Sic transit la presse satirique française
J’ai reçu mon avis de réabonnement au Canard enchaîné. Et, soudainement, il m’est arrivé quelque chose d’inédit: j’ai hésité à me réabonner.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Avec des vrais gens dedans, des vrais faits, de la vraie science et des vrais morceaux de politique.
J’ai reçu mon avis de réabonnement au Canard enchaîné. Et, soudainement, il m’est arrivé quelque chose d’inédit: j’ai hésité à me réabonner.
Je vous avais parlé de Blast, lors de mon billet sur “L’Empire n’a jamais pris fin”. Je me suis abonné à la chaîne YouTube et je me suis abonné tout court.
Eh oui, déjà deux ans depuis mon précédent panorama sur les outils numériques de financement pour créateurs. Il est temps de mettre ça à jour.
La nouvelle série vidéo de Pacôme Thiellement, intitulée L’Empire n’a jamais pris fin, m’a happée au long de ces trois longs épisodes déjà parus.
Récemment, plusieurs réseaux sociaux ont annoncé le lancement d’abonnements. En théorie, c’est une bonne idée, mais trop peu, trop cher et trop tard.
Or donc, je viens de passer deux semaines à Cracovie, ou peu s’en faut. C’était pour le boulot, du coup, je n’en ai pas vu grand-chose, mais j’en ramène tout de même quelques impressions.
C’est de saison: entre mi-juillet et début août, d’une fête nationale à l’autre, la question du patriotisme resurgit. En tout cas dans ma tête.
Sur la table de la cuisine, il y a une enveloppe de vote. Dans cet enveloppe, parmi les objets sur lesquels je dois voter, il y en a un sur le climat.
La disparition de David Graeber a laissé un vide, partiellement comblé par des ouvrages posthumes, comme The Dawn of Everything, écrit avec David Wengrow.
Vous n’avez pas pu rater la soudaine démocratisation de l’IA générative et les discussions autour de son impact, notamment sur les milieux artistiques.
Le 25 juillet 1940, alors que les officiers suisses se retrouvent sur la prairie du Grütli, l’Allemagne nazie déclenche l’Opération Tannenbaum, dans cette uchronie de Jean-François Amblard.
Avec un titre comme Les pires batailles de l’histoire, signé ici par Benjamin Brillaud, on s’attend à un grand bêtisier de la chose militaire. Pas ici.
Des choses se passent. Ça pourrait être le résumé du 3e tome du Petit théâtre des opérations, qui raconte des anecdotes militaires qui dépassent la fiction.
Un mème que j’ai récemment republié m’a valu un mini-shitstorm. Je ne conteste pas les erreurs qu’il contient, mais le ton des commentaires.
On va être poli et dire que l’actuelle séquence électorale française n’est pas exactement brillante.
« Wokisme ». Le mot fait sourire, mais l’essai d’Alex Mahoudeau, La Panique woke, rappelle que, derrière, se cache souvent un projet politique dangereux.
J’ai déjà parlé de mes chaînes vidéos préférées sur le prog et divers jeux vidéos, aujourd’hui j’aimerais mentionner Rex’s Hangar, dédiée à l’aviation.
Avec ce deuxième tome, Le Petit théâtre des opérations revient sur quelques anecdotes piquantes, entre réalité historique et humour irrévérencieux.
Je pourrais bien dire que je vais voter contre Marine Le Pen, mais soyons honnête, je ne mettrai pas dans l’urne un bulletin qui dit « pas Marine le Pen ».
Lors de mon récent billet sur World of Tanks, un commentaire m’a interpelé, qui disait « dans le contexte actuel, je ne me vois pas y jouer du tout ».