Mastodon

Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag Porcupine Tree

Guitare en scène 2023

Le week-end passé, c’était Guitare en Scène et dimanche, c’était le jour avec Wishbone Ash, Magma et Porcupine Tree à l’affiche. Excusez du peu!

Porcupine Tree: Closure/Continuation

Dans la catégorie « qui revient de loin » Porcupine Tree fait très fort: treize ans après leur dernier album studio, le groupe sort ce Closure/Continuation.

Dark Suns: Everchild

Il y a des groupes dont la disparition ou l’arrêt provoque un grand vide, vide souvent comblés par des des émules plus ou moins doués. J’ai souvent parlé de Tool, mais dans le cas de Everchild, le nouvel album de Dark Suns, c’est plus du côté de Porcupine Tree qu’il faut regarder.

Gavin Harrison: Cheating the Polygraph

Il y a des gens chez qui le ouate-de-phoque – WTF pour les intimes – prend des dimensions d’art majeur. Déjà que Porcupine Tree nous avait gratifié de quelques moments bien délirants, mais voici que son batteur, Gavin Harrison, se prend de faire un album intitulé Cheating the Polygraph, où il reprend des titres du groupe à la sauce jazz, façon big band.

 

Amplifier: Echo Street

Si The Octopus, le précédent album du groupe anglais Amplifier, m’avait perplexifié par son trop grand éclectisme, Echo Street rectifie le tir en proposant une musique bien plus cohérente, empruntant à la fois au rock progressif mélancolique et aux anciens “grands maîtres” du genre, mais au détriment d’une certaine originalité.

Porcupine Tree: Octane Twisted

J’avoue: j’ai brièvement hésité avant d’acheter Octane Twisted, le nouvel album de Porcupine Tree. Hésité, parce que The Incident, le précédent, ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable; brièvement, parce que Porcupine Tree, quand même!

Steve Hogarth & Richard Barbieri: Not the Weapon but the Hand

Encore un album bizarre. Ça devrait être le dernier avant un moment. J’espère. Donc, Not the Weapon but the Hand est le fruit de la collaboration entre Steve Hogarth et Richard Barbieri. Si le premier évoque instantanément Marillion, le second me fait immanquablement penser à la variété italienne, qui m’est moins insupportable que la variété française pour la seule raison que je n’en comprends pas les paroles.

Steven Wilson: Grace for Drowning

Bon, c’est pas tout ça d’écrire des sujets qui font exploser mes stats, il est temps de retourner à mon anonymat habituel en reprenant les chroniques de rock progressif avec Grace for Drowning, le dernier album de Steven Wilson

Memories of Machines : Warm Winter

De deux choses l’une : ou vous êtes fan du style Steven Wilson et ce fort bien nommé Warm Winter de Memories of Machines va vous transporter une fois de plus, ou vous ne l’êtes pas et vous allez passer la journée à lancer hargneusement des fléchettes sur l’effigie du coupable.

Ulver: War of the Roses

Ulver propose avec War of the Roses une musique qui se rapproche beaucoup du rock progressif atmosphérique, quelque part entre le Peter Gabriel de Passion et Porcupine Tree.

 

The Pineapple Thief: Someone Here Is Missing

Malgré des initiales et un label commun, The Pineapple Thief n’est pas Porcupine Tree et ce nouvel album Someone Here Is Missing est là pour rappeler que s’il y a bien des similitudes entre ce groupe anglais et la bande… Continue Reading →

Crystal Palace: Reset

Visiblement, les Allemands de Crystal Palace aiment prendre leur temps: Reset, leur dernier album en date, est le cinquième en seize ans d’existence et vient sept années après leur précédent (si l’on excepte un bidule acoustique sorti il y a à peine quatre ans – une paille!). Bon, en même temps, ce n’est pas un gros problème, ni même une sorte de record (dans cette catégorie, Starcastle va être dur à détrôner).

Pinkroom: Psychosolstice

Et allez donc, après les plombiers, encore des proggeurs polonais qui viennent manger le pain des, euh… Excusez-moi, je m’égare. Une petite poussée de fièvre brune, il y a un virus qui tourne, ces jours. Bref, Pinkroom est un groupe… Continue Reading →

Demians: Mute

Donc, hier, c’était convenu. Aujourd’hui, place à l’audace et à Mute, nouvel album de Demians. Derrière ce nom, un Français du nom de Nicolas Chapel qui a décidé de ne pas faire dans le simple. Déjà, son premier album, Building an… Continue Reading →

Porcupine Tree: Atlanta

Ceci n’est pas une chronique musicale comme d’habitude: si je vous parle d’Atlanta, double album en concert du groupe de rock progressif britannique Porcupine Tree, c’est en grande partie pour vous inciter à écouter une bonne œuvre tout en faisant… Continue Reading →

[bleu]: Sincère autopsie de la finesse

Vous voulez de l’OVNI? Du bizarre, du barré, de l’inclassable? Voici donc Sincère autopsie de la finesse, un album du duo franco-suisse [bleu], qui opère quelque part entre le rock progressif, le rock électronique et le math-rock. Il y a du Porcupine Tree… Continue Reading →

Anathema: We’re Here Because We’re Here

Il est rare que j’attende et que je craigne avec autant de force un album tel que We’re Here Because We’re Here d’Anathema. Il faut dire qu’autant je suis fan de ce groupe anglais, dont le style occupe un espace indéfinissable entre le rock progressif, le post-rock et le métal, voisin de celui que s’est creusé Porcupine Tree et ses affiliés, autant leur précédent album, l’ultra-mou Hindsight, m’avait laissé le souvenir impérissable des catastrophes ferroviaires dont on est le témoin au premier chef.

Paul Cusick: Focal Point

Si le nom de Paul Cusick, multi-instrumentiste, compositeur et producteur britannique, vous est inconnu, c’est un peu normal. Même s’il a déjà collaboré, en tant que musicien, à plusieurs groupes (à côté de son emploi d’ingénieur civil indépendant), ce ne… Continue Reading →

Leech: The Stolen View

Un des trucs rigolos avec le rock progressif, c’est que c’est très international. À preuve, il y a même des groupes suisses, comme Leech, dont j’ai acheté le dernier album, The Stolen View. Là où ça devient rigolo, c’est qu’il m’a fallu passer par les critiques d’un prozine belge (Prog-résiste, pour ceux qui ne l’avaient pas reconnu) pour en arriver là, alors que c’est un groupe qui tourne depuis près de quinze ans et qui a seulement trois albums à son actif.

Mistercake: Fill Empty Spaces

À force de vous sortir des groupes aussi improbables, vous allez finir par croire que je vous les invente par pur désœuvrement, mais Mistercake existe non seulement, mais il m’a parlé! Enfin, écrit; du coup, cette critique est un peu une commande, ce qui prouve que, lentement mais sûrement, Blog à part est en train de devenir le site de référence en matière de musiques bizarres, de groupes introuvables venus d’horizons improbables, le Télérama du prog et assimilés, muhahaha!

« Older posts

© 2025 Blog à part — Powered by WordPress

Theme by Anders NorenUp ↑