Septicflesh: Modern Primitive
Le metal, c’est quand même un truc de bourrin. La musique symphonique, aussi. Septicflesh mélange les deux et ça donne Modern Primitive.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Le metal, c’est quand même un truc de bourrin. La musique symphonique, aussi. Septicflesh mélange les deux et ça donne Modern Primitive.
Avec Colosseum, le nouvel album de W.E.B, on est dans le domaine du black-metal symphonique façon « guerre mondiale contre Satan et Cthulhu ».
La créativité est souvent une question de frontière. Par exemple, Ego Path, de The Silent Wedding, flirte avec power-metal, prog-metal et symphonique.
Dans la famille « rock progressif moderne », voici Guppy Fish et son album The Fall of Man. Tiens, c’est encore un groupe grec.
Within Progress, groupe de metal progressif, m’a contacté pour leur nouvel album, Inner. Si je ne les savais pas grecs, j’aurais pu les croire australiens.
Pour ces Restes du Samedi, un album acoustique d’Anneke van Giersbergen, du death-metal avec Nightfall et du mélodeath/indus pour Nuclear Winter.
Il y a quatre ans, je tombais sur Need, un groupe grec de metal progressif. Leur nouvel opus s’intitule Norchestrion: a song for the end.
Si vous suivez un chouïa l’actualité du jeu vidéo, vous avez sans doute entendu parler de Hades. Je m’y suis mis, mais peut-être pas pour la raison que vous pensez.
Prenez 140 musiciens classiques, 3 200 Mexicains surexcités, un théâtre classique et Septicflesh, vous obtiendrez Infernus Symphonica MMXIX.
Quand deux personnes distinctes me disent « tu devrais jeter un oreille sur Villagers of Ioannina City, c’est cool », je finis par acheter Age of Aquarius.
Dernier concert de l’année et double dose de metal méditerranéen, avec les Grecs de Rotting Christ et les Portugais de Moonspell, plus les Jurassiens de Silver Dust.
J’avoue que la première chose qui a attiré mon attention sur Mother of Millions et leur troisième album Artifacts, c’est le fait que ce soit un groupe grec. J’avoue volontiers un atavisme un peu débile pour les groupes de prog aux origines « exotiques ».
Et voilà le retour du groupe dont je ne parle que le samedi, pour éviter d’avoir des conversations gênantes avec mes collègues théologiens. J’ai nommé, bien sûr, Rotting Christ, qui cette fois-ci cumule avec un album intitulé The Heretics.
Pour ces Restes du samedi de fin d’année, je vous propose un trio d’albums courts venus d’horizons divers: folk-rock alternatif avec Calaveyre, metal progressif expérimental avec Oh et guitar-hero prog avec Plini. Et en prime, un mini-tour du monde, qui part de la Bretagne pour aller en Australie via la Grèce.
Le post-metal, quelque part, c’est un peu l’idée de poser des ambiances mélodiques, majestueuses et mélancoliques évoquant la fin d’un monde, puis d’avoir par-dessus quelqu’un qui hurle sa rage et refuse ce destin. En gros. Illustration avec Throes, du groupe grec Allochiria, découvert via Angry Metal Guy.
Le hasard de l’ordre alphabétique dans mes listes de lecture fait que je retrouve parfois des albums qui se ressemblent. Ainsi, ce nouvel album de Septicflesh, Codex Omega, situé juste à la suite du dernier opus de Samael. Dans le genre “suite de délicatesses”, on ne fait pas beaucoup mieux.
J’admets: vous avez le droit de ricaner. Si Gravitysays_i ne gagne pas le pompon du nom de groupe de prog le plus prog, je ne sais pas ce qu’il faut! Cela dit, si je vous en cause, c’est surtout à cause de leur album, Quantum Unknown, dont le titre résume lui aussi assez bien le concept.
Ce mois de février a été riche en découvertes, surtout dans le domaine du prog moderne. Hegaiamas est le dernier album d’un groupe grec, Need, qui opère à la frontière entre rock progressif et métal progressif et qui prouve que c’est souvent sur les frontières qu’il se passe des choses intéressantes.
Dans la série des gens qui n’ont rien inventé, mais qui font quand même des trucs vachement bien, aujourd’hui les gens c’est le groupe grec Sunburst et le truc en question, c’est le power-metal prog/symphonique de leur album Fragments of Creation, découvert grâce à Angry Metal Guy.
Parmi les groupes que j’évite de mentionner au bureau, Rotting Christ, dont le nouvel album, Rituals, vient de sortir, figure en assez bonne place. Je vous laisse deviner pourquoi je publie cet article un samedi – et j’ai été gentil, je ne l’ai pas fait le samedi de Pâques.