Monuments: In Stasis
Différent style, même ambiance: In Stasis, le nouvel album de Monuments, propose un nouveau périple entre brutalité et mélodie.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Différent style, même ambiance: In Stasis, le nouvel album de Monuments, propose un nouveau périple entre brutalité et mélodie.
J’ai tendance à préférer les copies d’Opeth à l’original, surtout quand elles s’inspirent aussi de Wilderun. Exemple: Luna’s Call et son album Void.
Le titre du nouvel album de Pure Reason Revolution, Above Cirrus, se justifie pleinement: musicalement, c’est plutôt perché!
Ah, Marillion! Un nom qui claque au vent de l’histoire du rock progressif. Et ce nouvel album, One Hour Before It’s Dark, est-ce qu’il claque, lui aussi?
Le mystérieux duo britannique Nordic Giants revient avec Symbiosis, un nouvel album de rock cinématique qui va vous emmener très loin!
Marrant comme la réaction générale, quand je parle autour de moi de Senjutsu, le nouvel album d’Iron Maiden, c’est « tiens, ils font encore des albums? »
Avec Big Big Train, on sait que chaque nouvel album, comme ce Common Ground, est du rétro-prog. C’est un défaut, mais aussi un avantage.
Post-rock et post-metal sont deux genres cinématiques, instrumental ou avec des parties vocales. Migration, le nouvel album de Bossk, mélange les deux.
C’est peu dire que je l’attendais: Day and Age, le nouvel album de Frost* – un des groupes de prog les plus innovants – est enfin arrivé!
Il est toujours réjouissant de voir apparaître des groupes de rock progressif. Par exemple, Konom, qui balance un premier album impressionnant.
Quand deux organisations fusionnent, c’est un peu le zbeul. Dans Stiletto, de Daniel O’Malley, ces organisations sont secrètes et paranormales.
Amateurs de rock progressif, rembarquons à bord du dirigeable interstellaire de Transatlantic, pour un nouveau voyage, intitulé The Absolute Universe.
Aujourd’hui est la date idéale pour chroniquer The Future Bites de Steven Wilson. Ce billet n’est pas une blague; l’album, c’est pas sûr…
A Boy and His Dog at the End of the World est un titre qui résume bien ce roman de C. A. Fletcher: il y a un garçon, son chien et la fin du monde.
J’avais déjà chroniqué un album de Fen il y a près de dix ans. Ce nouvel opus, The Dead Light, se situe entre post-rock et black-metal.
Ne vous fiez pas à la couverture de The Rook, de Daniel O’Malley, et de son slogan « MI5 for Wizards ». C’est beaucoup plus malin que ça.
Ce premier album de Memories of Old, The Zeramin Game, m’a surpris: je ne m’attends pas à du power-metal qui part en mode full licorne.
Cinq ans après leur premier album, Countless Skies propose Glow, un mélange détonnant et enthousiasmant entre mélodeath et prog-metal.
Voyages psychédéliques, rencontres du douzième type et zigouigouis électroniques, bienvenue sur Space for the Earth, d’Ozric Tentacles!
Bientôt vingt ans que The Tangent trimbale son mélange prog-jazz-journal de bord. Auto Reconnaissance est le onzième album studio et il ne change pas beaucoup la formule. #progrock #retroprog