Quelques mots sur Cracovie
Or donc, je viens de passer deux semaines à Cracovie, ou peu s’en faut. C’était pour le boulot, du coup, je n’en ai pas vu grand-chose, mais j’en ramène tout de même quelques impressions.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Or donc, je viens de passer deux semaines à Cracovie, ou peu s’en faut. C’était pour le boulot, du coup, je n’en ai pas vu grand-chose, mais j’en ramène tout de même quelques impressions.
Cette année, vingt ans après la sortie de son premier album (et cinq ans après le précédent), Riverside revient avec un onzième opus, ID.entity.
Comme l’actualité musicale est plutôt calme, c’est le bon moment pour les Restes du samedi, avec Anzillu, Silver Nightmares, et Vengeur.
Le nouvel album de Behemoth s’appelle Opvs Contra Natvram, « œuvre contre nature ». Ils sont comme ça, Behemoth.
Je vous avais déjà parlé de Ols; la multi-instrumentiste polonaise revient avec Pustkowia, un opus à la coloration folk et sombre.
Lunatic Soul nous a souvent gratifié d’albums magnifiques, mais sombres. Through Shaded Woods est moins sombre, mais toujours magnifique.
Je suis pas mal de sites et de blogs via leurs flux RSS. C’est ainsi que Passage, album de Frontal Cortex, est arrivé sur ma liste de lecture.
On va rester dans les ambiances folkisantes avec cet étonnant album de Ols, intitulé Widma. Mais plus dans les forêts primales et les cérémonies païennes.
Lebowski est un groupe de rock progressif cinématique. Galactica est leur nouvel album et, en effet, on a l’impression d’entendre une bande originale.
The False Awakening est le premier album du groupe de néo-prog polonais Yesternight, même si le groupe est actif depuis 2007.
Ce n’est pas beau de copier, même si tous les artistes font ça. Des fois, ça peut donner des choses très cool, comme In Embers, du groupe polonais Aether.
Le mot-clé du mois semble être « solipsisme », puisqu’après l’album de Xaon, voici Cold War of Solipsism, du groupe de metal progressif polonais Art of Illusion.
Enfin! Après une longue attente due à des déboires de commandes, j’ai enfin reçu Wasteland, le nouvel album de Riverside! L’attente en valait-elle le coup? Spoilers: oui (mais).
Allez, on ressort les pantalons à pattes d’eph’, les chemises à fleurs et les gilets en mouton retourné! Suivons donc l’avis – encore une fois – de Angry Metal Guy et embarquons avec Weedpecker back to the seventies avec leur nouvel album, sobrement intitulé III. C’est d’ailleurs un peu la seule chose qui soit sobre dans cet album.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les compositions de Lunatic Soul ne respirent pas vraiment la joie de vivre et l’optimisme béat. Ce n’est pas plus mal, mais du coup, ce nouvel album, Under the Fragmented Sky, propose un rock progressif plutôt plombé.
Dans le genre annus horribilis, 2016 se pose un peu là, d’autant plus pour Mariusz Duda, bassiste et chanteur de Riverside et à l’origine du projet Lunatic Soul, dont ce Fractured est le dernier opus en date.
Pour cette édition des restes, deux albums de rock progressif – ou peu s’en faut – qui sont plaisants, mais qui peinent à m’enthousiasmer pour des raisons différentes: Comedy of Errors et Lion Shepherd. C’est le genre d’album sur lequel j’ai du mal à écrire le minimum syndical, mais qui reste plutôt bien fait.
Et voici la cinquième chronique en relation avec la soirée prog à Aarau de ce vendredi – dernier, mais non des moindres. Disperse est un jeune quatuor polonais dont c’est ici le deuxième album, intitulé Foreword, et qui donne dans le néo-prog contemporain.
Ouaip, encore du post-rock. Une rechute, en quelque sorte. Mais bon, un nouvel album de Tides from Nebula, c’est comme un dernier verre de vodka polonaise: ça ne se refuse pas. Donc, voici Safehaven, dernier né du quatuor de Varsovie.
Eye of the Soundscape n’est pas un album de Riverside comme les autres, et c’est peu de le dire – même si beaucoup d’autres l’ont dit avant moi. Ceux qui ont suivi l’actualité du groupe ont appris le décès soudain de Piotr Grudziński, leur guitariste. Riverside, qui est un des pionniers du rock progressif contemporain, puisant ses inspirations aussi bien dans le metal que dans l’électro, livre ici un double CD qui tient plus du second que du premier.