Trank / Backwater / Eternal Flight à Thônex
Pour se remettre dans le bain des concerts, rien de tel qu’une scène du coin. Avec ici Trank, Backwater et Eternal Flight à la Barakason de Thônex.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Pour se remettre dans le bain des concerts, rien de tel qu’une scène du coin. Avec ici Trank, Backwater et Eternal Flight à la Barakason de Thônex.
Etwas, pour Enochian Keys – Chvpter I., est le deuxième groupe français que je chronique et qui donne dans le black-metal symphonique à chant lyrique.
Je ne raffole pas des splits, ces album où deux groupes se partagent l’espace. J’ai fait une exception ici. Surtout parce qu’il s’agit de Maudits et de Saar.
Watching Worlds Collide, le nouvel album d’Esthesis, me promettait du prog à la Porcupine Tree, il n’y a donc pas vraiment besoin de pousser très fort.
Le post-rock et moi, c’est compliqué. ἈNÁΓKH, le nouvel album de Cøllapse, ne renversera pas la tendance à lui seul, mais il est très intéressant.
Ça fait un moment que je suis Scarlean et j’ai précommandé leur nouvel album Silence, tout en me demandant à quelle sauce celui-ci serait.
J’ai reçu le nouvel album de Magoyond, Necropolis, et si je n’en attendais pas forcément grand-chose. Je dois avouer que cet album est une bombe!
Je ne suis pas fan de Lovecraft, mais j’ai plutôt été impressionné par Les Enfants de Dagon, des Français qui se lancent avec un premier album, De Profundis.
Une sonde traverse l’espace pour observer un signal mystérieux. La sonde s’appelle Étrange; c’est aussi le nom de ce projet dont le nouvel album est Énigme.
Et allez c’est reparti pour une nouvelle édition d’OctoGônes, la grande convention de jeux lyonnaise – peut-être même la plus grande de France!
Six ans après leur premier album, le groupe français de rock progressif Audio’m revient avec un nouveau projet ambitieux, le concept-album Godzilla.
Dans la France de 1949, le jeune Atom Vercorian essaye de faire survivre son agence de détective privé, Atom Agency.
Juillet semble être placé sous le signe des néons cyberpunks, comme le prouve le nouvel album de The Algorithm, Data Renaissance.
Un tueur implacable, les néons de la ville, des créatures indicibles, des synthétiseurs en pagaille: Leather Terror, de Carpenter Brut.
Final Light peut se décrire par « une collaboration entre James Kent, de Perturbator, et Johannes Persson, chanteur et guitariste de Cult of Luna ».
On va être poli et dire que l’actuelle séquence électorale française n’est pas exactement brillante.
Ça faisait un moment que cet album traînait au fond de ma liste de veille musicale. Pourtant, Flower Torania, de Zio, a de solides arguments à faire valoir.
Alors non, bande de petits malins: ce n’est pas grâce à Clair & Obscur et que j’ai découvert cet album au double visage, Clair Obscur, de Gabriel Keller.
Si je m’étais fié à la seule pochette, je n’aurais sans doute jamais acheté Original Worlds, de Chance. Et je serais passé à côté d’un truc plutôt sympa.
Horns, tel est le nom de ce projet et de son album éponyme (à moins que ce ne soit le contraire), qui mélange swing, jazz façon big-band et metal.