Remedy: Pleasure Beats the Pain
Pleasure Beats the Pain de Remedy propose un hard-rock qui, tel un Immortel, aurait décapité Toto, Foreigner (et d’autres) pour leur voler leur énergie.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Pleasure Beats the Pain de Remedy propose un hard-rock qui, tel un Immortel, aurait décapité Toto, Foreigner (et d’autres) pour leur voler leur énergie.
Chaque fois que je visite Gibert Musique, à Paris, je repars avec l’album qui passe à ce moment. C’est le cas de ce IV: Sacrament, signé Wytch Hazel.
Pour se remettre dans le bain des concerts, rien de tel qu’une scène du coin. Avec ici Trank, Backwater et Eternal Flight à la Barakason de Thônex.
Nouvel épisode des Restes du Samedi, avec Abraham et Chainer, deux groupes de metal suisses, mais c’est un peu leur seul point commun.
Je fais souvent confiance aux chroniques d’AMG. Quand on me promet, avec Phototroph de Moon Tooth, une fusion prog-metal/hard-rock, je m’intéresse.
Bénis soient les longs week-ends, car ils me permettent de filmer et de monter les épisodes de Radio-Erdorin en temps et heure.
The Musical War est un ambitieux concept-album de metal, mais le musicien français Cris Luna a les moyens de ses ambitions.
Dream Theater qui passe en concert à Guitare en Scène, littéralement à cinq bornes de chez moi? C’est le genre d’occasion où je ne réfléchis même pas et j’achète le billet tout de suite.
Il m’arrive parfois de ramasser des albums sur un coup de tête. Non que des musiciens me balancent des coups de boule pour que je chronique leurs albums, mais plutôt que je vois un groupe dont j’ai vaguement entendu parler et que je me dis YOLO. C’est un peu le cas de ce Kryptshow de Magoyond.
C’est en train de devenir une tradition perso: les concerts d’anniversaire. Pour cette année, j’avais appris fortuitement la présence de Steve’n’Seagulls à Annemasse, la veille du jour en question. Donc, tournée générale de tickets pour la petite famille et hop!
C’est par un biais inhabituel que j’ai découvert Haze, un album du groupe suisse Black Willows datant de 2012: via un ami des Mercredis de la SF qui, connaissant mes goûts pour le prog, m’a passé cette galette aux arômes très seventies, entre prog, psychédélique et hard-rock.
Oui, je sais, je suis tout cassé, je ne devrais pas aller faire le zazou dans les concerts. Mais putain, c’est Yes! Yes qui passe à Genève! De mon vivant! Enfin, Yes feat. Jon Anderson Trevor Rabin & Rick Wakeman, ce qui est quand même un beau casting. Et, quand je dis Genève, c’est au festival Guitare en Scène de Saint-Julien en Genevois, à quinze bornes du centre.
Quatrième et dernier groupe italien du label Jolly Roger Records, Witchwood présente, avec son Litanies from the Woods, un album plus susceptible d’intéresser le prog-head moyen, surtout s’il est sensible aux sonorités seventies.
Nouvelle fournée de mini-chroniques pour les restes du samedi, la rubrique des albums qui sont pas inintéressants, mais qui ne m’inspirent pas assez pour pondre trois cents mots dessus. Pour cette fois, j’ai du hard-rock pour nerds avec Critical Hits, de Gygax, et du post-rock instrumental, avec Slow Ascent Melancholia de Parqks.
Ghost et moi, c’est l’histoire d’un coup de foudre: il y a six mois, je ne connaissais pas ce groupe suédois, qui propose une variante de hard-rock typé Californie 1974, mais avec des costumes absurdes et un fond de satanisme d’opérette. Et donc, hier soir, j’assiste à leur passage à l’Usine de Genève.
Après quelques écoutes de Meliora, dernier album en date du groupe mystérieux, mais néanmoins suédois Ghost, j’avais dit qu’il s’agissait d’un groupe de black-metal essayant de faire du prog, ou le contraire. En fait, Ghost est plus proche du “shock rock” des années 1970, dans l’esprit ainsi que dans le style.
Samedi soir, c’était soirée métal genevois-mais-pas-que (pas que genevois et pas que métal non plus) à l’Undertown de Meyrin. Selon l’expression consacrée – surtout par moi, mais je l’ai volée originellement au Joe Bar’s Team – vous avez raté, c’était génial!
Audrey Horne – dont le nouvel album, le bien nommé Pure Heavy, vient de sortir – est un groupe norvégien qui a décidé de ressusciter l’esprit des groupes de hard-rock des années 1970 avec un son contemporain. C’est plutôt une bonne idée, mais ce qui m’ennuie, c’est que c’est déjà ce que j’ai écrit pour le précédent, à peu de choses près. Et celui d’avant, aussi.
Au hasard d’une remontée d’un ancien billet sur Sonic Universe Experience, l’ami Gordon m’a gentiment fait découvrir un autre groupe niçois, Ulf, et son album Echo Promise, sorti en 2010. Deux ans plus tard, le groupe rendait le plaques, hélas, mais reste un album qui, a défaut d’être très original, s’avère plutôt plaisant.
Il y a des groupes qui vous redonnent la foi dans le rock français. Anasazi est un de ceux-ci: leur nouvel album, 1000 yard stare, n’est rien de moins qu’une petite bombe dans le monde feutré du rock et du métal progressif, un brûlot qui devrait les propulser dans la cour des grands, sinon y’a pas de justice!