Chance: Original Worlds
Si je m’étais fié à la seule pochette, je n’aurais sans doute jamais acheté Original Worlds, de Chance. Et je serais passé à côté d’un truc plutôt sympa.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Si je m’étais fié à la seule pochette, je n’aurais sans doute jamais acheté Original Worlds, de Chance. Et je serais passé à côté d’un truc plutôt sympa.
J’ai récemment parlé de Thomas Jamet pour un intéressant EP de metal progressif instrumental. Au point de m’inciter à prendre son album, Moment of Inertia.
J’aurais pu placer Æonia de What Aleph Said, dans le panel post-rock du mois passé. Bon, ce n’est pas plus mal non plus de le séparer de la masse.
À l’intitulé, vous la sentez comment, la dissonance cognitive? Eh bien Abysses, de Wÿntër Ärvń, est exactement ce à quoi vous ne vous attendez pas.
Opus de post-rock en demi-teintes pour finir un mois d’août en demi-teintes: c’est le premier album d’Autómata, qui porte le même nom que le groupe.
Encore un groupe français qui prouve qu’on peut faire du prog-metal instrumental sans être chiant: Intraveineuse et son Chronicles of an Inevitable Outcome.
Visions of Dystopia invoque des sonorités power-prog-metal. A Nightmare on Dystopian Street, fait penser aux films d’horreur des années 80-90.
Soudainement, sur Facebook, un inconnu me propose d’aller écouter son album. Témoin le bassiste de Caeli Concept avec son EP The Dark Playground.
Godspeed You! Black Emperor n’est pas facile à chroniquer. Mais ce G_d’s Pee AT STATE’S END! va vraiment très loin dans le tarabiscoté!
On n’y croyait plus, après plus de vingt ans d’attente, mais il est là: LTE3, le troisième album de Liquid Tension Experiment est enfin arrivé!
Face à un nom tel que Retrofuture Caveman, de Methadone Skies, je parierais volontiers sur du prog. Raté: c’est du post-rock.
Derrière sa couv’ façon Druillet, le duo breton Vaisseau propose un premier album, intitulé Horrors Waiting in Line, de space-rock un peu vintage.
Encore un groupe de post-rock banal, en apparence: Bruit ≤ et The Machine is burning and now everyone knows it could happen again. Sauf que non.
Autre album difficile à chroniquer, Ghost Tapes #10, de God Is an Astronaut, un album qui ressemble à un retour à la normale, ou peut-être pas.
Fragments of Light, de Stellar Death, est un album de post-rock à thématique spatiale qui sort – un peu – des sentiers battus.
J’associe le post-rock aux grands espaces ou aux paysages interstellaires. Il en existe une variante plus sombre, comme Duna de Flash the Readies.
Allons tout de suite à l’essentiel: c’est donc à From Nihil de Stömb, que j’ai décidé de décerner le titre d’Album de l’Année 2020.
Chroniquer des albums qui datent, c’est risquer de se faire rattraper par l’actualité. C’est le cas avec Oscillate, nouvel album de pg.lost.
Le premier album de Maudits s’appelle aussi Maudits. Et la première piste s’intitule “Maudits”. Bref, c’est du post-metal et c’est très bien.
Voyages psychédéliques, rencontres du douzième type et zigouigouis électroniques, bienvenue sur Space for the Earth, d’Ozric Tentacles!