Radio-Erdorin, saison 4, épisode 5
Je sais que ça n’a pas l’air avec une sortie au 4 du mois, mais l’épisode de mai 2021 de Radio-Erdorin a été quelque peu laborieux à finaliser.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Je sais que ça n’a pas l’air avec une sortie au 4 du mois, mais l’épisode de mai 2021 de Radio-Erdorin a été quelque peu laborieux à finaliser.
Derrière sa couv’ façon Druillet, le duo breton Vaisseau propose un premier album, intitulé Horrors Waiting in Line, de space-rock un peu vintage.
Je suis conscient qu’on est le 16 du mois. J’avoue, j’ai encore eu du mal à sortir ce nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour novembre 2020.
Voyages psychédéliques, rencontres du douzième type et zigouigouis électroniques, bienvenue sur Space for the Earth, d’Ozric Tentacles!
Vous vous souvenez de ma résolution de sortir les épisodes de Radio-Erdorin plus tôt dans le mois? Moi non plus. Donc, l’épisode de février 2020 est paru.
Obscuroscope est le nouvel album d’Astrosaur, un groupe norvégien de gros rock instrumental qui tache, quoiqu’un peu trop vintage à mon goût.
J’avais mentionné vouloir améliorer la fréquence de parution de Radio-Erdorin. Disons que ce ne sera pas pour ce premier épisode de la nouvelle saison.
Imaginez que Sky over Giza est un film de science-fiction italien des années 1960, dont la bande originale est composée par La Morte Viene Dallo Spazio.
Quantum Fantay est de retour avec Yemaya Orisha, un space-rock instrumental pour vous emmener aux limites de l’espace-temps et de la conscience!
Je ne sais pas si mes récentes réflexions sur la baisse d’intérêt de la production post-rock actuelle ont eu un effet (spoiler: non), mais voici que Sphere, le nouvel album des Suisses de Monkey3, vient me faire mentir après l’exceptionnel Achromata d’Aesthesys.
L’annonce commence à virer à la routine: le nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour septembre 2018, est désormais en ligne, sur YouTube et sur Peertube (attention, nouvelle adresse).
Et le prix du titre d’album WTF de l’année revient à Quantum Fantay et son Tessellation of Euclidean Space! En même temps, il faut avouer que le space-rock a toujours eu un goût immodéré pour les intitulés abscons et surréalistes. Et les pochettes moches, aussi, hélas!
Retour à un format plus classique pour ce deuxième Restes du samedi de la nouvelle année, avec trois groupes. L’un est plutôt connu – Diablo Swing Orchestra – le deuxième issu d’un groupe un peu connu – Offworld – et le troisième – Siljan – des p’tits jeunes qui débutent.
Après avoir écouté Astra Symmetry, le dernier album de Monkey3, je me demande si je ne vais pas lancer l’idée d’un nouveau genre musical: le rétro-post. Histoire de pouvoir caser tous ces groupes qui poussent le post-rock jusqu’à faire faire du rock prog/psychédélique comme dans les années 1970.
Au premier coup d’œil, j’aurais pensé que Celestial Teapot aurait une bonne tête de groupe de space-rock. Bon, y’en a un peu, mais ce One Big Sky s’inspire plus du rock progressif et du post-rock que des tentacules ozriciennes.
Hier, je vous parlais de Quantum Fantay, digne représentant de cette variante de space-rock qui touche au rock progressif. Il est à peu près impossible d’évoquer ce genre musical sans parler de Ozric Tentacles, à la fois dans le rôle du grand-père et du gorille de huit cents livres. Le hasard a voulu que, dans le même temps que j’achetais Dancing in Limbo, j’ai également acquis Technicians of the Sacred, leur nouvel album.
Décidément, on n’arrête plus les space-rockers belges de Quantum Fantay: je n’avais pas sitôt chroniqué leur précédent album que voici Dancing in Limbo!
Le space-rock est un de ces sous-genres du rock progressif qui, à force de spécificité, commence à ne plus avoir grand-chose à dire. Du coup, le très imaginatif – quoique très imparfait – album Terragaia de Quantum Fantay apporte un bol d’air bienvenu.
Et voici donc un deuxième billet à la suite sur l’excellent groupe de post-rock irlandais God Is an Astronaut; même pas honte, fanboi powah! Bon, cette fois, je vais vous parler de leur dernier album en date, Origins.
Autre découverte à mettre au crédit de Fred Bezies, le quatuor new-yorkais Oneironaught avait, sur le papier, beaucoup pour me plaire avec leur album Enlist Today!: du rock psychédélique mâtiné de prog (à moins que ce ne soit le contraire).