Leprous: Melodies of Atonement
Quand on est chroniqueur, certains albums sont des passages obligés. En metal progressif, Melodies of Atonement de Leprous rentre dans cette catégorie.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Quand on est chroniqueur, certains albums sont des passages obligés. En metal progressif, Melodies of Atonement de Leprous rentre dans cette catégorie.
Ça fait un moment que j’écoute Aphelion, de Leprous. Et, à l’heure d’écrire sa chronique, je suis toujours perplexe. Est-ce le groupe qui a changé ou moi?
Bon, on est le 20 décembre, il faut quand même que je vous parle de Pitfalls, le nouvel album de Leprous. Il est bien. Mais juste bien.
Quand on est fan de prog en Suisse, que ce soit dans sa version rock ou metal, il y a une salle incontournable: le Z7 de Pratteln. Néanmoins, ces dernières années, j’ai l’impression que le KiFF d’Aarau est en train de se forger une solide réputation dans ce domaine. Témoin ce concert de Leprous, avec Agent Fresco et 22 en premières parties.
Dans un commentaire sur le billet de samedi, je mentionnais que ma liste de lecture musicale comportait trois monstres: en plus d’Eva Can’t et d’In Tormentata Quiete, il y avait Malina, le nouvel album de Leprous.
Leprous est un groupe norvégien dont j’entends parler depuis un petit moment, mais je n’ai réellement sauté le pas qu’avec ce Coal, leur nouvel album paru tout récemment. Le moins que je puisse en dire, c’est que je ne suis pas déçu, mais également que je ne sais pas trop par quel bout le prendre.