What If?…, saison 2
Comme j’aime bien l’uchronie et l’univers cinématique Marvel, je suis plutôt client de What If?…, dont la deuxième saison a été diffusée il y a peu.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Comme j’aime bien l’uchronie et l’univers cinématique Marvel, je suis plutôt client de What If?…, dont la deuxième saison a été diffusée il y a peu.
Disenchantment, c’est une série animée de Matt Groening, entre Les Simpsons et Game of Thrones. Ça ressemble surtout à du D&D qui a mal tourné.
Mahito se retrouve dans la campagne japonaise auprès de la nouvelle épouse de son père, harcelé par un étrange héron. Ainsi commence Le Garçon et le Héron.
Star Trek, ses missions de premier contact, ses civilisations inconnues, ses phénomènes stellaires inexpliqués! Lower Decks, c’est ça, par les grouillots.
Elles sont deux sœurs, Violet et Powder. Leur histoire, c’est celle d’Arcane, dessin animé dans l’univers dieselpunk-fantastique de League of Legends.
Tout le monde connaît Buzz Lightyear dans Toy Story, mais qu’en est-il du personnage original? Le film Lightyear répond à cette question.
Une série Marvel en dessin animé qui parle d’uchronie? Je signe où? Cette série, c’est What If…?, en neuf épisodes.
Un hôtel pour la rédemption des âmes, des tueurs transdimensionnels; bienvenue en enfer! Et bienvenue aussi dans Hazbin Hotel et Helluva Boss.
Gotham en ruine, les superhéros absents, les superméchants aux commandes, et Harley Quinn et son gang qui veulent le gâteau. Bienvenue dans la saison 2!
Dans Star Trek, on a le plus souvent des officiers aguerris. Lower Decks prend le contrepied de ce présupposé avec le point de vue des noobs.
Quand Harley Quinn se retrouve à l’Asile d’Arkham, elle s’attend à ce que le Joker vienne la sortir de là. Un an plus tard, elle finit par s’évader.
Je me suis encore fait avoir: la première saison de Disenchantment, chroniquée il y a quelques temps, n’était que la première moitié de la première saison.
Archer, Sterling Archer. C’est un agent d’élite. Avec ses collègues d’ISIS, il défend le Monde Libre.
Avertissement liminaire: je n’aime pas Spider-Man. Le personnage et ses traitements à l’écran, s’entend; je crois n’avoir jamais lu un comics à son sujet – même les Spidey, c’est dire. Pourtant, je suis allé voir Into the Spider-Verse.
Bon, je vous préviens tout de suite, après un longue période d’abstinence, j’ai repris le chemin du ciné et, du coup, j’ai vu beaucoup de film ces derniers jours. Après la suite de Wreck-It Ralph, nous sommes allés voir le troisième – et, très probablement, dernier – film de la série How to Train Your Dragon, intitulé The Hidden World.
Ralph Breaks the Internet commence six ans après le précédent opus. Après leurs aventures, Ralph et Vanellope coulent des jours paisibles, au milieu de leurs collègues des bornes d’arcade voisines. Paisible? Peut-être trop paisibles pour Vanellope, qui rêve de changement.
C’est en train de devenir une tradition de Noël: la séance de ciné le soir du 24 décembre. Pour le coup, ma dame et moi avons même vu deux films à la suite, le premier étant Astérix: Le Secret de la potion magique, dessin animé réalisé par Alexandre Astier et Louis Clichy.
Une princesse, un elfe et un démon entrent dans un bar. Oui, je sais: je vous ai déjà fait la blague un certain nombre de fois, mais, dans le cas de Disenchantment, c’est à peu près littéralement le début de cette série animée signée Matt Groening. À vrai dire, c’est le titre du premier épisode.
Pour la séance rattrapage DVD de cette fin d’année, c’est Incredibles 2 que nous avons choisi. Enfin, le plus difficile a été de trouver un lecteur DVD opérationnel. Bienvenue en 2018! Si cette suite est sortis pas moins de quatorze ans après l’original, elle se situe dans la continuité immédiate du premier.
Histoire de fêter dignement le 14 juillet, je vais vous parler d’un truc français. J’ai souvent tendance à dire que “à la française” est un synonyme de “en moins bon”. Il y a des exceptions, mais, comme je me souviens de quelques abominations des années 1980, les films d’animation figuraient encore en bonne place dans cette catégorie. Mais, là encore, les choses changent et Le Grand méchant renard est une bonne surprise.