Il semble que la période soit aux groupes qui sortent des albums qui, sont un peu répétitifs, voire décevants. C’est le cas, hélas, avec ce Onze de Lazuli.
Entre néoclassique, musique du monde et musique électronique, il existe un espace dans lequel vous trouverez cet album, Sunir, du projet Ianai.
Voici une résurrection que l’on n’attendait plus: Asia Minor, formation franco-turque de prog, revient avec un troisième album, Points of Libration.
Quand on regardera les années 2020-2021 avec un peu de recul, on parlera des « albums-Covid » pour des opus tels que ce Dénudé de Lazuli.
Si le précédent ne m’avait pas entièrement convaincu, Lazuli corrige le tir avec le bien nommé Le fantastique envol de Dieter Böhm.
Yo, les vieux rôlistes! Dead Can Dance est de retour et, avec ce nouvel album Dionysus, vous allez enfin avoir du nouveau matos pour sonoriser vos parties! Ou pas.
Lors d’une précédente chronique, j’avais dit qu’un nouvel album de Lazuli, c’est un peu comme retrouver de vieux amis. Saison 8 en est une nouvelle – huitième – illustration. Mais, comme parfois en amitié, ces retrouvailles sont douces-amères.
Dans la série “tonton Alias, c’est quelqu’un de compliqué dans sa tête”, aujourd’hui le rock progressif instrumental. En résumé: ce que je préfère souvent dans le prog, ce sont les passages instrumentaux, mais j’ai plus de mal avec les albums purement instrumentaux, comme ce Prisme de M’Z, qui ne manque par ailleurs pas de qualités.
Je ne sais pas si ce sont mes goûts qui ont changé ou si les deux compositeurs oldfieldiens que sont Hanspeter Hess (The Healing Road) et Robert Reed ont décidé de me faire manger mon chapeau, mais après Birdbrain’s Travels… Continue Reading →
L’album de Mehdi Alouane, The Sound of the Incurable Disease, se mérite: pas question de faire son millennial et de le commander en numérique sur une plateforme en ligne! Non, il faut passer dans une boutique qui l’a en stock ou le commander directement à l’auteur. L’élite!
Il y a des groupes que l’on retrouve, d’album en album, comme on retrouve un vieil ami. Lazuli est de ceux-ci et, trente secondes après avoir lancé Tant que l’herbe est grasse, je me prenais à sourire en pensant que ça faisait longtemps – trop longtemps – qu’on ne s’était plus croisé.
J’ai hésité un long moment avant d’acquérir ce live de Dead Can Dance, simplement intitulé In Concert. J’aurais peut-être dû hésiter un peu plus, car je me suis retrouvé avec Anastasis en prime – et à double, du coup.
Or donc, avec cet album Anastasis, Dead Can Dance est de retour, et il y eut moult réjouissances! Si vous ne connaissez pas Dead Can Dance et que vous connaissez des personnes qui ont été rôlistes dans les années 1990, évitez de le leur mentionner si vous tenez à vos rotules.
Quand je vous disais qu’il y avait du lourd dans mon pipe-line musical, ce n’était pas juste du bête teasing à deux balles. Parce que oui, pour moi, Lazuli, c’est du lourd ! Il a fallu moins de cinq ans pour que cette formation française devienne un incontournable du rock progressif et ces 4603 battements en sont autant de preuves incontestables.
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