Todesbonden: Sleep Now, Quiet Forest

Todesbonden: Sleep Now, Quiet Forest

Vous vous souvenez peut-être que, pour la chronique de Mobius il y a quelques jours, j’avais mentionné que le groupe m’avait été recommandé par une double chronique de Fred Bezies. L’album Sleep Now, Quiet Forest, de Todesbonden, est le seconde recommandation de cette chronique, également en metal symphonique.

Empyrium: The Turn of the Tides

Empyrium: The Turn of the Tides

On va encore dire que j’arrive après la bataille, mais lors d’un de mes séjours “de travail” à la Citadelle (= bosser sur Freaks’ Squeele en buvant des bières), je suis tombé sur l’album The Turn of the Tides de Empyrium, datant de 2014. Techniquement, c’est du metal; dans les faits, ça ressemble à tout, quoi que pas exactement, sauf à ça.

Crematory: Monument

Crematory: Monument

Dans la série des groupes que j’aime bien sans trop savoir pourquoi, il y a Crematory. Leur dernier album, Monument, est cependant assez bizarre: si le groupe a longtemps fait dans le metal-indus façon Rammstein – que j’appelle aussi le insulte-moi-en-allemand-metal – il a tendance ici à se diriger vers des styles plus doom-goth.

Killing Joke: Pylon

Killing Joke: Pylon

Le premier qui invoque la nostalgie pour justifier mon amour pour Killing Joke, dont Pylon est le dernier album en date, risque de gros ennuis. Les suivants aussi. Même s’il est vrai qu’objectivement, c’est un groupe qui me rappelle des souvenirs – mais pas forcément ceux des années 1980 (et notamment “Love Like Blood”).

Deathwhite: Solitary Martyr

Deathwhite: Solitary Martyr

Deathwhite est un projet de métal progressif, tendance gothico-dépressif, dont on ne sait pas grand-chose sinon que Solitary Martyr est leur second EP en date. Visiblement, le groupe aime ses petits secrets et, si l’on en croit la chronique de Angry Metal Guy qui a attiré mon attention, personne ne sait réellement qui se cache derrière.

Manes: Be All End All

Manes: Be All End All

Il fut un temps où Manes était un groupe de black-metal norvégien; mais ça, c’était avant. Depuis quelques albums, le groupe se dirige vers des rivages bien plus improbables, comme le prouve ce Be All End All, dernier album en date du groupe, que l’on croyait pourtant défunt après Vilosophe, en 2003, et How the World Came to an End en 2007 (que j’ai manqué).