An Evening with Nightwish in a Virtual World
Vendredi soir, ma dame et moi nous sommes allé voir un concert de Nightwish. En vrai, un livestream intitulé An Evening with Nightwish in a Virtual World.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Vendredi soir, ma dame et moi nous sommes allé voir un concert de Nightwish. En vrai, un livestream intitulé An Evening with Nightwish in a Virtual World.
Il arrive que quelqu’un me dise « tu devrais écouter ça, c’est sympa ». Ainsi, je me suis retrouvé à écouter Between Land and Sky, de Marrasmieli.
Mors Principium Est est un groupe de death-metal mélodique finlandais qui a fait un septième album qui s’appelle Seven. Normal.
Un nouvel album de Nightwish, c’est toujours un événement. Voici donc Human Nature, un album audacieux et pourtant immédiatement reconnaissable.
Il y a trois ans, Insomnium nous avait gratifiés d’un concept-album impressionnant, Winter’s Gate. Heart Like a Grave a la lourde tâche de succéder à ce monument du death-metal mélodique.
C’est l’histoire d’une soirée originellement prévue à Saint-Maurice: Moonsorrow en concert, avec Kaatarakt et Abinchova. Déplacée à la Cantine du Puisoir d’Orbe, le concert accueillera finalement quatre groupes, avec les Belges d’Aktarum.
Pour un peu, j’ai failli oublier cette édition 2019 d’Octopode! Si j’y étais allé en 2016, en 2017 j’avais la tête dans les cartons et, l’année passée, j’étais à RPGers. Heureusement, la promo sur les réseaux sociaux a bien fait son travail.
Or donc, j’ai enfin pu mettre la main sur Pantheon of the Nightside Gods de Belzebubs. Je ne vais pas vous la jouer genre « ceci est un vrai groupe » et tout. Vous me lisez depuis suffisamment longtemps pour avoir vu passer au moins deux billets qui parlaient de Belzebubs, un webcomic écrit et dessiné par JP « Perkeros » Ahonen.
Alors oui, vu que j’ai chroniqué leur précédent en album en décembre, ça peut paraître court de balancer le nouvel album de Beast in Black, From Hell with Love, à peine six mois plus tard. Oui, mais j’avais découvert Berserker sur le tard, avec le concert de Nightwish dont ils faisaient la première partie.
C’est en train de devenir une tradition perso: les concerts d’anniversaire. Pour cette année, j’avais appris fortuitement la présence de Steve’n’Seagulls à Annemasse, la veille du jour en question. Donc, tournée générale de tickets pour la petite famille et hop!
Je suppose qu’un jour, le groupe finlandais de death-metal mélodique Omnium Gatherum s’est posé la question “jusqu’où peut-on aller en mélodique?”. Je suppose également qu’ils n’ont pas encore trouvé la réponse, si j’en juge par The Burning Cold, leur dernier album.
Il y a des groupes qui, sur le papier, ne font pas envie. Prenez Beast in Black: si je vous dis que leur premier album, Berserker, ressemble à un croisement très eighties entre Iron Maiden et Europe, avec des bouts de dance-music dedans, il y a toutes les chances que vous me jetiez des objets lourds à la tête. Eh bien vous auriez tort.
Vous savez comment on définit un week-end de folie? C’est quand on se fait deux concerts à deux jours d’intervalle. Parce qu’après Le Voyage de Noz samedi, j’ai repris les protège-tympans et le matos photo pour aller voir Nightwish à l’Arena de Genève.
Résumons: si je me base sur leur plus récent album, War Is Over, Von Hertzen Brothers est un groupe finlandais dont le nom, en anglais, est basé sur le patronyme à consonance allemande de ses membres et qui mélange classic-rock à l’américaine et néo-prog britannique. L’Internationale sera le genre humain.
Tiens, voici la chronique d’un album dont la recommandation ne vient pas des suspects habituels: j’ai en effet découvert Escape from the Dying Star, du projet finlandais LAHO, via le blog Musique libre.
Après un splendide Under the Red Cloud, j’attendais avec une certaine impatience le nouvel album d’Amorphis. Voici donc “Queen of Time” qui, d’une certaine manière, est bien dans la continuité du précédent: du death mélodique très mélodique avec une touche folk nordique.
Et allez, deuxième concert et autant de jours, cette fois-ci j’embarque avec Fulgan, qui est mon ami avant d’être mon beau-frère, pour aller voir Insomnium et leur death-metal mélodique. Direction Château Rouge, une très belle salle, moderne et tout, à Annemasse. Techniquement, Annemasse est en France, mais c’est tellement proche de la frontière qu’on peut …
Le post-metal, pour moi, c’est un peu le genre “docteur Jekyll et Mister Hyde”: des ambiances planantes auxquelles s’adjoignent des mirs de guitares avec des riffs décapants, façon ponceuse industrielle. Nouvel exemple avec Oceanwake, groupe finlandais qui, avec Earthen, pousse la dichotomie à fond.
Vous m’avez sans doute déjà vu utiliser l’expression “la Finlande, c’est un peu le Japon de l’Europe”. Ember Falls, groupe finlandais découvert via Angry Metal Guy, le prouve de façon quasi-littérale avec son premier album, Welcome to Ember Falls, qui pourrait être la bande originale d’un animé dystopique, avec une poignée d’extra-terrestres dans des robots géants luttant contre une dictature néolibérale mondiale.
J’ai longtemps hésité entre faire cette chronique de Fragments of Reality, album du groupe finlandais Corona Skies, et me contenter d’une version abrégée pour les Restes du samedi de demain. J’avoue: malgré tous ses défauts, cet album m’amuse.