Eternal Wanderers: The Mystery of the Cosmic Sorrow

Eternal Wanderers: The Mystery of the Cosmic Sorrow

Il y a des groupes qui surgissent sur mon progdar comme venus de nulle part (ou de Progarchives). Dans le cas présent, Eternal Wanderers est un projet russe, né de la créativité des sœurs Kanevskaya, et The Mystery of the Cosmic Sorrow est un concept album, leur troisième (ou quatrième).

Riverside: Eye of the Soundscape

Riverside: Eye of the Soundscape

Eye of the Soundscape n’est pas un album de Riverside comme les autres, et c’est peu de le dire – même si beaucoup d’autres l’ont dit avant moi. Ceux qui ont suivi l’actualité du groupe ont appris le décès soudain de Piotr Grudziński, leur guitariste. Riverside, qui est un des pionniers du rock progressif contemporain, puisant ses inspirations aussi bien dans le metal que dans l’électro, livre ici un double CD qui tient plus du second que du premier.

Erang: Kingdom of Erang

Kingdom of Erang

Jusqu’à ce que je sois contacté par le musicien français Erang, j’ignorais qu’il existait un genre qui s’appelle le “Dungeon Synth”. En même temps, je suppose qu’il en va des genres musicaux comme des fantasmes sexuels: si tu penses avoir inventé un truc, le temps que tu vérifies sur Internet, tu trouveras toute une communauté qui est déjà dédiée.

 

Mehdi Alouane: The Sound of the Incurable Disease

Mehdi Alouane: The Sound of the Incurable Disease

L’album de Mehdi Alouane, The Sound of the Incurable Disease, se mérite: pas question de faire son millennial et de le commander en numérique sur une plateforme en ligne! Non, il faut passer dans une boutique qui l’a en stock ou le commander directement à l’auteur. L’élite!

 

65daysofstatic: Silent Running

J’avais quelque peu perdu de vue les post-rockers anglais de 65daysofstatic après We Were Exploding Anyway et, en voulant rattraper ce retard, je suis tombé sur Silent Running, qui n’est pas leur dernier album, mais une bande originale alternative pour le film de science-fiction éponyme (et déprimant) de 1972.

Disons-le tout de suite: cet album est très différent de celui que j’avais précédemment chroniqué, ce qui m’a quelque peu désarçonné (voire déçu) au départ. Silent Running se revendique plus d’un rock électronique à la Tangerine Dream/Vangelis des années 1970, remis au goût du jour par une production moderne et des sonorités électro contemporaines.

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Australasia: Vertebra

Si je n’avais pas lu la petite explication qui est venue avec le service de presse de Vertebra, premier album du groupe italien de post-rock Australasia, j’aurais pu croire qu’il s’agissait précisément d’un groupe australien. Non seulement à cause du nom, mais aussi parce que le style du groupe me rappelle certains artistes similaires du pays des chapeaux en cuir.

Maserati: VII

Septième album, donc, pour les post-rockers américains de Maserati qui, en toute logique, l’ont intitulé VII. Je vous rassure tout de suite: leur musique est quand même un poil plus originale que cela. Le groupe poursuit ici son évolution logique, du post-rock instrumental vers des contrées qui rappellent le rock électronique de Tangerine Dream et, par la même, viennent quelque peu piétiner les plate-bandes d’un God Is An Astronaut.

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Johannes Schmoelling: A Thousand Times

Ceux qui lisent ces pages (ou, à tout le moins, les chroniques musicales) savent que j’aime bien la musique de Tangerine Dream, surtout celle des années 1980. Du coup, vous ne serez sans doute pas trop étonné d’apprendre que j’ai acheté A Thousand Times, un des albums les plus récents de Johannes Schmoelling.

Schmoelling a été un temps membre du groupe entre 1980 et 1986 et, par la suite, s’est lancé dans une carrière solo que je n’imaginais pas aussi prolifique avant de voir sa discographie et qui continue encore à ce jour. Sans surprise, son style reste dans la gamme de musique électronique initiée par le trio allemand.

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Lebowski: Cinematic

Avant tout de chose, je crois que je dois préciser à ceux qui tiltent déjà sur le nom du groupe que la musique de Lebowski n’a à peu près rien à voir avec le film. Même si le groupe définit lui-même cet album comme la bande-son d’un film fictif – un peu (dans un style complètement différent) comme pour le Death’s Design de Diabolical Masquerade.

Style complètement différent, donc: les Polonais de Lebowski proposent un rock progressif instrumental fait d’ambiances planantes, plus à rapprocher du style des musiques du Cirque du Soleil ou du Tangerine Dream du début des années 1990 (ou du Voyager de Jon Anderson et Paul Sutin).

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The Lens: Regeneration

Il y a des albums qui, sans prévenir, vous tape dans l’oreille. Exemple dans le cas présent: Regeneration, de The Lens. J’y retrouve des éléments floydiens, mélangés à du rock électronique à la Tangerine Dream (ou God Is An Astronaut), des éléments plus modernes comme la drum’n’bass de Pendulum et enfin du rock progressif plus classique.

Et c’est là qu’en fouillant un peu, je découvre que The Lens est un projet solo de Michael Holmes, membre fondateur du groupe IQ, et même que The Lens est le nom originel de IQ, fondé à la fin des années 1970. Et là, tout s’éclaire.

En fait, non, pas vraiment: Mike Holmes est le guitariste d’IQ et The Lens est un projet qui contient du clavier, du clavier et encore du clavier. Bon, pas que, mais l’accent n’est pas vraiment mis sur les gros riffs qui tachent. Et la musique de The Lens n’a qu’un rapport très lointain avec ce qu’a fait IQ depuis.

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