“Smaug on the water and fire in the sky!” Ça faisait un moment que j’avais cette connerie dans la tête, il fallait que ça sorte.
J’avoue: c’est moi qui ai tué Internet. Oh, bien sûr, pas tout seul et pas volontairement, mais, objectivement, c’est ma responsabilité. La raison de cet aveu est à trouver dans un récent article de Slate, édition française, intitulé Notre Mai-68 numérique est devenu un grille-pain fasciste.
Quelque part, je peux dire que j’avais déjà fait mon choix pour remplacer Google Reader au moment où j’ai écrit l’article sur cette difficile succession: Newsblur. J’ai quand même voulu tester les autres choix, notamment The Old Reader, ce qui a pris un certain temps (pour que le site convertisse ma liste de 350 sites…). Au final, Newsblur est pour moi celui qui, en fonctionnalités, s’approche le plus de Google Reader, en tous cas pour ce qui est de ce dont je me sers.
Donc, l’apocalypse n’aura eu que six mois de retard, vu que c’est pour juillet 2013 que Google a annoncé la fin de son service de flux RSS Google Reader. À moins que vous reveniez aujourd’hui de trois semaines au Tibet ou en Corée du Nord, vous en avez dû en entendre parler. C’est ennuyeux.
Ça fait un petit moment que je ressasse la phrase (“le slogan” serait plus juste) “si vous ne payez pas pour ce service, vous n’êtes pas le client, vous êtes le produit.” Ça vous agace? Derek Powazek aussi et il le fait savoir via son article I’m Not The Product, But I Play One On The Internet.
Je suis en train de lire un des derniers bouquins de Cory Doctorow, Pirate Cinema. Fiction? Paf! Mes flux RSS me crachent des exemples encore plus absurdes!
Le mot-clé de ce titre, c’est “demain”; comme dans “demain, j’arrête de fumer”. C’est sans doute évident pour la plupart d’entre vous, lecteurs qui êtes (par définition) intelligents (puisque vous me lisez), mais je préfère être clair, quitte à me casser mes effets. Or donc, j’en ai un peu marre de Facebook. Pas l’outil; je reste persuadé que l’idée globale d’un réseau social est amusante et, osons le dire, intéressante au-delà de l’anecdotique.
C’est une phrase qui a fait son chemin sur Internet, née semble-t-il sur MetaFilter et qui m’est parvenu via l’inénarrable Pogo (qui signe ici sous le nom de Greg; oui, comme le docteur House): If you are not paying for it, you’re not the customer; you’re the product being sold.
La société pollen est un projet économique et social très sérieux, discuté principalement dans les milieux écolos et qui, pour faire simple, propose de mettre l’accent sur les échanges d’idées plutôt que de marchandises.
Aujourd’hui, dernier jour à Montréal: ce soir à 20 h, heure locale, nous reprenons l’avion pour Genève. Du coup, on a profité de la journée pour, vous l’aurez deviné, faire du shopping sauf que cette fois-ci, c’est moi qui cherchais des… Continue Reading →
Un de mes gros soucis avec la Campagne Lupanar, c’est d’avoir une direction artistique qui tienne la route. Loin de moi l’idée de jeter la pierre à mes deux comparses en la matière, je suis seul responsable de ce que… Continue Reading →
Grâce à une invitation de Thias, j’ai pu tester pendant quelques temps le dernier buzz à la mode de chez Google, Wave. Pour résumer, c’est un concept. L’idée est de pouvoir tenir des “conversations” qui tiennent en même temps de… Continue Reading →
C’est stupide, mais ça me fait rire.
Inspiré par un article d’Ars Technica sur le “self-Googling“, j’ai découvert que j’avais un homonyme célèbre: Stephane Gallay, connu aussi sous le nom de Tajmahal. Il fait de la musique électronique. Un de nous deux est de trop sur cette… Continue Reading →
Des tréfonds de Tangency (le forum “N’importe quoi” de RPG.net), au beau milieu d’une discussion sur les gadgets sexuels idiots (Tangency, donc), a jailli hier un plan geek particulièrement stupide: “This reminds me of Google Seppuku. Type random Japanese letters… Continue Reading →
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