Vicinity: VIII
Autre recommandation en metal progressif venue des vidéastes anglophones, notamment Notes Review: VIII, de Vicinity est classique, mais efficace.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Autre recommandation en metal progressif venue des vidéastes anglophones, notamment Notes Review: VIII, de Vicinity est classique, mais efficace.
Il y a des points de contact entre prog et psychédélique et Sykofant, qui vient de sortir son premier album du même nom, se cale dans cette tendance.
Un des clichés du metal, c’est le groupe de death-metal mélodique scandinave. Une écoute de Solemn, prouve qu’In Vain sont un peu tout, sauf un cliché.
True North avait été pour moi une découverte marquante de 2019, alors quid de ce nouvel album de Borknagar, sobrement intitulé Fall?
Deuxième concert du mois et non des moindres: Enslaved débarque à l’Usine de Genève, avec Svalbard et Wayfarer pour une soirée qui sent le soufre. Et la bière. Et la sueur. Bref.
L’adage nomen est omen se vérifie souvent, comme avec Madder Mortem, à la fois cinglé et macabre. La preuve avec ce nouvel album, Old Eyes, New Heart.
Certains groupes ont une histoire compliquée, comme 35 Tapes, même si ce n’est pas immédiatement évident à l’écoute de leur nouvel album, Fabric of Time.
On peut mesurer la vivacité d’un genre aux nouveaux projets. À cet aune, le prog n’est pas (toujours) mort, comme le prouve Provenance d’Ozul.
Quand Angry Metal Guy publie une chronique sur Ghosts from the Past, de Vulture Industries, en comparant ce groupe à Arcturus, je ne réfléchis pas plus loin.
The Approbation, de AVKRVST est un album qui semble faire l’unanimité parmi les chroniqueurs prog. Du coup, j’ai décidé de lui consacrer quelques écoutes.
Si vous aimez le rock progressif et le black-metal, vous ne pouvez qu’aimer Enslaved, qui reviennent avec un nouvel album, Heimdal.
Janvier semble placé sous le signe du metal progressif à la Between the Buried and Me. Nouvelle illustration avec A Swan by the Edge of Mandala, de Vorbid.
Une des surprises de ces derniers mois, c’est Soup, qui revient avec un nouvel album, Visions. Album qui marque un changement dans la forme.
Ça fait un moment que j’écoute Aphelion, de Leprous. Et, à l’heure d’écrire sa chronique, je suis toujours perplexe. Est-ce le groupe qui a changé ou moi?
Bergeton, c’est un p’tit jeune qui débute et qui veut faire son John Carpenter avec un album – Miami Murder – de synthwave. Sauf que…
Mine de rien, après plus de vingt ans, Gazpacho continue sa promenade lente à travers la psyché humaine avec Fireworker, son onzième album.
Peut-on encore classer Enslaved en black-metal? Est-ce qu’on s’en fout pas un peu, des étiquettes? On peut se le demander en écoutant Utgard.
Je ne m’attendais pas à voir Dwellers of the Deep de Wobbler chroniqué dans Angry Metal Guy – et de tant kiffer cet album de rétro-prog.
Le power-prog metal a beau tenir de l’oxymore, le genre existe et donne régulièrement des galettes sympathiques, comme Mindweaver, du groupe Course of Fate.
La tendance du moment semble être au retour des anciens de la scène prog. Green Carnation, après quatorze ans d’absence, revient avec Leaves of Yesteryear.