Monkey3: Welcome to the Machine
Vous l’attendiez avec impatience, même si vous ne le saviez pas. Alors réjouissez-vous: le nouvel album de Monkey3, Welcome to the Machine, est arrivé!
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Vous l’attendiez avec impatience, même si vous ne le saviez pas. Alors réjouissez-vous: le nouvel album de Monkey3, Welcome to the Machine, est arrivé!
C’est enfin vendredi et l’Undertown annonce une soirée post-rock avec hubris. et Rhône. Et je résiste rarement à une soirée post-rock.
Vous pensez que je suis un influenceur? Je suis un influençable. À preuve, cet album de Dyssebeia, Garden of Stillborn Idols, découvert par Angry Metal Guy.
Stortregn est un groupe auquel je m’étais promis de m’intéresser depuis un moment. La sortie de Finitude, est enfin l’occasion de tenir cette promesse.
Restes du samedi avec une thématique « terroir », puisqu’il s’agit de deux groupes de metal genevois: Critical Heartbeat et Impure Wilhelmina.
Il y a un an, le Naheulband passait en concert au Pont Rouge de Monthey et samedi, c’était au tour de Magoyond, avec Fire Rain et les Fatals Picards!
J’aime bien l’histoire suisse et les légendes fantastiques. Il ne m’en fallait pas plus pour que je ramasse le premier tome de la BD Légendes suisses.
Les concerts en milieu de semaine, ce n’est pas idéal. Mais je n’avais pas envie de rater Villagers of Ioannina City, qui passait jeudi à l’Undertown.
C’est un peu vexant de s’intéresser à la scène musicale du cru et apprendre par Angry Metal Guy l’existence de De Sève et de Sang, premier album de Félonie.
Ça faisait un moment que je voulais vous parler de DarkFlow, groupe suisse de shock-rock, qui vient de sortir un nouvel album, Insane Circus.
Un groupe de cybermetal suisse qui commence par un S? Ce n’est pas Sybreed, ni même Samael, mais Sovereign, qui vient de sortir un album intitulé Rewired.
Lasskahl, formation suisse de metalcore progressif (ou ProgCore), m’a fait parvenir son EP, Seasons. Et c’est peut-être court, mais c’est très bon.
Rattrapage musical post-concert avec Lights of Night, d’Askara, récupéré dans la foulée de leur concert en première partie d’Aephanemer à Saint-Maurice.
Le 25 juillet 1940, alors que les officiers suisses se retrouvent sur la prairie du Grütli, l’Allemagne nazie déclenche l’Opération Tannenbaum, dans cette uchronie de Jean-François Amblard.
La thématique de ces Restes du Samedi, c’est le black-metal et, plus précisément, deux groupes vus récemment au Wild Boar Fest: Icare et Saor.
J’apprends soudainement – genre, dix jours avant – qu’Aephanemer passe au Manoir Pub de Saint-Maurice, avec Askara et Lethal Technology. Ben, go.
En juin 2019, le Wild Boar Fest célébrait La Dernière Messe, un festival black-metal. Eh bien même pas mort: le Wild Boar Fest revient pour une 6e édition!
Je reprends la tradition des concerts d’anniversaire avec, vendredi passé, Samael à l’Usine de Genève, avec Versatile, Carcariass et Kassogtha. Du subtil, donc.
Pour se remettre dans le bain des concerts, rien de tel qu’une scène du coin. Avec ici Trank, Backwater et Eternal Flight à la Barakason de Thônex.
Il y a des hasards: il y a peu, je pensais au groupe suisse Ticket to the Moon et, le lendemain, ils m’annoncent la sortie de leur nouvel album, Elements.