Voyager: Fearless in Love
Je ne sais pas si, comme le suggère le titre de leur nouvel album, Fearless in Love, les membres de Voyager sont amoureux, mais il n’ont peur de rien!
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Je ne sais pas si, comme le suggère le titre de leur nouvel album, Fearless in Love, les membres de Voyager sont amoureux, mais il n’ont peur de rien!
Après l’exceptionnel Ghost Mile, le nouvel album de Voyager, Colours in the Sun, allait-il, à l’image de leur metal progressif survitaminé, rebondir?
Après moult délibérations avec moi-même, j’ai décidé, pour l’année 2017, d’accorder la modérément prestigieuse récompense de “mon album de l’année” à Ghost Mile, de Voyager – à la fois pour l’album et pour leur prestation live à Zoug. La décision a été un peu difficile en l’absence d’un vrai coup de cœur, mais j’ai vraiment apprécié la fraîcheur de ce metal progressif mâtiné du meilleur du Hard-FM, accessible et complexe à la fois.
Samedi, 8 h du matin. J’ai encore dans les oreilles le concert de la veille avec Nubia, Voyager et Uneven Structure au Industrie 45 de Zoug.
Il y a des groupes dont on n’attend pas forcément des merveilles et qui parviennent à vous surprendre. Ghost Mile, du groupe de metal progressif australien Voyager, fait partie de ces surprises – pas tant par son originalité, mais par sa qualité globale.
Je ne sais pas trop ce que les Australiens mettent de spécial dans leur bière, mais leur production en métal progressif qui dépote est assez exceptionnelle. Témoin V, cinquième (logique) album du groupe Voyager, qui vient se placer au milieu d’une scène déjà impressionnante, entre Breaking Orbit, Vanishing Point, Chaos Divine ou Karnivool.