Stömb: Massive Disturbed Meta Art
Stömb fait partie de mes groupes préférés. Du coup, l’annonce de leur nouvel album, Massive Disturbed Meta Art a généré en moi un émoi certain.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Stömb fait partie de mes groupes préférés. Du coup, l’annonce de leur nouvel album, Massive Disturbed Meta Art a généré en moi un émoi certain.
Parce que je suis un influenceur des intarwebs, One Step Closer, de Pledge of Healing, est un des albums que j’ai reçu en service presse, ces temps.
Quand Max Enix m’a contacté pour me demander de chroniquer Far from Home, je ne savais pas dans quoi je me lançais. En trois mots: cent soixante minutes.
À première vue, j’ai des fans et, parmi ceux-ci, il y a des membres du groupe Omnerod, ce qui les a poussé à m’envoyer leur nouvel album, The Amensal Rise.
J’apprends soudainement – genre, dix jours avant – qu’Aephanemer passe au Manoir Pub de Saint-Maurice, avec Askara et Lethal Technology. Ben, go.
Gérard Fois m’avait dit: « Je vais jouer du prog avec mon projet Heart of Isolation à Urgence Disk, tu viens? » Quand on m’appâte au prog, je suis faible.
Je suis parti pour faire une cure de black-metal ces jours. The Impending Fall of the Stars, de Inherits the Void, n’est ni le premier, ni le dernier.
Caïnan Dawn était au Wild Boar Fest le mois passé, avec son black-metal atmosphérique et j’en avais profité pour prendre leur dernier album en date, Lagu.
Il semble que la période soit aux groupes qui sortent des albums qui, sont un peu répétitifs, voire décevants. C’est le cas, hélas, avec ce Onze de Lazuli.
J’ai longtemps évité Carcariass, assimilé à des styles plus brutaux que ce que je supporte. Mais, après le concert, j’ai pris leur album Planet Chaos.
Je reprends la tradition des concerts d’anniversaire avec, vendredi passé, Samael à l’Usine de Genève, avec Versatile, Carcariass et Kassogtha. Du subtil, donc.
Il est paradoxal qu’un groupe comme Bruit ≤ fasse des albums extrêmement mélodiques, comme c’est le cas ici avec Apologie du temps perdu vol. 1.
Un concept-album de rock progressif sur la Renaissance, c’est rare. The Rise of Medici en est un récent exemple, sous la houlette du projet Imaginaerium.
Pour se remettre dans le bain des concerts, rien de tel qu’une scène du coin. Avec ici Trank, Backwater et Eternal Flight à la Barakason de Thônex.
Etwas, pour Enochian Keys – Chvpter I., est le deuxième groupe français que je chronique et qui donne dans le black-metal symphonique à chant lyrique.
Je ne raffole pas des splits, ces album où deux groupes se partagent l’espace. J’ai fait une exception ici. Surtout parce qu’il s’agit de Maudits et de Saar.
Watching Worlds Collide, le nouvel album d’Esthesis, me promettait du prog à la Porcupine Tree, il n’y a donc pas vraiment besoin de pousser très fort.
Le post-rock et moi, c’est compliqué. ἈNÁΓKH, le nouvel album de Cøllapse, ne renversera pas la tendance à lui seul, mais il est très intéressant.
Ça fait un moment que je suis Scarlean et j’ai précommandé leur nouvel album Silence, tout en me demandant à quelle sauce celui-ci serait.
J’ai reçu le nouvel album de Magoyond, Necropolis, et si je n’en attendais pas forcément grand-chose. Je dois avouer que cet album est une bombe!