Turbulence: Frontal
C’est grâce à l’amie Coralie que j’ai découvert cette petite pépite de metal progressif qu’est Frontal, le deuxième album des Libanais de Turbulence.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.
C’est grâce à l’amie Coralie que j’ai découvert cette petite pépite de metal progressif qu’est Frontal, le deuxième album des Libanais de Turbulence.
Nouvelle année, nouvelle « saison » de Radio-Erdorin! Et, comme d’habitude, je n’ai à peu près rien changé. L’épisode est sur YouTube et sur Peertube.
Il est paradoxal qu’un groupe comme Bruit ≤ fasse des albums extrêmement mélodiques, comme c’est le cas ici avec Apologie du temps perdu vol. 1.
Le « pirate-metal », c’est souvent axé « bière et déconne ». Ce n’est pas le genre de The Privateer, comme j’ai pu le constater avec Kingdom of Exiles.
Moment de pure joie, en apprenant que Saor allait passer en concert pas loin, puis moment de pure panique, en réalisant que je n’avais pas écouté Origins.
Comme disait un certain Mal, ça ne s’est pas trop mal passé. « Ça », c’était le livestream de Radio-Erdorin pour parler du bilan 2022 de la chaîne.
Comme l’actualité musicale est plutôt calme, c’est le bon moment pour les Restes du samedi, avec Anzillu, Silver Nightmares, et Vengeur.
Aux frontières du prog et du metal extrême, Song of Salvation de Dream Unending, un album où le metal surfe du côté death, doom, gothique.
Des musiciens biélorusses, israéliens et turcs regroupés en Slovénie pour une épopée en URSS stalinienne: c’est Heal the Unhealed, de Seventh Station.
Janvier semble placé sous le signe du metal progressif à la Between the Buried and Me. Nouvelle illustration avec A Swan by the Edge of Mandala, de Vorbid.
Vous aimez le metal progressif? Vous aimez le death technique? Les deux ensemble? J’ai ce qu’il vous faut: Iconic, de Obsidious.
Le suspens, faire monter la sauce, toussa, c’est pas trop mon truc. Bref, c’est Necropolis de Magoyond qui est mon album de l’année 2022.
Un concept-album de rock progressif sur la Renaissance, c’est rare. The Rise of Medici en est un récent exemple, sous la houlette du projet Imaginaerium.
Ma chronique du précédent album de Syn Ze Şase Tri a été une des plus lues de2022. On va voir si celle de ce Ultimu’ lup, va renouveler l’exploit.
Il faudra dire à King Buffalo que trois albums en quinze mois, c’est un peu abusé. Cela dit, Regenerator est la conclusion d’une trilogie psychédélique annoncée.
J’ai une tendresse pour le violon comme instrument rock et Cydemind propose, avec son nouvel album The Descent, du prog-meta instrumental au violon.
Même si, techniquement, nous sommes déjà en 2023, pour Radio-Erdorin, l’année 2022 n’est pas encore terminée. L’épisode de décembre est désormais en ligne.
Prenez des membres de Porcupine Tree et King Crimson, ajoutez-y un guitariste et un chanteur, LEF, et vous obtiendrez O.R.k., qui revient avec Screamnasium.
Le nouvel album de Behemoth s’appelle Opvs Contra Natvram, « œuvre contre nature ». Ils sont comme ça, Behemoth.
Je vous avais déjà parlé de Ef, qui vient de sortir We Salute You, and You, and You. Mais si, ne faites pas genre « j’ai oublié », c’était en, euh… 2010.