Il y a des groupes pour lesquels on est heureux de les savoir encore en vie, qui plus est à faire de la musique. Par exemple, Obiymy Doschu, qui vient de sortir Vidrada.
Marc Fischer, sur mon direct vendredi passé, m’a invité à découvrir Trigones Plus. J’écoute un clip, plus un deuxième et j’achète L’Ombre de l’Horloge.
J’avoue que j’ai hésité un moment avant de rafler Skeletá, le dernier opus de Ghost, chez mon fourgue habituel. Mais je dois également avouer qu’il est plutôt sympa.
C’est souvent avec appréhension que j’entreprends l’écoute d’albums-événements, comme The Overview, le nouvel opus de Steven Wilson.
Il y a des groupes pour lesquels je n’essaye même pas d’avoir une once d’objectivité. IQ est de ceux-ci et ce n’est pas ce Dominion qui va me faire changer d’avis.
Il y a des artistes dont la production est tellement pléthorique qu’il est difficile de tout suivre. Notamment Karfagen, qui vient de sortir Omni.
Le metal est souvent une affaire de posture. Alors, quand arrive un album comme Hour of the Nightingale, de Trees of Eternity, qui parle de mort et d’oubli pour de vrai, ça fait dissonance cognitive.
Il n’est pas nécessaire d’être turbo-original-avant-gardiste-de-l’ultime-frontière pour être appréciable. True Stories… and Other Lies, de Pryzme, le prouve de belle manière.
Pour ces Restes du Samedi, trois albums écoutés ces derniers temps: When Serenity Prevails de Ashes in the Fall, Enisum’s Roots par Enisum et Icterus II signé stef.in.
La vie est peut-être un long fleuve tranquille pour certains, ça ne semble pas être le cas pour Anasazi, qui vient de sortir un nouvel album, Universe 25.
Des groupes suisses qui font du post-rock mâtiné de space-rock, de prog et de krautrock, comme TALC sur cet album intitulé III, c’est beaucoup plus rare.
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