Wintersun: Time II
Il y a douze ans, Wintersun sortait Time I. Cette suite, Time II, arrive donc bien tard. Et la question est de savoir si ça valait l’attente.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Il y a douze ans, Wintersun sortait Time I. Cette suite, Time II, arrive donc bien tard. Et la question est de savoir si ça valait l’attente.
Mes conseils en création: « un: pompez; deux: changez les noms ». Wheel n’a sans doute pas suivi ce conseil, mais leur album Charismatic Leaders l’illustre.
L’achat de cet album de Smoulder, Violent Creed of Vengeance, est le résultat combiné d’un intense lobbying et de ma faiblesse de caractère.
Stratovarius et moi, c’est compliqué ™. J’ai essayé quelques albums et j’avais lâché la grappe avant que l’ami Ploum ne m’encourage à écouter Nemesis.
La frontière entre genre musicaux a toujours été quelque chose de flou. Le dernier album de Von Hertzen Brothers, Red Alert in the Blue Forest, le prouve.
Si je vous dis « groupe finlandais de mélodeath », vous me dites?… Comment ça « trop de choix »? Un de plus avec Stormbringers, de Before the Dawn.
Bienvenue à l’Undertown de Meyrin pour une soirée de mélancolie morbide et de ténèbres pesantes, avec Shores of Null, Avatarium et Swallow the Sun.
The Garden, de Hanging Garden, c’est du death-metal mélodique teinté de doom, ou peut-être le contraire. Mais dans tous les cas, c’est vraiment bien.
Avec Anno 1696, Insomnium propose un concept album sur la base d’une nouvelle historico-fantastique écrite par le bassiste et chanteur du groupe.
Il n’est pas impossible que j’ai été surtout attiré par le nom de cet album, As in Gardens, so in Tombs, ainsi que par celui du groupe, … and Oceans.
Comme l’actualité musicale est plutôt calme, c’est le bon moment pour les Restes du samedi, avec Anzillu, Silver Nightmares, et Vengeur.
En metal symphonique, on pense à des groupes comme Nightwish, Epica, voire Septicflesh. Nemesis, de Gladenfold, est un peu comme ça et pas vraiment.
Entre néoclassique, musique du monde et musique électronique, il existe un espace dans lequel vous trouverez cet album, Sunir, du projet Ianai.
Violons? Flûte? Accordéon? Ambiances forestières? Pas de doute: le nouvel album de Marrasmieli, Martaiden mailta, est bien du black-metal atmosphérique.
Amorphis est de retour avec un nouvel album, Halo, et ils ont évité le faux pas qui m’avait quelque peu pourri leur précédent, Queen of Time.
Moonflowers, de Swallow the Sun, est un autre album qui a fait pas mal de bruit et quil m’a fallu un moment pour écouter. Spoiler: c’est très bien.
Avec Resident Human, de Wheel, a-t-on affaire à un énième clone de Tool (ou de Soen) ou à quelque chose de plus original? Un peu des deux.
Si je vous dis Tuomas Holopainen, Troy Donockley, ou Kai Hahto, vous pensez Nightwish. Sauf qu’Auri est un projet à part, beaucoup plus folk.
Le death-metal mélodique joue sur le contraste entre métal brutal avec growl et compos mélodiques. Origin, d’Omnium Gatherum, pousse très loin ce concept.
Fût un temps où « claviers » était antinomique de « metal ». Ce n’est plus le cas, mais Beast in Black, avec Dark Connection, pousse très loin le bouchon.