Shores of Null: The Loss of Beauty
Nouvel épisode de mes séquences de rattrapage autour de groupes vus récemment en concert, voici The Loss of Beauty, le nouvel album de Shores of Null.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Nouvel épisode de mes séquences de rattrapage autour de groupes vus récemment en concert, voici The Loss of Beauty, le nouvel album de Shores of Null.
Bienvenue à l’Undertown de Meyrin pour une soirée de mélancolie morbide et de ténèbres pesantes, avec Shores of Null, Avatarium et Swallow the Sun.
Le musicien masqué qui se fait appelé Him a donné naissance au projet de metal progressif Sermon, dont voici le deuxième album, Of Golden Verse.
The Garden, de Hanging Garden, c’est du death-metal mélodique teinté de doom, ou peut-être le contraire. Mais dans tous les cas, c’est vraiment bien.
Aux frontières du prog et du metal extrême, Song of Salvation de Dream Unending, un album où le metal surfe du côté death, doom, gothique.
Si j’en juge par les trois premières minutes d’Ayam, leur nouvel album, Disillusion est un groupe de death-prog-goth-doom symphonique.
Du doom, du metal, du rock progressif seventies: bienvenue dans l’univers musical de Dreadnought pour leur nouvel album, The Endless.
Le post-rock et moi, c’est compliqué. Mais parfois je tombe sur un album qui sort un peu de l’ordinaire, comme Unmarked Boxes de Daxma.
Tiens, un groupe de post-rock; ça faisait longtemps. Gods, nouvel album du groupe français SaaR, n’est pas une révolution, mais il a un côté rafraîchissant.
Moonflowers, de Swallow the Sun, est un autre album qui a fait pas mal de bruit et quil m’a fallu un moment pour écouter. Spoiler: c’est très bien.
Arriver 20 minutes en retard à un concert de doom, c’est rater le premier morceau. Shemurah, de Black Willows, prouve que la blague a un fond de vérité.
Les Restes du samedi, c’est souvent pour moi un constat d’échec. Avec les albums d’Avaland, Equals Infinity et Sólstafif, auxquels je n’ai pas accroché.
Dans la série « on a ça chez nous? », les Genevois de Impure Wilhelmina, avec leur nouvel album de post-metal, Antidote.
Metamorphosis, de The Circle, est un EP avec des grandes ambitions. Il allie death, black, doom et – allez, soyons fous! – prog-metal.
Avec Quiétude Hostile, de Demande à la Poussière, j’ouvre une semaine musicale plutôt brutale. À l’apex se trouve ce groupe français de post-hardcore.
Après Deathless Legacy, voici Beyond the Shores de Shores of Null. Musicalement différent, ce groupe italien propose aussi une piste unique et un film.
Le premier album de Maudits s’appelle aussi Maudits. Et la première piste s’intitule “Maudits”. Bref, c’est du post-metal et c’est très bien.
Ce nouvel album de Secrets of the Moon, Black House, me rappelle ma période goth (Sisters of Mercy, Fields of the Nephilim) et aussi The Cult.
Après Kælan Mikla, voici une autre occurence de la ligature æ avec Mænad, album de E-L-R. Et c’est aussi une formation à forte composante féminine.
J’avoue: si j’ai acheté Dawn of Ages, après avoir découvert l’existence de ce projet via Angry Metal Guy, c’est parce c’est marqué Arduini/Balich sur la couverture. Enfin, c’est surtout le nom d’Arduini qui m’a poussé en ce sens: c’est mon fanboy Fates Warning qui parle.