Corto Maltese: La Ballade de la Mer Salée
Il n’est jamais trop tard pour se faire une culture: si j’ai acheté La Ballade de la Mer Salée, c’est parce que je n’avais jamais lu de Corto Maltese.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Il n’est jamais trop tard pour se faire une culture: si j’ai acheté La Ballade de la Mer Salée, c’est parce que je n’avais jamais lu de Corto Maltese.
Le « pirate-metal », c’est souvent axé « bière et déconne ». Ce n’est pas le genre de The Privateer, comme j’ai pu le constater avec Kingdom of Exiles.
Je ne suis pas un fan de pirate-metal, alors quand Barbar’O’Rhum m’a envoyé son album Journal de B’O’R, j’étais quelque peu circonspect.
Un monde-fleur, des pirates, un trésor, un orphelin: Les Pirates de l’Escroc-Griffe, de Jean-Sébastien Guillermou, est un roman de fantasy marine.
Autant j’avais bien apprécié le premier tome du Vaisseau ardent, de Jean-Claude Marguerite, autant j’ai eu plus de difficultés avec cette deuxième partie, intitulée La Rédemption du pirate.
Il m’a fallu du temps, mais j’ai fini par boucler Le Pirate Sans Nom, le premier tome du Vaisseau ardent, de Jean-Claude Marguerite, intrigué par ce texte que l’auteur m’avait envoyé en service presse il y a maintenant un an.