Final Light
Final Light peut se décrire par « une collaboration entre James Kent, de Perturbator, et Johannes Persson, chanteur et guitariste de Cult of Luna ».
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Final Light peut se décrire par « une collaboration entre James Kent, de Perturbator, et Johannes Persson, chanteur et guitariste de Cult of Luna ».
Lors du concert d’il y a dix jours, j’ai découvert Oh Hiroshima et acheté leur album, Myriad, dans la foulée. Est-il aussi impressionnant qu’en live?
Le dicton du jour: l’habit ne fait pas le moine. Illustration avec Impera, le nouvel album de la formation suédoise Ghost.
Ressusciter les années huitante étant à la mode, on se retrouve avec des groupes comme Osukaru et des albums comme ce Starbound.
Sans vouloir tirer des parallèles hasardeux avec l’actualité, préparez-vous à être écrasés par The Long Road North, l’implacable album de Cult of Luna.
Je n’ai entendu parler de Anna von Hausswolff que récemment, mais son concept m’a intrigué et j’ai donc écouté son Live at Montreux Jazz Festival.
Cette première édition des Restes du Samedi pour 2002 est consacrée à un trio d’EP: Dark Jane (rock), Enshine (mélodeath) et Thomas Jamet (prog-metal).
Parmi les albums que j’écoute, certains sont là juste pour faire pousser les cheveux. Dancing in Hell, le nouvel d’album d’Eleine, en fait partie.
Eastern High, avec son album Halo, propose un metal progressif puissant et pas trop perché. Enfin, un peu quand même, parce que prog.
Cult of Luna et Julie Christmas avaient fait une captation live de la tournée Mariner. J’ai enfin pu obtenir ce Mariner Live.
Il y a quelque chose de dérangeant à écouter The Raging River, de Cult of Luna, au moment où des inondations massives ravagent une partie de l’Europe.
Il existe des albums qui ne se laissent pas facilement chroniquer. Imperial, de Soen, entre dans cette catégorie un peu frustrante.
Amateurs de rock progressif, rembarquons à bord du dirigeable interstellaire de Transatlantic, pour un nouveau voyage, intitulé The Absolute Universe.
Lundi de Pâques, c’est donc le moment idéal pour chroniquer le nouvel album d’Evergrey, Escape of the Phoenix. Révisez vos symboles!
Sur cette chronique de Islands, de The Flower Kings, je vous préviens que vous allez encore avoir droit à ma râlaison sur le rétro-prog.
Ah, Therion! Un nom qui claque au vent du metal-opera symphonico-gothique comme un étendard baroque et qui revient de loin avec ce Leviathan.
The Labyrinth, nouvel ouvrage de l’auteur et illustrateur Simon Stålenhag, raconte la survie dans un monde ravagé – et le prix de cette survie.
Moment est à la fois le dernier album de Dark Tranquillity et le premier de ce groupe que je chronique. Eh oui, parfois je découvre la Lune.
Chroniquer des albums qui datent, c’est risquer de se faire rattraper par l’actualité. C’est le cas avec Oscillate, nouvel album de pg.lost.
En voyant la pochette, j’ai cru qu’un groupe appelé Panther avait fait un album intitulé Pain of Salvation. Mais c’est en fait l’inverse.