Madder Mortem: Old Eyes, New Heart
L’adage nomen est omen se vérifie souvent, comme avec Madder Mortem, à la fois cinglé et macabre. La preuve avec ce nouvel album, Old Eyes, New Heart.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
L’adage nomen est omen se vérifie souvent, comme avec Madder Mortem, à la fois cinglé et macabre. La preuve avec ce nouvel album, Old Eyes, New Heart.
Nouvel épisode de mes séquences de rattrapage autour de groupes vus récemment en concert, voici The Loss of Beauty, le nouvel album de Shores of Null.
Rattrapage musical post-concert avec Lights of Night, d’Askara, récupéré dans la foulée de leur concert en première partie d’Aephanemer à Saint-Maurice.
The Garden, de Hanging Garden, c’est du death-metal mélodique teinté de doom, ou peut-être le contraire. Mais dans tous les cas, c’est vraiment bien.
Moonflowers, de Swallow the Sun, est un autre album qui a fait pas mal de bruit et quil m’a fallu un moment pour écouter. Spoiler: c’est très bien.
En novembre, je m’étais rendu à la Citadelle, le bar-metal de Genève, pour la release-party de ce Sounds of Dark Matter, de Nightshade.
OK, les comiques: on vous voit avec vos jeux de mots sur Hermitage, le dernier album de Moonspell. « Dark Side of the Moonspell » ou « Moonspeth »?
Après Deathless Legacy, voici Beyond the Shores de Shores of Null. Musicalement différent, ce groupe italien propose aussi une piste unique et un film.
Parfois, je peine à aligner trois paragraphes sur un album, et parfois, il y a des EP, comme ce Saturnalia de Deathless Legacy, qui m’inspirent.
Ce nouvel album de Secrets of the Moon, Black House, me rappelle ma période goth (Sisters of Mercy, Fields of the Nephilim) et aussi The Cult.
Ça me surprend toujours de lire sur Angry Metal Guy la chronique d’un groupe de folk, comme ce Aether de The Moon and the Nightspirit.
Black Anima, nouvel album de Lacuna Coil, sonne comme une résurrection pour un groupe qui m’a longtemps frustré avec ses albums qui s’épuisaient rapidement.
Dernier concert de l’année et double dose de metal méditerranéen, avec les Grecs de Rotting Christ et les Portugais de Moonspell, plus les Jurassiens de Silver Dust.
Il faut dire ce qui est: le death mélodique, c’est cool, mais ça se prend quand même pas mal au sérieux. C’est pourquoi l’arrivée de Devilment sur ma platine, avec leur deuxième album, The Mephisto Waltzes, sonne comme un souffle d’air frais – mais plus metal que air, en fait.
Vous vous souvenez peut-être que, pour la chronique de Mobius il y a quelques jours, j’avais mentionné que le groupe m’avait été recommandé par une double chronique de Fred Bezies. L’album Sleep Now, Quiet Forest, de Todesbonden, est le seconde recommandation de cette chronique, également en metal symphonique.
On va encore dire que j’arrive après la bataille, mais lors d’un de mes séjours “de travail” à la Citadelle (= bosser sur Freaks’ Squeele en buvant des bières), je suis tombé sur l’album The Turn of the Tides de Empyrium, datant de 2014. Techniquement, c’est du metal; dans les faits, ça ressemble à tout, quoi que pas exactement, sauf à ça.
J’avoue: si je me suis intéressé à The Unknown, le dernier album du duo allemand connu sous le nom de The Vision Bleak, c’est via une chronique de Angry Metal Guy qui me promettait du metal gothique à la Moonspell. Selon l’expression consacrée, il y en a aussi.
Or donc, on a un groupe qui s’appelle Secrets of the Moon et qui fait un album intitulé Sun. C’est rigolo. Mais ce n’est pas pour cela que je l’ai acheté. À vrai dire, je ne sais plus trop pourquoi je l’ai acheté, sinon que c’était à La Citadelle, mais je ne le regrette pas non plus.
Dans la série des groupes que j’aime bien sans trop savoir pourquoi, il y a Crematory. Leur dernier album, Monument, est cependant assez bizarre: si le groupe a longtemps fait dans le metal-indus façon Rammstein – que j’appelle aussi le insulte-moi-en-allemand-metal – il a tendance ici à se diriger vers des styles plus doom-goth.