Le Petit théâtre des opérations, tome 2
Avec ce deuxième tome, Le Petit théâtre des opérations revient sur quelques anecdotes piquantes, entre réalité historique et humour irrévérencieux.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Avec ce deuxième tome, Le Petit théâtre des opérations revient sur quelques anecdotes piquantes, entre réalité historique et humour irrévérencieux.
Le jeu de rôle approche bientôt de son demi-siècle et Julien Pirou a voulu revenir sur son histoire, dans La Grande aventure du jeu de rôle.
#jeuderole #jdr #histoire
Je me suis laissé convaincre par mes camarades du forum uchronique “1940, la France” continue d’acquérir Enemy at the Gates, de Justo Miranda.
Selon une ancienne légende, un ouvrage sur les donjons et les dragons révolutionna le monde. Jon Peterson étudie son impact avec The Elusive Shift.
Quel amateur de livre peut résister à un titre tel que La Bibliothèque impossible, anthologie signée alister?
Une des plus sûres manières de me faire froncer le sourcil, c’est d’écrire quelque part « ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire. »
Avez-vous déjà entendu parlé de Dixmunde? D’Albert Roche? Si la réponse est « non », vous n’avez pas lu Le Petit théâtre des opérations.
Et si Robert Oppenheimer s’était évertué à sauver l’humanité? C’est le thème qu’explore The Oppenheimer Alternative, de Robert J. Sawyer.
Raconter l’histoire de la SF en bande dessinée ressemble à une gageure. C’est pourtant le pari – au final plutôt réussi – de La Science-fiction.
J’aime l’histoire quand elle ne se prend pas trop au sérieux. Du coup, voici deux petites ressources historiques et néanmoins facétieuses.
Dans Le secret des Enfants-Rouges, de Claude Izner, le libraire Victor Legris s’embarque pour une enquête dans le Paris populaire de 1892.
Il y a quelques semaines, des lecteurs m’ont demandé de faire un article expliquant les différentes dénominations de prog. Alors oui, mais à ma sauce.
J’ai récupéré quelques livres de la série Le Juge Ti, de Robert van Gulick, des romans policiers historiques qui se déroulent en Chine au VIIe siècle.
Il y a quelques années, le hasard a voulu qu’à quelques mois de distance, deux blogs me parlent d’ouvrages de Gilles Thomas, spécialiste des catacombes.
Les Lions d’Al-Rassan, roman « historique » de l’auteur canadien Guy Gavriel Kay, c’est avant tout l’histoire d’une terre, la péninsule d’Espéragne.
Au XVIIe siècle, Pablos de Ségovie s’embarque pour les Indes pour y chercher gloire et fortune. Ayrolles et Guarnido vous racontent ça dans Les Indes fourbes.
Au début de Paradox Bound, de Peter Clines, Eli est un enfant de Sanders, petite ville du Maine dans laquelle il ne se passe jamais rien. Sauf quand une Ford A pilotée par Harry, une jeune femme vêtue d’une redingote et d’un tricorne déboule dans sa vie. Plusieurs fois.
Vous avez peut-être pu constater, au fil de certaines de mes chroniques littéraires, que j’ai un certain intérêt pour le fait religieux, pas forcément en relation avec une quelconque croyance. C’est dans cette catégorie que je classe la nouvelle BD de Fred Boot, Les Aventures de Rabbi Jeshua.
Il est rare que je vous parle de magazines et si ce hors-série de Guerres & Histoire intitulé Et si… ça s’était passé autrement? a attiré mon attention, c’est parce que c’est un titre “grand public” (une des revues du groupe Science & Vie) qui parle d’uchronie.
En règle générale, j’avoue volontiers une tendresse coupable pour les albums de power-metal symphonique, malgré tout leurs aspects kitsch et leurs claviers “pouët-pouët-licorne” – selon l’expression d’une amie. Pourtant, j’ai du mal avec Lionheart, dernier opus en date de Serenity.