Quantum Fantay: Oneironauts
Oneironauts, de Quantum Fantay, c’est l’occasion de ressortir une vieille blague belge, du genre « comment dit-on Ozric Tentacles en Belgique? »
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.
Oneironauts, de Quantum Fantay, c’est l’occasion de ressortir une vieille blague belge, du genre « comment dit-on Ozric Tentacles en Belgique? »
Avec True, de Jon Anderson and the Band Geeks, c’est le retour d’une légende (bien) vivante du rock progressif: le chanteur emblématique de Yes.
Nouvelle découverte du duo Rhyme Signatures / Notes Review, Fym, d’Azure, est un concept album que je pourrais qualifier de rock progressif archétypique.
Encore un groupe de metal progressif! Certes, mais The Anchoret est un groupe qui nous emmène dans une autre direction avec It All Began with Loneliness.
Le metal progressif est un genre varié et si je compare Nascence, de The Aphelion, avec le précédent chroniqué, il y a quand même des différences majeures.
Rhyme Signatures a un don certain pour mettre la patte sur des albums qui sortent de l’ordinaire, comme Portal Hopper, de Mothman and the Thunderbirds.
L’épisode d’août de Radio-Erdorin n’aura ni live, ni bonus: dix albums et moins de vingt-cinq minutes, c’est rafraîchissant. Ce qui est bon à prendre.
C’est au cours d’une des émissions de MoM que j’ai entendu parler de Inner Landscape et de 3h33. Du post-metal en produit régional, ça m’intéresse.
Septembre arrive, avec lui bientôt l’automne et le froid. Alors on va commencer ce mois en douceur avec Lost Places, dernier album en date d’Electric Mud.
Il y a dix ans, Dawn sortait son deuxième album, Darker, et entamait une série de concert, dont voici un enregistrement, intitulé Live Case à Chocs 2014.
Le metal que est souvent affaire de contraste. Et « contraste » est un peu le maître-mot de Hand of Kalliach sur cet album, Corryvreckan.
Autre recommandation en metal progressif venue des vidéastes anglophones, notamment Notes Review: VIII, de Vicinity est classique, mais efficace.
C’est sur la foi d’une recommandation de Rhyme Signatures que je me suis intéressé à Kaleidoscope, de The Stranger, dont le défaut est d’être paru en 2021.
Pleasure Beats the Pain de Remedy propose un hard-rock qui, tel un Immortel, aurait décapité Toto, Foreigner (et d’autres) pour leur voler leur énergie.
Rhyme Signatures est un fan des canards, il ne pouvait donc que recommander Duck, le nouvel album de The Aristocrats. Je suis un peu moins enthousiaste.
Je vais reprendre sans vergogne un artifice utilisé par de multiples chroniqueurs: Ridiculous and Full of Blood, de Julie Christmas, est fidèle à son titre.
Ça a été plus compliqué que prévu de faire cet épisode de Radio-Erdorin, pour juillet 2024. Tourner une vidéo par plus de 30°, ce n’est pas génial.
Le fait que j’achète Stasis, le nouvel album de Hippotraktor, sans connaître quoi que ce soit au groupe ne doit rien au hasard: j’ai été influencé.
Ce qui est bien avec un groupe comme Alcest, c’est qu’on sait à quoi s’attendre quand sort un nouvel album, comme ce Les Chants de l’aurore.
Quand deux vidéastes prog encensent un album, je dresse forcément l’oreille. Et, dans le cas de ce Bellum II, de Aquilus, je ne peux qu’abonder dans leur sens.