“Le club des punks contre l’Apocalypse zombie”, de Karim Berrouka

"Le club des punks contre l'Apocalypse zombie", de Karim Berrouka

Alors tout commence dans un squat, avec deux punks qui font les cons et leur copine qui râle parce qu’elle veut dormir. Le problème, c’est que le chambard est en partie dû à un soudain effondrement civilisationnel pour cause d’invasion de zombies: c’est Le club des punks contre l’Apocalypse zombie, de Karim Berrouka.

Coheed and Cambria: The Afterman: Descension

The Afterman: Descension est le second volet d’un double album de Coheed and Cambria, le groupe américain de métal progressif à tendances punk. C’est aussi un autre chapitre de leur concept de science-fiction, The Amory Wars. Ce qui serait très bien si j’avais la moindre idée de quoi ça parle.

Donjon & Dragoniversaire

Il y a quarante ans – janvier 1974 – paraissait la première édition de Dungeons & Dragons et, avec lui, le jeu de rôle ludique tel que nous le connaissons, à quelques détails près. Sur BoingBoing, le journaliste Ethan Gilsdorf a écrit un article intitulé At 40 Years Old, Dungeons & Dragons Still Matters, dans lequel il revient sur cet anniversaire.

Primasch à Genève

Jeudi soir, je suis allé voir Primasch and the Tzigan Dreams’ Collector, groupe que l’on m’avait vendu comme du klezmer-métal, dans la microscopique salle de la Taverne de la République, à Genève.

À la base, le klezmer, à savoir la musique yiddish d’Europe de l’Est, ce n’est pas trop mon truc, mais quand il s’agit d’aller tester des [trucs bizarres]-métal, je suis souvent partant. Dans le cas présent, c’est plus du klezmer-blues-rock-punk-métal, avec même des bouts de Pink Floyd dedans. Comme dirait l’autre, “y’en a aussi”.

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Mindless Self Indulgence: How I Learned to Stop Giving a Shit and Love Mindless Self Indulgence

Faut dire ce qui est: il n’y a que Mindless Self Indulgence pour intituler un album How I Learned to Stop Giving a Shit and Love Mindless Self Indulgence! On est assez dans le “comme son nom l’indique” pour ce groupe punko-whatever américain, spécialiste des provocations total con-délire.

Punko-whatever, comme dans “punk-rock-métal-électro avec des influences hip-hop”, provocations comme dans “je place au moins un gros mot par phrase, y compris le titre” et total con-délire pour le côté jouissif et l’énergie débordante de la bande. C’est un peu nawak, mais avec un enthousiasme débridé.

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Folk Noir / Daemonia Nymphe / Saltatio Mortis à Trolls & Légendes 2013

Les concerts du dimanche, à Trolls & Légendes, c’est toujours un peu délicat : d’un côté, c’est le jour des grosses têtes d’affiche et, de l’autre, c’est le moment où l’organisme usé et abusé par les excès de bières, de jeux et l’absence de sommeil se rappelle à votre mauvais souvenir.

Comme d’habitude, les contraintes d’horaire (il faut bien bâcher le stand et manger à un moment) m’empêchent de voir le premier groupe et le début de Folk Noir. Dans ce dernier cas, c’est bien dommage, parce que le reste de la prestation de ce jeune groupe folk, né de la fusion de deux autres formations, est prometteur.

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Voivod: Target Earth

Il y a des sujets sur lesquels je suis clairement trop influençable: ainsi, lorsque Ghislain balance sur Twitter et Facebook que Target Earth, le nouvel album de Voivod, est trop bien, trop prog, trop tout, ma décision de l’acheter séance tenante a été prise. Bon, j’avoue aussi que cela faisait un moment que l’envie de tâter de ce groupe de métal légendaire me tenaillait.

Parce qu’avec plus de trente ans d’existence dans les franges les plus extrêmes du métal (trash et progressif), on peut parler pour cette bande d’excités québécois, de légende. Seulement le monde est plein de légendes qui ne m’intéressent pas et je dois avouer, malheureusement, qu’à l’aune de cet album, Voivod entre dans cette catégorie.

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Diablo Swing Orchestra: Sing Along Songs for the Damned and Delirious

Vous allez rire: si j’ai pris l’album Sing Along Songs for the Damned and Delirious de Diablo Swing Orchestra, ce n’est pas par un de mes coups de cœur mécéniques pour les groupes bizarres avec des noms à rallonge. J’avais déjà entendu parler de cet ovni suédois dans un numéro récent de Prog-résiste, le fanzine belge-mais-très-bien-quand-même.