Electric Mud: Lost Places
Septembre arrive, avec lui bientôt l’automne et le froid. Alors on va commencer ce mois en douceur avec Lost Places, dernier album en date d’Electric Mud.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Septembre arrive, avec lui bientôt l’automne et le froid. Alors on va commencer ce mois en douceur avec Lost Places, dernier album en date d’Electric Mud.
Le rock progressif inclut une nébuleuse de divers sous-genres. Ainsi, l’album de Deposed King, One Man’s Grief, incorpore une vaste quantité d’influences.
Parmi les albums de post-rock de ces dernières années, peu m’avaient fait aussi forte impression que celui de Maudits. Le groupe revient avec Précipice.
Il est temps de rattraper la bourde de cette semaine et d’écouter l’intégralité de Every Sound Has A Color In The Valley Of Night, l’album de Night Verses.
Je vais raccourcir le nom de cet album de Night Verses, Every Sound Has A Color In The Valley Of Night, part 1, en « Every Sound 1 », parce que bon.
Insérez ici mon laïus habituel sur les groupes de post-rock. Il y a des exceptions, comme flyingdeadman le prouve avec As the hearts stop to beat.
Résumé: en 2002 se crée Slumber, qui sort un unique album en 2004. Le groupe splite en 2011, mais se reforme sous le nom AtomA et sort Skylight en 2012.
Huit ans qu’on attendait cet album de Earthside! Let the Truth Speak à la tâche de succéder à l’exceptionnel A Dream in Static, sera-t-il à la hauteur?
Le premier album d’Autómata, sorti il y a deux ans, ne m’avait pas enthousiasmé, mais leur nouvel opus, Heart Murmur, propose du bon post-rock cinématique.
Si on voulait donner dans le cliché le plus éculé, on pourrait parler de régularité allemande pour Long Distance Calling. Eraser est leur huitième album.
Tiens, un groupe de post-rock; ça faisait longtemps. Gods, nouvel album du groupe français SaaR, n’est pas une révolution, mais il a un côté rafraîchissant.
Le mystérieux duo britannique Nordic Giants revient avec Symbiosis, un nouvel album de rock cinématique qui va vous emmener très loin!
Encore un groupe français qui prouve qu’on peut faire du prog-metal instrumental sans être chiant: Intraveineuse et son Chronicles of an Inevitable Outcome.
Visions of Dystopia invoque des sonorités power-prog-metal. A Nightmare on Dystopian Street, fait penser aux films d’horreur des années 80-90.
Encore un groupe de post-rock banal, en apparence: Bruit ≤ et The Machine is burning and now everyone knows it could happen again. Sauf que non.
Pour ces Restes du samedi, trois albums – Electric Mud, Devin Townsend et le tribute Songs of the Century – qui ne sont pas des petits formats.
La nuit est souvent un moment propice au post-rock. The Night, c’est aussi le nouvel album de flyingdeadman.
Je vous présente aujourd’hui Grave Mounds and Grave Mistakes, signé A Forest of Stars, formation anglaise de black-metal théâtral victorien et décadent.
Quand je lis “metal progressif instrumental avec des violons”, je ne peux qu’acheter. C’est The Night Watch et son album, An Embarrassment of Riches.