Cory Doctorow, est un auteur et activiste. How to Destroy Surveillance Capitalism est le titre de son dernier essai, qui s’attaque aux GAFAM.
Ralph Breaks the Internet commence six ans après le précédent opus. Après leurs aventures, Ralph et Vanellope coulent des jours paisibles, au milieu de leurs collègues des bornes d’arcade voisines. Paisible? Peut-être trop paisibles pour Vanellope, qui rêve de changement.
J’ai passé outre mon aversion habituelle pour les médias non-écrits et j’ai visionné la toute récente présentation de Charles Stross au 34e Chaos Communication Congress, intitulée Dude, you broke the future – tout un programme!
Sur Mastodon, il y a parfois des clashs; eh oui, c’est donc un réseau social normal. Au détour d’un échange particulièrement vif entre deux contacts, j’ai vu passer une phrase qui m’a quelque peu agacée, quelque chose comme “oui, mais on est agressé par des nazis.”
C’est une tendance que je suis déjà depuis quelques temps: certains de mes contacts ou amis se retirent volontairement, de façon temporaire ou définitive, des réseaux sociaux, le plus souvent face à des attaques violentes ou à une ambiance globalement toxique. Dans le même temps, je lis pas mal d’articles ou de billets d’humeur qui se plaignent que tel ou tel site est de plus en plus un repère de trolls.
Ah, Internet! Ce lieu merveilleux où une infinité de singes tapent sur une infinité de machines à écrire, tout en lisant une infinité d’écrans (et lancent aussi des infinités de caca)! Évidemment, le rapport signal-bruit n’est pas optimal, c’est pourquoi j’ai tendance à filtrer.
En ces temps où la méconnaissance d’Internet et d’un peu tout ce qui concerne le numérique nous vaut un vote aussi dangereux qu’inutile, Jérôme Choain, dit JCFrog, vient de poser une fort belle réponse à intitulée Lettre aux analphabètes sur son blog.
Oui, je sais, j’insiste beaucoup sur le sujet – limite lourdingue – mais il se trouve que des articles récents sont venus me relancer sur la question de la publicité sur les sites web – et surtout de pourquoi ce n’est pas considéré par beaucoup d’acteurs du milieu comme une vraie question.
En préambule, soyons clair: ce billet est avant tout un cri de frustration en direction de personne en particulier. À la façon d’un fusil à canon scié chargé à la merde, ça va éclabousser de partout et ça ne va pas sentir bon, mais ça soulage. Un peu.
L’homme regardait la soucoupe volante fermement engoncée dans la boue du champ de patates, tout en dégustant sa tasse de thé. Le fermier, un vieux rugueux du Devonshire qui donnait l’impression d’avoir déjà tout vu trois fois, avait visiblement sorti son service des grands jours.
C’est long, mais c’est important: l’entretien de Ragemag avec le sociologue Gérard Bronner, intitulé « Nous sommes des feignants intellectuels » est une de ces lectures qui mérite qu’on lui consacre un bon quart d’heure. Oui, c’est long; j’avais prévenu.
La question de la criminalité sur Internet a toujours été un sujet sensible et j’ai un peu été surpris de voir Cory Doctorow lui-même recommander, sur BoingBoing, l’ouvrage de Nate Anderson, The Internet Police.
J’avoue: c’est moi qui ai tué Internet. Oh, bien sûr, pas tout seul et pas volontairement, mais, objectivement, c’est ma responsabilité. La raison de cet aveu est à trouver dans un récent article de Slate, édition française, intitulé Notre Mai-68 numérique est devenu un grille-pain fasciste.
C’est une réflexion qui me tourne dans la tête depuis un petit moment: la mise au point d’une stratégie “open data” pour les différents sites de jeu de rôles (et assimilés).
Je sais, c’est mal, mais mon comptable intérieur se réjouit tout de même des chiffres Flattr de juin 2013: €12.63 de revenus pour €10 de dons – encore que j’ai hésité à monter à €15, au vu du nombre de clics (36 en tout, sans compter une demi-douzaine d’autres sur des objets encore non-réclamés).
Bonjour, mon nom est Alias et je suis accro aux statistiques. (BONJOUR ALIAS!) Récemment, après avoir lu un énième article de Ploum sur le sujet, j’ai décidé de fermer mon compte Klout et de retirer mon blog de eBuzzing.
Mes lecteurs vont finir par croire qu’on couche, mais Lionel “Ploum” Dricot vient encore de pondre un article qui me fait sautiller sur ma chaise en hurlant mon approbation. Dans le cas présent, Mais qui paie la publicité ? s’interroge sur la pertinence de la publicité en ligne.
Ça fait un petit moment que je ressasse la phrase (“le slogan” serait plus juste) “si vous ne payez pas pour ce service, vous n’êtes pas le client, vous êtes le produit.” Ça vous agace? Derek Powazek aussi et il le fait savoir via son article I’m Not The Product, But I Play One On The Internet.
C’est la mauvaise nouvelle de la journée d’hier: les rumeurs plus qu’insistantes (à relativiser, cela dit) d’une prochaine disparition du site d’information français Owni. Une mauvaise nouvelle, mais qui ne m’étonne pas tant que cela: un site qui propose une information de qualité et des visualisations de données de haut niveau, tout cela gratuitement, sans pub ni abonnement (ni même de bouton pour faire un don), ça paraissait trop beau.
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