La Suisse va bientôt voter sur l’initiative des « 99% », ce qui me permet de parler d’une nouvelle expression qui m’agace: fiscalité confiscatoire.
Je ne m’étendrai pas sur la prochaine votation en Suisse, mais sur une expression qui m’agace quelque peu: « écologie punitive ».
Et s’il existait une instance pour faire respecter les Accords de Paris? The Ministry for the Future, de Kim Stanley Robinson, répond à cette interrogation.
“Tout sur l’économie (ou presque)” signé Heu?reka est un livre important pour qui cherche à vraiment comprendre comment fonctionne l’économie.
En 2013, David Graeber avait publié un essai sur les “bullshit jobs”. Avec le livre “Bullshit Jobs”, il revient sur cette notion de façon plus structurée.
J’ai quelque peu révisé mon gauchisme primaire avec ce court Traité d’économie hérétique, de Thomas Porcher.
Londres, 2029: dans Obsolescence programmée, de Benjamin Nathé, la capitale britannique n’est plus qu’une cité bidonvillisée, dominée par les quelques rares corporations qui ont survécu au “Flash Crash” de 2023. Edgar Chaze, un mercenaire qui oscille entre idéalisme et pragmatisme, tente d’y survivre pourchassé par son dernier client.
Il arrive parfois que je vois passer, sur tel ou tel article, site ou réseau social, un bouquin dont le thème me tape dans l’œil immédiatement. C’est le cas de L’Entraide. L’autre loi de la jungle, ouvrage signé par les chercheurs français Gauthier Chapelle et Pablo Servigne.
Debt: The First 5000 Years, énorme pavé de l’anthropologue américain David Graeber, est un bouquin que je trimbale avec moi depuis plus de deux ans et que j’ai enfin réussi à terminer. J’en avais récupéré une version PDF (légale), mais qui s’est avérée trop fastidieuse à lire sur écran; j’ai donc fini par l’acheter en livre.
Il faut reconnaître à Charles Stross un certain génie pour trouver des idées originales en SF et de construire des univers bluffants là-dessus. Témoin un de ses derniers romans, Neptune’s Brood, qui allie transhumanisme, hard-science et économie interstellaire.
Je vous ai déjà parlé du revenu de base, ou revenu universel. Si je vous en reparle aujourd’hui, ce n’est pas uniquement à cause d’une panne d’inspiration pour des sujets “vendredi vraie vie”, mais également parce que l’actualité de ces derniers temps est une excellente occasion pour ressortir le sujet.
Je ne reviendrai pas ici sur les résultats du vote du 9 février, en Suisse, mais sur un argument dont l’usage par les milieux de droite xénophobe commence sérieusement à m’inquiéter: celui de la croissance anarchique et du bétonnage du paysage.
Récemment, je suis tombé sur un bout d’informations à la télé. Hormis le fait que ça me rappelle pourquoi j’apprécie de moins en moins regarder les informations à la télé, j’ai été estomaqué d’entendre le commentateur parler du “prix des mesures antipollution”.
À la lecture du dernier billet en date de Charles Stross, intitulé avec la subtilité coutumière de l’individu Why I want Bitcoin to die in a fire, je suis en train de réviser mon opinion plutôt positive sur cette monnaie.
S’il y a vingt-cinq ans, avec la chute du Mur de Berlin, il s’en était trouvé certains pour ressusciter le concept de la “Fin de l’Histoire“, je me demande si, aujourd’hui, on n’est pas en train d’assister au commencement de la fin du travail, tout au moins en tant que valeur sacrée de notre civilisation. Attention, râlaisons de gauchiste à suivre!
The Pirate’s Dilemma, de Matt Mason, m’a été prêté par Jess et est resté un certain temps sur mes rayonnages. À l’époque, je venais de terminer Here Comes Everybody et j’étais assez peu enthousiaste à l’idée d’attaquer un autre bouquin du même genre, surtout datant de 2008.
Dans notre série “je suis l’équivalent geek d’une victime de la mode”, j’ai décidé de tester les Bitcoins. Officiellement, il s’agit d’une monnaie dématérialisée, décentralisée et open-source; officieusement, pour les francophones, c’est une excuse pour faire des jeux de mots foireux à base d’attributs virils et de canards.
Or donc, cette “société pollen” dont parle L’abeille et l’économiste, c’est quoi au juste? À vrai dire, je ne suis pas sûr d’avoir tout compris, mais je vais essayer de vous résumer le bazar à la louche. L’idée générale est… Continue Reading →
Je vous avais promis, dans un précédent article sur la « société pollen », plus de détails sur L’abeille et l’économiste, le livre de Yann Moulier Boutang qui en était à l’origine. Ayant fini par lire le bouquin en question, je ne… Continue Reading →
La société pollen est un projet économique et social très sérieux, discuté principalement dans les milieux écolos et qui, pour faire simple, propose de mettre l’accent sur les échanges d’idées plutôt que de marchandises.
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