Resolve: Between Me and the Machine
Il y a des groupes qui poppent et vous mettent une grosse claque dans la tronche. Par exemple, Resolve et son premier album, Between Me and the Machine.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Il y a des groupes qui poppent et vous mettent une grosse claque dans la tronche. Par exemple, Resolve et son premier album, Between Me and the Machine.
Avec son concept-album The Story of Rose Ola Seks, Monnaie de Singe n’a pas choisi un sujet facile – narrativement, ni musicalement.
Dans le metal, je n’aime pas tout: le thrash, j’ai du mal. Mais s’il y en a effectivement dans Mechanica Temporis, de Downright Malice, il n’y a pas que ça.
Avec A Dream of Wilderness, Æphanemer allait-il atteindre, voire dépasser le niveau de leur excellent précédent album? La réponse est oui… et non.
« Nawak circus metal » est un terme fort adapté à 6:33, groupe français qui vient de sortir Feary Tales for Strange Lullabies: The Dome.
C’est toujours cool de suivre les groupes découverts à leur premier album et voir leur évolution. Par exemple, Embryo le deuxième album d’Altesia.
C’est via un contact de la chanteuse Ingrid Denis que j’ai découvert le groupe parisien Oscil et son premier album, First Step on My Moon.
Et voici donc SurVive, le nouvel album de Eternal Flight, un groupe de power-metal venu d’All… euh, de Suèd, euh… attendez. Ah, ben, de la région, en fait.
Ce concert de DVNE et Déluge aux Caves du Manoir de Martigny, j’ai bien cru que je ne le verrai jamais. Mais il y a des miracles même pour les metaleux.
Exanimis propose un impressionnant premier album intitulé Marionnettiste et qui donne carrément dans le death-metal symphonique.
À l’intitulé, vous la sentez comment, la dissonance cognitive? Eh bien Abysses, de Wÿntër Ärvń, est exactement ce à quoi vous ne vous attendez pas.
Opus de post-rock en demi-teintes pour finir un mois d’août en demi-teintes: c’est le premier album d’Autómata, qui porte le même nom que le groupe.
Encore un groupe français qui prouve qu’on peut faire du prog-metal instrumental sans être chiant: Intraveineuse et son Chronicles of an Inevitable Outcome.
Visions of Dystopia invoque des sonorités power-prog-metal. A Nightmare on Dystopian Street, fait penser aux films d’horreur des années 80-90.
Je ne chronique pas souvent des « grands » groupes de metal. Ça arrive quand le groupe flirte avec le prog – comme c’est le cas avec Fortitude, de Gojira.
Les Restes du samedi, c’est souvent pour moi un constat d’échec. Avec les albums d’Avaland, Equals Infinity et Sólstafif, auxquels je n’ai pas accroché.
Récemment, j’écrivais que la synthwave tourne en rond. Rien que pour me faire mentir, voici Lustful Sacraments, nouvel album de Perturbator!
Soudainement, sur Facebook, un inconnu me propose d’aller écouter son album. Témoin le bassiste de Caeli Concept avec son EP The Dark Playground.
Le nouvel album du Voyage de Noz, intitulé Il semblerait que l’amour fut, imagine un monde où une pandémie fait disparaître l’amour. Peut-être.
Derrière sa couv’ façon Druillet, le duo breton Vaisseau propose un premier album, intitulé Horrors Waiting in Line, de space-rock un peu vintage.