Dreamshade: A Pale Blue Dot
A Pale Blue Dot, de Dreamshade, n’est pas l’album que je recommanderais à un prog-snob ou à un metaleux puriste. Mais il est très cool quand même.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
A Pale Blue Dot, de Dreamshade, n’est pas l’album que je recommanderais à un prog-snob ou à un metaleux puriste. Mais il est très cool quand même.
En relisant un peu au hasard certains de mes vieux billets, je suis tombé sur une chronique d’un groupe suisse, Dreamshade. Je me suis demandé ce qu’ils étaient devenus et paf! dix minutes plus tard, j’avais leur nouvel album, Vibrant, dans ma liste de lecture. Magie!
Si j’en juge par sa production musicale de ces dernières années, j’ai l’impression que la Suisse est en train de perdre ses dernières inhibitions face au reste du monde, témoin Dreamshade et son nouvel album, What Silence Hides. Dans le genre death-metal mélodico-progressif, les p’tits jeunes de Lugano font très fort; Scandinaves et Teutons (sans parler des Grecs) n’ont qu’à bien se tenir!