots: cent soixante minutes.
À première vue, j’ai des fans et, parmi ceux-ci, il y a des membres du groupe Omnerod, ce qui les a poussé à m’envoyer leur nouvel album, The Amensal Rise.
J’apprends soudainement – genre, dix jours avant – qu’Aephanemer passe au Manoir Pub de Saint-Maurice, avec Askara et Lethal Technology. Ben, go.
Gérard Fois m’avait dit: « Je vais jouer du prog avec mon projet Heart of Isolation à Urgence Disk, tu viens? » Quand on m’appâte au prog, je suis faible.
Je suis parti pour faire une cure de black-metal ces jours. The Impending Fall of the Stars, de Inherits the Void, n’est ni le premier, ni le dernier.
Caïnan Dawn était au Wild Boar Fest le mois passé, avec son black-metal atmosphérique et j’en avais profité pour prendre leur dernier album en date, Lagu.
Il semble que la période soit aux groupes qui sortent des albums qui, sont un peu répétitifs, voire décevants. C’est le cas, hélas, avec ce Onze de Lazuli.
J’ai longtemps évité Carcariass, assimilé à des styles plus brutaux que ce que je supporte. Mais, après le concert, j’ai pris leur album Planet Chaos.
Je reprends la tradition des concerts d’anniversaire avec, vendredi passé, Samael à l’Usine de Genève, avec Versatile, Carcariass et Kassogtha. Du subtil, donc.
Il est paradoxal qu’un groupe comme Bruit ≤ fasse des albums extrêmement mélodiques, comme c’est le cas ici avec Apologie du temps perdu vol. 1.