Selon une ancienne légende, un ouvrage sur les donjons et les dragons révolutionna le monde. Jon Peterson étudie son impact avec The Elusive Shift.
Je me suis encore fait avoir: la première saison de Disenchantment, chroniquée il y a quelques temps, n’était que la première moitié de la première saison.
Un an après les événements de la saison 2, nous voici de retour à Hawkins, Indiana, début juillet 1985, pour une nouvelle saison de Stranger Things. Les enfants ont grandi, les adultes ont vieilli et, sans surprise, les menaces reviennent.
Même si la dernière fois que j’ai joué à D&D, il y avait encore une URSS, je suis désormais un paladin chatoyant. Eh ouais! Il faut dire qu’il s’agit là d’une initiative de l’association Aux portes de l’imaginaire, à laquelle je m’associe avec enthousiasme.
Une princesse, un elfe et un démon entrent dans un bar. Oui, je sais: je vous ai déjà fait la blague un certain nombre de fois, mais, dans le cas de Disenchantment, c’est à peu près littéralement le début de cette série animée signée Matt Groening. À vrai dire, c’est le titre du premier épisode.
Qui était Ernest Gary Gygax? Les rôlistes, ne répondez pas tout de suite! Bon, d’accord: un peu tout le monde sait que Gary Gygax est le créateur de Dungeons & Dragons (D&D pour les intimes) et, partant, du jeu de rôle. Mais qui était-il vraiment? C’est à cette question que tente de répondre l’ouvrage de Michael Witwer, L’Empire de l’imaginaire (Empire of Imagination en VO).
Un an s’est écoulé après les événements qui ont secoué la petite ville d’Hawkins – et surtout les quatre gamins qui jouaient à D&D avant que l’un d’entre eux, Mike, disparaisse. Mais les problèmes sont, eux, loin d’avoir disparu quand commence cette deuxième saison de Stranger Things.
Oui, je sais: tout le monde et son chien a déjà vu la deuxième saison de Stranger Things et moi je déboule avec mon air con, ma vue basse et ma chronique sur la première saison. C’est ça ou du rock progressif, alors ne venez pas piorner!
Quarante ans, ça fait une paye! Il était donc presque logique qu’un historien s’attache à retracer la genèse des jeux de rôles en général et de son Grand Ancêtre en particulier, j’ai nommé Dungeons & Dragons. Pour le coup, c’est Jon Peterson qui s’y colle, dans un ouvrage intitulé Playing at the World.
En cette année anniversaire, la lecture d’un ouvrage sur l’histoire de Donjons & Dragons s’imposait: c’est chose faite avec Of Dice and Men, du journaliste américain David Ewalt, qui prouve une fois de plus que le jeu de rôles mène à tout (y compris à travailler pour Forbes), même sans avoir forcément à en sortir.
Il y a quarante ans – janvier 1974 – paraissait la première édition de Dungeons & Dragons et, avec lui, le jeu de rôle ludique tel que nous le connaissons, à quelques détails près. Sur BoingBoing, le journaliste Ethan Gilsdorf a écrit un article intitulé At 40 Years Old, Dungeons & Dragons Still Matters, dans lequel il revient sur cet anniversaire.
Vous vous attendiez à quoi? Bien sûr que je suis allé voir The Hobbit, sous-titré “An Unexpected Journey”, ce premier film de la nouvelle trilogie signée par Peter Jackson d’après l’œuvre de Tolkien! Soyons clair: les mots clés sont “d’après” et ceux qui y vont pour voir une adaptation fidèle vont forcément être déçus.
Ma dernière excuse en date pour un manque de productivité massif s’appelle Dungeon Crawl Stone Soup. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un jeu d’exploration de donjon à la Rogue, en d’autres termes un “Rogue-like”.
Le plan de salle de la convention Trolls & Légendes a réveillé en moi le souvenir de l’Auberge du joyeux condamné, à mi-chemin entre le jeu de rôle et le jeu de plateau, jouée notamment par correspondance du temps de Plié en deux.
Je me coucherai moins bête ce soir, grâce aux efforts combinés du blog Ars Ludi de Ben Robbins et de celui qui commente de temps en temps ici même sous le nom de Greg Pogorzelski (nom connu de la rédaction). En effet,… Continue Reading →
Donjons & Dragons, c’est du jeu de rôle ou bien? C’est un peu le troll de la semaine – OK, des deux dernières décennies et n’en parlons plus! – qui déboule sur divers sites de la rôlosphère francophone. Je vous… Continue Reading →
Dans “Conan”, il y a “con”. Je sais que cela va paraître au mieux hérétique et plus probablement trollesque à un certain nombre de mes lecteurs, mais, trois jours après, je suis encore un peu énervé. Car, ce lundi, j’ai comblé… Continue Reading →
J’ai vraiment du mal avec le concept de nostalgie. J’ai beau écouter une musique qui prend sa source il y a quarante ans et être fan de steampunk, ce ne sont pas des passions qui s’appuient sur un quelconque regret d’une époque disparue et dont j’apprécie plus particulièrement les relectures contemporaines. En plus, la nostalgie, ça donne son nom à une radio de merde, donc non (on me dira que la courtoisie également, mais ce n’est pas le sujet, alors silence).
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