Azure: Fym
Nouvelle découverte du duo Rhyme Signatures / Notes Review, Fym, d’Azure, est un concept album que je pourrais qualifier de rock progressif archétypique.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Nouvelle découverte du duo Rhyme Signatures / Notes Review, Fym, d’Azure, est un concept album que je pourrais qualifier de rock progressif archétypique.
Je regarde avec suspicion les groupes avec une longue histoire ressortir des nouveaux albums. Mais Sommargryningsljus, de Kaipa, est très convaincant.
J’ai hésité à acheter To Follow Polaris, le nouvel album de The Tangent, échaudé par les précédents opus, mais j’ai fini par suivre l’avis de Notes Review.
Il y a des gens qui aiment bien les concepts, par exemple les post-rockers de Hubble et leur album du même nom, qui parle de conquête spatiale.
Il y a des groupes qui semblent mettre un point d’honneur à cocher les cases les plus improbables dans le bingo-metal. Ainsi, Griffon, avec De Republica.
Ceux qui suivent Radio-Erdorin reconnaîtront peut-être le nom de Defying. Il se trouve que le groupe existe toujours et a récemment sorti ce Wadera.
Un album qui propose des thèmes post-apo sur fond de prog-metal et de folk celtique va attirer mon attention comme Traverse the Bealach de Sgàile.
Derrière cette pochette très explicite se cache Lust & Passion / Lost in Passion d’Alan Charles, un concept-album qui ne l’est pas moins. Explicite, donc.
Les projets solo, c’est toujours casse-gueule, surtout dans le prog. Ça n’a pas arrêté Anyone, qui propose le double album Miracles in the Nothingness.
Résumé: en 2002 se crée Slumber, qui sort un unique album en 2004. Le groupe splite en 2011, mais se reforme sous le nom AtomA et sort Skylight en 2012.
Autre supergroupe », Oblivion Protocol propose, avec The Fall of the Shires, la suite directe du Legends of the Shires de Threshold.
La sortie d’un nouvel album de TesseracT, en l’occurrence de War of Being, c’est toujours un événement dans le petit monde du metal progressif.
The Vertical Plane, de Servers, est un concept-album de stoner inspiré par « l’affaire Dodleston », un mystère à l’authenticité douteuse datant de 1985
Avec Anno 1696, Insomnium propose un concept album sur la base d’une nouvelle historico-fantastique écrite par le bassiste et chanteur du groupe.
Des musiciens biélorusses, israéliens et turcs regroupés en Slovénie pour une épopée en URSS stalinienne: c’est Heal the Unhealed, de Seventh Station.
Un concept-album de rock progressif sur la Renaissance, c’est rare. The Rise of Medici en est un récent exemple, sous la houlette du projet Imaginaerium.
Toehider. Rien que le nom du projet. Et le nouvel album s’appelle I Have Little to No Memory of Those Memories, du metal progressif quelque peu barré.
Si la chronique qui m’a vendu The Signal Heard Throughout Space, de Parius, était dithyrambique, ce n’est pas sans raisons: cet album est impressionnant.
Je ne suis pas fan de Lovecraft, mais j’ai plutôt été impressionné par Les Enfants de Dagon, des Français qui se lancent avec un premier album, De Profundis.
Une sonde traverse l’espace pour observer un signal mystérieux. La sonde s’appelle Étrange; c’est aussi le nom de ce projet dont le nouvel album est Énigme.