The Anchoret: It All Began with Loneliness
Encore un groupe de metal progressif! Certes, mais The Anchoret est un groupe qui nous emmène dans une autre direction avec It All Began with Loneliness.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Encore un groupe de metal progressif! Certes, mais The Anchoret est un groupe qui nous emmène dans une autre direction avec It All Began with Loneliness.
Le metal progressif est un genre varié et si je compare Nascence, de The Aphelion, avec le précédent chroniqué, il y a quand même des différences majeures.
Derrière cette pochette très explicite se cache Lust & Passion / Lost in Passion d’Alan Charles, un concept-album qui ne l’est pas moins. Explicite, donc.
L’achat de cet album de Smoulder, Violent Creed of Vengeance, est le résultat combiné d’un intense lobbying et de ma faiblesse de caractère.
Dans la famille « grand écart », je voudrais Maladaptive Daydreaming de Sanguine Glacialis: dans le genre, c’est un peu toute la famille en un seul groupe.
Ce n’est pas une typo dans le titre: le groupe s’appelle Vvon Dogma I et l’album s’intitule The Kvlt of Glitch. Et c’est aussi perché que ça en a l’air.
Oui, je sais que c’est un mardi, mais le fait que Wilderun passe enfin en Suisse écrase toutes les considérations. Donc go Les Docks de Lausanne!
J’ai une tendresse pour le violon comme instrument rock et Cydemind propose, avec son nouvel album The Descent, du prog-meta instrumental au violon.
Cette chronique de Illusions, de Borealis, a sans doute été favorablement influencée par le contexte, mais même tout seul, il est vraiment très bien.
Dans le style metal progressif teinté de folk et avec des tendances symphoniques, façon Wilderun, voici Fishing for an Apparition de Iomair.
Une expression comme « black-metal progressif » peut étonner. Mais sur ce blog, un album comme The Starway Eternal, de Crystal Coffin, c’est classique.
Tout ça, c’est de la faute de Jean-Christophe, qui m’a suggéré de m’intéresser à King Buffalo et à son dernier album The Burden of Restlessness.
Ça fait un moment que Palimpsest, le dernier album de Protest the Hero, traîne dans ma liste des albums à écouter. La faute à une idée préconçue et erronée.
Godspeed You! Black Emperor n’est pas facile à chroniquer. Mais ce G_d’s Pee AT STATE’S END! va vraiment très loin dans le tarabiscoté!
J’ai un peu tardé pour acheter Abyss, le nouvel album de Unleash the Archers. Pourtant, j’avais bien aimé le précédent. Un pressentiment, peut-être?
Je n’étais pas sûr de revenir vers Jupiter Hollow et son metal progressif très éclectique. Pourtant voici la chronique de leur nouvel album, Bereavement.
Avec Chante, Ô Flamme de la Liberté, nouvel album du groupe québecois Serment, j’ai l’impression que je découvre le “vrai” black-metal atmosphérique.
Entre rock progressif et metal progressif, le groupe canadien Tylor Dory Trio, qui nous livre ici son deuxième album, Unsought Salvation.
Quand je lis “metal progressif instrumental avec des violons”, je ne peux qu’acheter. C’est The Night Watch et son album, An Embarrassment of Riches.
Si le nom de Sleeping in Traffic vient en droite ligne du groupe de rock progressif Beardfish, il ne faut pas s’y tromper: cette formation canadienne fait du metal progressif. Leur nouvelle production est un duo d’EP, formant un diptyque, et intitulés That Which Destroys Us et That Which Saves Us.