Ho99o9, Carpenter Brut et Perturbator à Annemasse
Il y a des affiches auxquelles je peux difficilement résister, comme cette tournée commune « Leather Sacraments » au Château Rouge d’Annemasse.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Il y a des affiches auxquelles je peux difficilement résister, comme cette tournée commune « Leather Sacraments » au Château Rouge d’Annemasse.
Ce serait exagéré de dire que c’est un objet de moins dans ma bucket list, mais pour la première fois dans ma vie je suis allé à la Fête de la Musique.
Je rempile pour une quatrième saison de Radio-Erdorin! Le premier épisode est en ligne, sur YouTube et sur Peertube, et il y a quelques changements.
Ça vous arrive d’acheter un album sur un coup de tête et trouver ça cool quand même? C’est à cause de Mastermind, de Tardigrade Inferno.
Je ne suis pas un fan de pirate-metal, alors quand Barbar’O’Rhum m’a envoyé son album Journal de B’O’R, j’étais quelque peu circonspect.
Alerte copinage! Les potes genevois de The Erkonauts déboulent avec leur nouvel album de progressive-punk-metal, I Want It to End.
Au début du XXIVe siècle, des jeunes gens vont réinventer une musique de révolte. C’est le point de départ d’Outrage et Rébellion, de Catherine Dufour.
Il y a les groupes mainstream, les trucs expérimentaux et puis les machins franchement barrés, comme Quelque part entre la guerre et la lâcheté de Dronte.
Ce concert d’Alcest à l’Usine de Genève n’était absolument pas prévu. Même de ses organisateurs, qui l’ont annoncé le jeudi avant.
Je sais, je vous ai déjà parlé du Festival Octopode: un gros article de blog rien que pour lui, suivi (plus récemment) d’une grosse cargaison de photos. Pourquoi revenir là-dessus? Eh bien parce que Radio-Erdorin. Ça me paraît être une raison suffisante.
Pour un peu, j’ai failli oublier cette édition 2019 d’Octopode! Si j’y étais allé en 2016, en 2017 j’avais la tête dans les cartons et, l’année passée, j’étais à RPGers. Heureusement, la promo sur les réseaux sociaux a bien fait son travail.
Marrow, de Madder Mortem, c’est un album sous le signe du chiffre 13 – comme M, la treizième lettre de l’alphabet. Enfin bon, peut-être pas, mais ça collerait assez bien avec ce mélange bizarre de metal progressif à tendances black et punk.
J’avoue: je n’ai pas trop besoin qu’on me pousse pour aller voir The Erkonauts en concert. Si, en plus, la soirée inclut du rock progressif avec un groupe local, Cosmic Rain, en première partie, ça devient vraiment compliquer de trouver des excuses pour ne pas y aller. Un vendredi soir? Bon, ben go alors.
C’est devenu une tradition genevoise: mi-janvier, Ales Campanelli, le bassiste et chanteur des Erkonauts, fête son anniversaire à l’Écurie avec son groupe et des potes. En l’occurrence, c’est Bak XIII qui fait le supporting act pour ce qui est pour moi le premier concert de 2018. Et aussi la première occasion d’entendre les nouveaux morceaux des Erkons en live.
Un peu comme un Père Noël metal à bord d’un bombardier lourd nommé I Shall Forgive, voici les Genevois de The Erkonauts qui reviennent avec des brûlots par milliers. N’oubliez pas vos petits souliers coqués!
Genève n’a pas exactement la réputation d’être une région débordante d’activité festive, mais ça n’empêche pas que, parfois, on se retrouve avec des événements surprenants, tel ce festival Octopode, qui propose chaque année deux jours de festival gratuit avec des groupes locaux et des pointures internationales.
Dernier jour de Paléo 2016, retour avec ma dame: le soleil brille, un peu de vent apporte de la fraîcheur sur la plaine de l’Asse (insérez ici blague scato), où la boue a presque disparu. Conditions idéales pour les concerts en plein air – sauf qu’on file de nouveau sous le Dôme.
Pas mal de nouveautés sur ma playlist, ces derniers temps, et donc, fatalement, pas mal de candidats pour ces Restes du samedi, la chronique musicale des albums que je n’ai pas vraiment aimés – souvent par goût plus que par manque de qualité – avec Kind Words de Corbeaux, Hanté de Errantia et The Devil Strikes Again de Rage.
Alors tout commence dans un squat, avec deux punks qui font les cons et leur copine qui râle parce qu’elle veut dormir. Le problème, c’est que le chambard est en partie dû à un soudain effondrement civilisationnel pour cause d’invasion de zombies: c’est Le club des punks contre l’Apocalypse zombie, de Karim Berrouka.
Avec ce très réjouissant premier album intitulé I Did Something Bad, The Erkonauts, groupe genevois qui mélange métal, punk, et inspirations venues du rock progressif, peuvent dire – à l’instar de la Flander’s Company – qu’ils font le mal, mais qu’ils le font bien.