Weeping Silence: Isles of Lore
Du death-metal gothique progressif originaire de Malte? Eh bien oui, Isles of Lore, de Weeping Silence, est bel et bien ce que j’annonce ici.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.
Du death-metal gothique progressif originaire de Malte? Eh bien oui, Isles of Lore, de Weeping Silence, est bel et bien ce que j’annonce ici.
Non, ce n’est pas le 1er novembre, mais le 32 octobre et, du coup, cette chronique du nouvel album d’Eleine, We Shall Remain, n’est pas en retard.
Séance de rattrapage avec les derniers albums des deux groupes vus en concert récemment. Et je commence avec Ignea et Dreams of Lands Unseen.
Il y a douze ans, Wintersun sortait Time I. Cette suite, Time II, arrive donc bien tard. Et la question est de savoir si ça valait l’attente.
C’est grâce à Fulgan que je me suis retrouvé au concert de Eleine et Ignea, au Pont Rouge de Monthey, soirée sous le signe du metal symphonique vénère.
Mother of Millions était passé sous mon radar depuis Artifact et avant la sortie de ce Magna Mater. Bon, entretemps, ils n’avaient sorti qu’un EP.
Une fois de plus, c’est une chronique de Rhyme Signatures qui m’a mis sur la piste de cet album d’atmoblack, Astral Journey pt I: Creation, signé Eldamar.
L’Italie est une nation qui nous donne des groupes de metal très variés, comme Eva Can’t, qui vient de sortir le très impressionnant Emisferi.
Quand on est chroniqueur, certains albums sont des passages obligés. En metal progressif, Melodies of Atonement de Leprous rentre dans cette catégorie.
Je suis en vacances. Ça m’arrive et ça m’a permis d’appréhender ce nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour le mois de septembre, de façon plus sereine.
Avant cette chronique de Manifesto, de Sunburst, j’avais parlé du groupe en 2016, pour Fragments of Creation, mais ils n’ont pas fait d’albums entre deux.
Il y a pas mal de groupes qui annoncent la couleur sur leur nom seul, comme le projet de rock progressif An Endless Sporadic et son album Magic Machine.
Ce samedi 28 septembre, il y avait le CrabCore Fest. Certes, mais il y avait aussi Slift à Annecy. Du coup, désolé les gars, mais ça écrase un peu tout…
Mes conseils en création: « un: pompez; deux: changez les noms ». Wheel n’a sans doute pas suivi ce conseil, mais leur album Charismatic Leaders l’illustre.
Quand ProgCritique mentionne Saga dans une de ses chroniques, je ne peux qu’embrayer. Et c’est ainsi que je découvre Magic, le nouvel album de Voyager-X.
Après avoir été peu enthousiasmé par leur précédent opus, j’ai cependant donné une nouvelle chance à Avaland avec The Legend of the Storyteller.
Histoire de vous casser le cerveau, je pose cet album au milieu d’une séquence prog. Scars of Yesteryears, de Inherits the Void, c’est un poil plus brutal.
Oneironauts, de Quantum Fantay, c’est l’occasion de ressortir une vieille blague belge, du genre « comment dit-on Ozric Tentacles en Belgique? »
Avec True, de Jon Anderson and the Band Geeks, c’est le retour d’une légende (bien) vivante du rock progressif: le chanteur emblématique de Yes.
Nouvelle découverte du duo Rhyme Signatures / Notes Review, Fym, d’Azure, est un concept album que je pourrais qualifier de rock progressif archétypique.