Cette chronique du nouvel album de Pure Reason Revolution, Coming Up to Consciousness, n’est pas parue en 2024. Parce que, voyez-vous, j’ai été déçu.
Après un album solo en 2021, un album de Porcupine Tree en 2022 (et une tournée en prime), Steven Wilson revient avec The Harmony Codex.
J’ai d’abord cru que Starfish64 faisait de la chiptune, mais Scattered Pieces of Blue est plutôt un album de pop-prog un peu suranné.
Accrochez vos ceintures, chaussez vos cyberlunettes polarisées: Galactikraken, vous accueille à bord de son Starship Velociraptor !
Aujourd’hui est la date idéale pour chroniquer The Future Bites de Steven Wilson. Ce billet n’est pas une blague; l’album, c’est pas sûr…
Six ans après le deuxième opus de leur Audio Guide to Happinness, Jolly revient avec un nouvel album, Family, entre rock, prog, pop et metal.
Steven Wilson l’avoue lui-même à demi-mots: To the Bone, son nouvel album, est un exercice de style. Un album pop pour un des grands noms du prog, inspiré par les glorieux prédécesseurs des années 1980 – au premier rang desquels le So de Peter Gabriel.
Avec Frost*, j’ai appris à me méfier. Leur précédent album, Experiments in Mass Appeal, avait mis du temps avant de me convaincre et j’avais écrit ma chronique trop tôt. Pour Falling Satellites, leur dernier album, j’ai décidé de prendre mon temps et de lui consacrer une bonne dose d’écoutes. Ce qui s’est avéré une bonne idée.
S’il devait bien y avoir une personne, dans le rock progressif contemporain, capable de vendre des albums sur son seul nom, ce serait sans doute Steven Wilson et son petit dernier, Hand. Cannot. Erase., vient une fois de plus de le prouver.
Soup, ça n’en est pas. Voilà, comme ça c’est fait; on peut se concentrer sur l’essentiel, c’est-à-dire The Beauty of Our Youth, un remarquable album de pop-prog venu tout droit de Norvège (avec un crochet par Neoprog, qui m’a encore fait découvrir là un truc exceptionnel).
Bruce Soord, c’est Pineapple Thief; Jonas Renkse, c’est Katatonia. Le premier écrit, le deuxième chante et mon tout, c’est Wisdom of Crowds, un album bizarroïde qui n’a à peu près rien à voir avec les deux groupes précités.
Donc, Songbook #1, de The Vicar… Comment dire? J’avoue, cet album a fait partie de la grande rafle gibertienne de début juillet et je l’ai ramassé dans un réflexe quasi-pavlovien. “Réflexe”, dans ce cas, rime avec “perplexe”.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑