Revoir Comanche
Revoir Comanche commence dans un bled paumé en Californie, en 1930. Une documentaliste cherche une légende de l’Ouest nommée Red Dust.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Revoir Comanche commence dans un bled paumé en Californie, en 1930. Une documentaliste cherche une légende de l’Ouest nommée Red Dust.
Il y a pas mal de groupes qui annoncent la couleur sur leur nom seul, comme le projet de rock progressif An Endless Sporadic et son album Magic Machine.
Rhyme Signatures a un don certain pour mettre la patte sur des albums qui sortent de l’ordinaire, comme Portal Hopper, de Mothman and the Thunderbirds.
Conclusion du diptyque lancé au tome 50, cette nouvelle livraison de Saint-Denis des Amériques, de la série uchronique Jour J, fait la part belle à l’action.
Je vais reprendre sans vergogne un artifice utilisé par de multiples chroniqueurs: Ridiculous and Full of Blood, de Julie Christmas, est fidèle à son titre.
Des Restes du samedi éclectiques: death-metal progressif avec Job for a Cowboy, black-metal industriel avec Samael, et prog-psyché-funk avec Sun Q.
Au Heavy Psych Sounds Festival, Deathchant m’avait tapé dans l’oreille avec ses harmonies à la guitare. Waste est leur deuxième album.
Il est temps de rattraper la bourde de cette semaine et d’écouter l’intégralité de Every Sound Has A Color In The Valley Of Night, l’album de Night Verses.
Je vais raccourcir le nom de cet album de Night Verses, Every Sound Has A Color In The Valley Of Night, part 1, en « Every Sound 1 », parce que bon.
Pendant la Guerre de Sécession, la rencontre de quatre aventuriers va changer le destin de l’Amérique dans le roman de Stéphane Przybylski, Burning Sky.
Séance de rattrapage post-live report: après avoir vu Wayfarer en première partie d’Enslaved, voici la chronique de leur album American Gothic.
Deuxième concert du mois et non des moindres: Enslaved débarque à l’Usine de Genève, avec Svalbard et Wayfarer pour une soirée qui sent le soufre. Et la bière. Et la sueur. Bref.
Les projets solo, c’est toujours casse-gueule, surtout dans le prog. Ça n’a pas arrêté Anyone, qui propose le double album Miracles in the Nothingness.
Huit ans qu’on attendait cet album de Earthside! Let the Truth Speak à la tâche de succéder à l’exceptionnel A Dream in Static, sera-t-il à la hauteur?
Vous vous souvenez que j’aime le post-rock, mais pas souvent enthousiasmé par les albums? End, d’Explosions in the Sky, c’est un peu l’exemple parfait.
Il y a des affiches auxquelles je peux difficilement résister, comme cette tournée commune « Leather Sacraments » au Château Rouge d’Annemasse.
L’Ouest, le vrai, avec ses shérifs, ses hors-la-loi. Et ses coups de foudre improbables, comme dans ce premier tome de Western Love.
Dans ce deuxième tome de MFK2, Lino, Vinz et Willy se retrouvent à Dark Vegas avec un camping-car défoncé et une grosse quantité de pognon.
Quand L’Usine de Genève annonce du post-rock, je dresse l’oreille. Surtout quand il s’agit de The Ocean, This Will Destroy You et Lost in Kiev.
Les tensions montent encore autour de Robert Kennedy, candidat à la présidence. Son destin se joue dans la deuxième partie du Chevalier noir de Camelot.