Scarlean: Silence
Ça fait un moment que je suis Scarlean et j’ai précommandé leur nouvel album Silence, tout en me demandant à quelle sauce celui-ci serait.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Ça fait un moment que je suis Scarlean et j’ai précommandé leur nouvel album Silence, tout en me demandant à quelle sauce celui-ci serait.
Différent style, même ambiance: In Stasis, le nouvel album de Monuments, propose un nouveau périple entre brutalité et mélodie.
Il y a des groupes qui poppent et vous mettent une grosse claque dans la tronche. Par exemple, Resolve et son premier album, Between Me and the Machine.
J’ai parfois tendance à chroniquer des bizarreries. Ce Underdogs, d’Illumenium, entre dans cette catégorie pour des raisons inhabituelles.
A Pale Blue Dot, de Dreamshade, n’est pas l’album que je recommanderais à un prog-snob ou à un metaleux puriste. Mais il est très cool quand même.
En écoutant Echoes of Existence, le nouvel album de Ascend the Hollow, je me dis que je devrais me méfier de mon propre enthousiasme.
Après presque quatre ans de hiatus, le groupe français de metal progressif Scarlean revient avec un deuxième album, Soulmates.
Black Anima, nouvel album de Lacuna Coil, sonne comme une résurrection pour un groupe qui m’a longtemps frustré avec ses albums qui s’épuisaient rapidement.
Je sais, je vous ai déjà parlé du Festival Octopode: un gros article de blog rien que pour lui, suivi (plus récemment) d’une grosse cargaison de photos. Pourquoi revenir là-dessus? Eh bien parce que Radio-Erdorin. Ça me paraît être une raison suffisante.
Pour un peu, j’ai failli oublier cette édition 2019 d’Octopode! Si j’y étais allé en 2016, en 2017 j’avais la tête dans les cartons et, l’année passée, j’étais à RPGers. Heureusement, la promo sur les réseaux sociaux a bien fait son travail.
Nouvelle édition thématique pour ces Restes du samedi, consacrés à deux groupes suisses – qui, en plus, commencent par un C. Et dont je vous avais déjà parlé, puisqu’il s’agit de Cellar Darling et de Chaoseum.
Donc, après cinq jours au Salon du livre, un passage à Lausanne pour l’AG de 2D Sans Faces, ce dimanche soir, retour à l’Undertown de Meyrin pour le concert de Cellar Darling, accompagnés de Chaoseum et de Geisterwald.
Un beau soir de mars, je me retrouve au centre de Genève avec une soirée à tuer. Comme la Nature est bien faite, ce même soir, le groupe de metalcore Down to the Bunker présentait son nouvel album, Misery. Et c’est comme ça que je suis entré pour la première fois dans une boutique de tatouage.
Almøst Human est un groupe suisse que je classerais volontiers dans le metal progressif pour la principale raison que j’aime bien leur musique. Mais, pour être franc, XS2XTC, leur nouvel album, est plus dans le metalcore mélodique – mais avec une grosse louche de prog tout de même.
Premier concert de la saison et on commence dans le subtil et délicat, avec la release-party de XS2XTC, le nouvel album de Almøst Human, en leur fief de l’Amalgame d’Yverdon, avec Promethee en spécial guest. Vous me direz: d’habitude, c’était les Erkonauts…
Droit derrière le concert de Mörglbl de la veille, me revoici devant une scène pour le quatrième Female Metal Fest. Sérieusement, il est temps que l’année se termine – ou, à tout le moins, que l’actualité se calme un peu! Heureusement, ce n’est pas très loin.
En relisant un peu au hasard certains de mes vieux billets, je suis tombé sur une chronique d’un groupe suisse, Dreamshade. Je me suis demandé ce qu’ils étaient devenus et paf! dix minutes plus tard, j’avais leur nouvel album, Vibrant, dans ma liste de lecture. Magie!
Phases est le deuxième album du groupe américain de metal progressif Next to None; c’est également le deuxième que je chronique en moins de six mois, mais surtout parce que j’avais du retard sur le premier et que je ne voulais pas aller les voir en concert sans savoir de quoi il retourne.
J’ai un beauf de bon conseil. Bon, avant qu’il ne devienne de la famille, Fulgan était déjà un bon pote – ça n’a pas changé depuis – et on se retrouvait sur pas mal de trucs, notamment musicaux. Du coup, quand il m’a parlé de Cleaver of the Mist, groupe français de metalcore, je suis allé y jeter une oreille. L’EP Sanctuary a été acheté dans la foulée.
Je suis faible. Notamment, quand on me propose, en service presse, un groupe originaire d’un pays exotique, je dis “oui” d’abord et j’écoute ensuite. C’est ainsi que je me suis retrouvé avec Theory of Mind, du groupe de death-metal émirati Svengali.