« This Is How You Lose the Time War », de Amal el-Mohtar et Max Gladstone
This Is How You Lose the Time War, de Amal el-Mohtar et Max Gladstone, raconte une correspondance entre deux agents ennemis à travers le multivers.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
This Is How You Lose the Time War, de Amal el-Mohtar et Max Gladstone, raconte une correspondance entre deux agents ennemis à travers le multivers.
Dans Up Against It, de Laura J. Mixon, un habitat spatial fait face à une crise impliquant crime organisé, télé-réalité, IA sauvage et secte transhumaniste.
Dans un avenir cauchemardesque, Danae doit fuir, elle et les centaines de consciences qu’elle héberge. C’est le point de départ de Unity, d’Elly Bangs.
Charlie végète dans sa ville natale, quand on lui annonce la mort de son oncle. D’où une nouvelle carrière, décrite dans Starter Villain, de John Scalzi.
Un homme de très grande taille mort d’une balle, c’est une affaire pour Cal Sounders, protagoniste et narrateur de Titanium Noir, de Nick Harkaway.
Une technologie extraterrestre propulse la Terre alternative des Protectorats, titre de ce recueil de nouvelles de Ray Nayler, vers un avenir très étrange.
La terraformation de Sask-E est contrariée quand on découvre une cité qui n’est pas censée exister, point de départ de The Terraformers, d’Annalee Newitz.
Buenos Aires, 2054. Avant le début des Jeux olympiques, une journaliste retrouve un athlète mort; c’est le point de départ de Les Purs, de Sébastien Capelle.
Une ville futuriste qui recouvre toutes les Caraïbes, une quête pour la terre originelle. C’est Tè Mawon, le pas banal roman cyberpunk de Michael Roch.
Une joueuse perdue dans une univers virtuel y découvre un monde qui ne devrait pas exister, tel est le programme de ce troisième tome de Bolchoi Arena.
Quand un djinn majeur, se réveille d’un très long sommeil, il ne s’attend pas à être accueilli par un gurkha qui mange des pistaches.
À chaque OctoGônes, je croise Sébastien Capelle et je lui achète un bouquin. Cette année, c’est Sur la rive des étoiles, un recueil de cinq nouvelles de SF.
Central Station, lieu éponyme du roman de Lavie Tidhar, c’est un starport, la porte vers le reste de la Terre, le système solaire et les étoiles.
Dans “Sherlock Holmes and the Vampires of Eternity”, de Brian Stableford, nous avons Sherlock Holmes, des vampires, l’éternité, mais pas que.
Dernier tome de la trilogie Luna, de Ian McDonald, Moon Rising a la lourde tâche d’y apporter une conclusion satisfaisante. C’est réussi.
Un jour, j’apprendrai à ne pas attendre six ans entre la lecture d’un tome et de sa suite, comme dans le cas de The Causal Angel, de Hannu Rajaniemi.
Acadie, novella de Dave Hutchinson, commence pour Duke le lendemain de son anniversaire. Il se réveille avec la gueule de bois et une alerte.
Void Star, de Zachary Mason, c’est notre planète dans un avenir proche, mais mal défini – peut-être un siècle dans l’avenir, peut-être moins. Trois personnes, trois destins: Irina, spécialiste en intelligences artificielles, Thalès, fils d’un politicien brésilien et mathématicien de génie, et Kern, accro du parkour et du combat de rue sorti d’un bidonville par une voix mystérieuse au téléphone.
La Légion est un assemblage de vaisseaux-mondes qui naviguent aux confins de l’univers et qui sont en guerre les uns avec les autres pour récupérer les précieuses ressources qui permettront aux gagnants de survivre. The Stars are Legion, de Kameron Hurley, raconte comment deux femmes, Zan et Jayd, vont tenter de sauver ce qui peut l’être. Peut-être.
Au 24e siècle, un “mathusalem” – un membre de l’ultra-élite à la fortune incommensurable et quasi-immortel de fait – cherche à enquêter sur sa propre mort. Pour cela, il réincarne Takeshi Kovacs dans un nouveau corps et lui promet fortune et impunité. C’est ainsi que commence Altered Carbon, série adaptée du roman éponyme de Richard K. Morgan.