King Buffalo: Regenerator
Il faudra dire à King Buffalo que trois albums en quinze mois, c’est un peu abusé. Cela dit, Regenerator est la conclusion d’une trilogie psychédélique annoncée.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Il faudra dire à King Buffalo que trois albums en quinze mois, c’est un peu abusé. Cela dit, Regenerator est la conclusion d’une trilogie psychédélique annoncée.
Elder revient avec un Innate Passage qui fleure bon le psychédélique, les ambiances électriques et planantes et les produits qui font rire.
A Story of Darkness & Light est un album commun d’Eldovar, projet composé de la formation allemande Kadavar et du groupe américain Elder.
On ne les arrête plus: Acheron est le troisième album de King Buffalo en moins de deux ans et ce nouvel album est excellent.
Mastodon et moi, c’est compliqué, mais ça ne m’a pas empêché de ramasser leur petit dernier, Hushed and Grim, que l’on m’avait promis plus prog.
Je ne pouvais pas rater ce concert-vernissage de Dinner and Whiskey Next Week et Dr Haze and the Wise Lizardz, au Groove de Genève.
And Beyond est le nouvel album de Dr Haze and the Wise Lizardz, formation genevoise qui flirte avec le stoner, le psychédélique et le prog à l’ancienne.
Arriver 20 minutes en retard à un concert de doom, c’est rater le premier morceau. Shemurah, de Black Willows, prouve que la blague a un fond de vérité.
On termine cette Semaine Brutale par ce qui est peut-être l’album le plus accessible du lot: l’excellent Etemen Ænka, du groupe écossais DVNE.
À la sortie de Omens, le nouvel album d’Elder, j’ai hésité un temps. Au final, cet album de prog-stoner-psychédélique s’avère impressionnant.
Obscuroscope est le nouvel album d’Astrosaur, un groupe norvégien de gros rock instrumental qui tache, quoiqu’un peu trop vintage à mon goût.
Ça faisait longtemps que je n’avais pas fait un vrai “restes du samedi”; les derniers étaient toujours plutôt thématiques. Celui-ci, avec le stoner/psychédélique de Dr Haze & the Wise Lizardz, le rock progressif de Keor et le metal énervé de The Vostok, est plutôt varié.
Je ne sais pas si mes récentes réflexions sur la baisse d’intérêt de la production post-rock actuelle ont eu un effet (spoiler: non), mais voici que Sphere, le nouvel album des Suisses de Monkey3, vient me faire mentir après l’exceptionnel Achromata d’Aesthesys.
Il est heureux que les Américains de Mastodon aient choisi de nommer leur nouvel album Emperor of Sand et n’aient pas cédé à la mode d’omettre le titre. Sinon, j’aurais été embêté, rapport au réseau social homonyme dont j’ai parlé il y a peu.
Après avoir écouté Astra Symmetry, le dernier album de Monkey3, je me demande si je ne vais pas lancer l’idée d’un nouveau genre musical: le rétro-post. Histoire de pouvoir caser tous ces groupes qui poussent le post-rock jusqu’à faire faire du rock prog/psychédélique comme dans les années 1970.
Ales Campanelli, le bassiste et chanteur de The Erkonauts, a une habitude assez sympathique pour son anniversaire: il organise un concert de metal avec des potes. C’était déjà le cas l’année passée et, cette année, c’était le groupe français de death-metal mélodique Forsaken World et le stoner genevois de Cosmosonic qui encadrait sa formation, pour un concert 100% local et 100% metal à l’Écurie.
Je précise tout de suite que Elder et son troisième album, Lore, m’ont été recommandés par quelqu’un, mais je ne me souviens plus qui. L’argument étant “j’ai lu tes chroniques musicales (“ah, c’était toi?”) et à mon avis, ça devrait te plaire.” Pour reprendre une expression entendue récemment, disons que je ne déteste pas.
Comment qualifier The Mountain Ghost, le – court – album du groupe anglais Kylver? Post-metal vintage? Psychédélique lourd? Stoner progressif? Ou juste “excellent”?
Avec Stoner Road, le roman de Julien Heylbroeck, je continue dans mon petit périple dans les contrées littéraires du “sex, drugs, magic and rock’n’roll” (après Perkeros et Armageddon Rag). C’est un peu un hasard, parce que j’ai acheté le bouquin à l’origine par pur copinage, mais il se trouve que ça tombait pile-poil dans le flux.