« Tè Mawon », de Michael Roch
Une ville futuriste qui recouvre toutes les Caraïbes, une quête pour la terre originelle. C’est Tè Mawon, le pas banal roman cyberpunk de Michael Roch.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Une ville futuriste qui recouvre toutes les Caraïbes, une quête pour la terre originelle. C’est Tè Mawon, le pas banal roman cyberpunk de Michael Roch.
Une joueuse perdue dans une univers virtuel y découvre un monde qui ne devrait pas exister, tel est le programme de ce troisième tome de Bolchoi Arena.
Quand un djinn majeur, se réveille d’un très long sommeil, il ne s’attend pas à être accueilli par un gurkha qui mange des pistaches.
À chaque OctoGônes, je croise Sébastien Capelle et je lui achète un bouquin. Cette année, c’est Sur la rive des étoiles, un recueil de cinq nouvelles de SF.
Central Station, lieu éponyme du roman de Lavie Tidhar, c’est un starport, la porte vers le reste de la Terre, le système solaire et les étoiles.
Dans “Sherlock Holmes and the Vampires of Eternity”, de Brian Stableford, nous avons Sherlock Holmes, des vampires, l’éternité, mais pas que.
Dernier tome de la trilogie Luna, de Ian McDonald, Moon Rising a la lourde tâche d’y apporter une conclusion satisfaisante. C’est réussi.
Un jour, j’apprendrai à ne pas attendre six ans entre la lecture d’un tome et de sa suite, comme dans le cas de The Causal Angel, de Hannu Rajaniemi.
Acadie, novella de Dave Hutchinson, commence pour Duke le lendemain de son anniversaire. Il se réveille avec la gueule de bois et une alerte.
Void Star, de Zachary Mason, c’est notre planète dans un avenir proche, mais mal défini – peut-être un siècle dans l’avenir, peut-être moins. Trois personnes, trois destins: Irina, spécialiste en intelligences artificielles, Thalès, fils d’un politicien brésilien et mathématicien de génie, et Kern, accro du parkour et du combat de rue sorti d’un bidonville par une voix mystérieuse au téléphone.
La Légion est un assemblage de vaisseaux-mondes qui naviguent aux confins de l’univers et qui sont en guerre les uns avec les autres pour récupérer les précieuses ressources qui permettront aux gagnants de survivre. The Stars are Legion, de Kameron Hurley, raconte comment deux femmes, Zan et Jayd, vont tenter de sauver ce qui peut l’être. Peut-être.
Au 24e siècle, un “mathusalem” – un membre de l’ultra-élite à la fortune incommensurable et quasi-immortel de fait – cherche à enquêter sur sa propre mort. Pour cela, il réincarne Takeshi Kovacs dans un nouveau corps et lui promet fortune et impunité. C’est ainsi que commence Altered Carbon, série adaptée du roman éponyme de Richard K. Morgan.
J’ai passé outre mon aversion habituelle pour les médias non-écrits et j’ai visionné la toute récente présentation de Charles Stross au 34e Chaos Communication Congress, intitulée Dude, you broke the future – tout un programme!
Et si, dans un avenir proche, la Terre recevait un message extraterrestre et que ce message remettait en cause de façon fondamentale le concept de sapience et de civilisation? C’est, dans les grandes lignes, le principal de Existence, gros roman de David Brin.
Lorsque commence Crashing Heaven, roman SF/cyberpunk de Al Robertson, Jack et Hugo reviennent sur Station, le dernier refuge de l’humanité depuis que la Terre est devenue inhabitable suite à une guerre entre IA.
Je viens de finir le dernier roman de Cory Doctorow, Walkaway. Il est très bien, il est très dense et, du coup, cette chronique va également être quelque peu massive. Et ce n’est pas seulement dû au fait que le français est un langage verbeux.
Bon, autant faire péter le suspens immédiatement: Apex, conclusion de la trilogie Nexus de Ramez Naam, est une digne conclusion de ce techno-thriller d’anticipation transhumaniste. Pour poser les choses, il commence par un échange nucléaire généralisé. Enfin, pas tout à fait, mais c’est pour dire.
On reconnaît souvent les séries marquantes à leur générique. Celle de Person of Interest commence avec la voix d’un des personnages, qui annonce:
“On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret. Une machine ! Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’ai créé.”
Jusqu’à présent, les romans de John Scalzi que j’ai lus oscillaient entre le très bien (Old Man’s War) et le sympa-mais-peut-mieux-faire (Redshirts). Lock In, découvert via une chronique sur le site de Lune, est un roman d’anticipation flirtant avec le transhumanisme qui se situe assez clairement dans la première catégorie.
Crux est le deuxième roman de la trilogie Nexus, de Ramez Naam, un techno-thriller d’anticipation transhumaniste, centré sur une drogue éponyme basée sur des nanomachines, qui agit comme un système d’exploitation pour ceux qui en prennent et qui leur permet de se connecter, partager des expériences… ou pire.