The Umbrella Academy, saison 4
Cinq ans avoir échappé à la Fin du Monde – encore! – les membres de la Umbrella Academy se retrouvent avec une nouvelle apocalypse à l’horizon.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Cinq ans avoir échappé à la Fin du Monde – encore! – les membres de la Umbrella Academy se retrouvent avec une nouvelle apocalypse à l’horizon.
Poison Ivy à la tête de la Legion of Doom, Harley Quinn intègre la Bat-family. Mais comme c’est la 4e saison de Harley Quinn, rien ne se passe comme prévu.
J’ai reçu mon avis de réabonnement au Canard enchaîné. Et, soudainement, il m’est arrivé quelque chose d’inédit: j’ai hésité à me réabonner.
Et c’est reparti dans le monde merveilleux des méchants du DC-verse, pour un grand-huit iconoclaste en compagnie de Harley Quinn.
Nouvelle saison, nouvelle apocalypse pour la superfamille la plus dysfonctionnelle de l’univers, j’ai nommé The Umbrella Academy.
Cette deuxième saison de Star Trek: Lower Decks va renvoyer ses protagonistes là où nul galonné n’a jamais mis les pieds.
Dans un petite ville du Colorado, le docteur est assassiné. Le docteur remplaçant est un extra-terrestre incognito. Ainsi commence Resident Alien.
Le dernier roman de Karim Berrouka, Le jour à l’humanité a niqué la fantasy, commence par le plan cul d’Olga qui fait l’hélicobite incendiaire dans son salon. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: il y a aussi la prise d’otage dans une médiathèque. Ces deux épisodes impliquent des lutins d’un mètre huitante-cinq. Ces …
Bon, les metaleux, accrochez-vous à vos vestes à patchs: Nanowar of Steel est de retour avec une galette intitulée Italian Folk Metal.
Résumé de The Umbrella Academy: en empêchant la fin du monde, des super-héros déclenchent la fin du monde et partent dans le passé pour empêcher la fin du monde.
Dans Star Trek, on a le plus souvent des officiers aguerris. Lower Decks prend le contrepied de ce présupposé avec le point de vue des noobs.
Étrange petit bouquin que ce Les Ruines de Paris en 4908, d’Alfred Franklin. D’abord pour son concept, qui est résumé par le titre, mais aussi par son histoire.
Je me suis encore fait avoir: la première saison de Disenchantment, chroniquée il y a quelques temps, n’était que la première moitié de la première saison.
Archer, Sterling Archer. C’est un agent d’élite. Avec ses collègues d’ISIS, il défend le Monde Libre.
Une série télé d’horreur comique qui se déroule dans un bled de bouseux américains, avec une malédiction, des monstres, une ambiance septante-huitante et un héros éponyme con comme une bille. Ça vous rappelle quelque chose? Eh bien Stan against Evil, c’est en effet un peu comme Ash vs Evil Dead, sauf que pas tout à fait.
Je n’en suis pas très fier, mais j’ai craqué et téléchargé une copie de Moi y’en a vouloir des sous pour regarder dans l’avion. En même temps, je n’avais pas vraiment le choix: ce film de Jean Yanne n’a jamais été réédité en DVD et ses passages à la télévision sont rares. Ce qui est bien dommage.
Au hasard des derniers Mercredis de la SF genevois, j’ai récupéré la bande dessinée What the Future, de MO/CDM, parue aux éditions Fluide Glacial. C’est un peu “les Bidochons du futur”: une famille avec papa, maman et le fiston ado à une période mal définie, mais au moins deux siècles dans l’avenir.
Cela faisait un bon moment que j’attendais – que j’espérais, même – une réédition des “hauts de page”, de Yann & Conrad. Dans l’enfer des hauts de page est donc un bouquin petit format, qui répond en partie à ce souhait et me permet de me replonger avec délectation dans cette trop brève époque d’un Spirou habité par l’esprit d’un humour presque adulte.
Envoyez les clowns, les barbus en robes à fleurs, les épées en plastique dans des endroits innommables, les chevaliers en bas-résilles, les menus pour enfants d’une célèbre chaîne de hamburgers et les godes-ceintures: Nanowar of Steel est de retour et son dernier album de métal-nawak s’appelle A Knight at the Opera! Oui, “Knight”, avec un K comme dans kavalier.
Pour un jeune officier frais émoulu de l’Académie spatiale comme Andy Dahl, recevoir un poste à bord de l’Intrepid, vaisseau-amiral de l’Union universelle des planètes, est un rêve. Sauf qu’il s’agit d’un poste où le risque de mourir de façon spectaculaire est remarquablement élevé. Bienvenue dans le monde de Redshirts, roman de science-fiction signé John Scalzi!