Dawn: Live Case à Chocs 2014
Il y a dix ans, Dawn sortait son deuxième album, Darker, et entamait une série de concert, dont voici un enregistrement, intitulé Live Case à Chocs 2014.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Il y a dix ans, Dawn sortait son deuxième album, Darker, et entamait une série de concert, dont voici un enregistrement, intitulé Live Case à Chocs 2014.
Quand je pense au rock progressif, je pense souvent à la Grande-Bretagne. Big Big Train représente la continuité de cette tradition, avec The Likes of Us.
Je regarde avec suspicion les groupes avec une longue histoire ressortir des nouveaux albums. Mais Sommargryningsljus, de Kaipa, est très convaincant.
Il y a des points de contact entre prog et psychédélique et Sykofant, qui vient de sortir son premier album du même nom, se cale dans cette tendance.
Certains groupes ont une histoire compliquée, comme 35 Tapes, même si ce n’est pas immédiatement évident à l’écoute de leur nouvel album, Fabric of Time.
Six ans après leur premier album, le groupe français de rock progressif Audio’m revient avec un nouveau projet ambitieux, le concept-album Godzilla.
Pourquoi faut-il que ce soit toujours les épisodes de Radio-Erdorin pour lesquels j’ai une tonne de temps qui soient aussi difficiles à boucler?
C’est à l’instinct que j’ai pris ce Daedalus, dernier album en date de Daal. Je savais avoir déjà écouté ce groupe. Et c’est plutôt une bonne pioche.
Le rétro-prog de The Watch, qui vient de sortir ce The Art of Bleeding, s’inspire nettement de Genesis, période Peter Gabriel.
Une des surprises de ces derniers mois, c’est Soup, qui revient avec un nouvel album, Visions. Album qui marque un changement dans la forme.
Avec Big Big Train, on sait que chaque nouvel album, comme ce Common Ground, est du rétro-prog. C’est un défaut, mais aussi un avantage.
C’est grâce à une de mes contacts de la progosphère que j’ai découvert Entropy de Acolyte, un groupe australien qui fait du rock progressif.
Il s’est passé un truc ce dimanche? Je l’ai passé le nez dans le guidon. Enfin, dans le clavier, à finaliser le nouvel épisode de Radio-Erdorin.
Sur cette chronique de Islands, de The Flower Kings, je vous préviens que vous allez encore avoir droit à ma râlaison sur le rétro-prog.
J’ai failli écrire que je découvrais ici Arcade Messiah. À ma décharge, leur deuxième album était dans un style différent de ce The Host.
Je ne m’attendais pas à voir Dwellers of the Deep de Wobbler chroniqué dans Angry Metal Guy – et de tant kiffer cet album de rétro-prog.
Bientôt vingt ans que The Tangent trimbale son mélange prog-jazz-journal de bord. Auto Reconnaissance est le onzième album studio et il ne change pas beaucoup la formule. #progrock #retroprog
La sortie d’un nouvel album d’Opeth, comme ce In Cauda Venenum, est toujours un événement. Sauf quand a du mal à comprendre l’engouement qui l’entoure.
Du rock progressif, une pochette steampunk, un album qui se veut un hommage à l’œuvre du maître de l’animation japonaise Hayao Miyazaki, Toki no Kaze du groupe The Samurai of Prog a, sur le papier, tout pour me plaire. En vrai, c’est un peu plus compliqué.
Et allez, encore un supergroupe de rock progressif! Ça doit être la saison. Bon, si le nom est nouveau, le casting international de The Sea Within est composé de vieilles connaissances et ce premier album, du même nom, ressemble énormément à ce que faisaient en leur temps les Flower Kings, Transatlantic ou The Tangent.