L’ouvrage Monsters, Aliens, and Holes in the Ground, de Stu Horvath sur l’histoire du jeu de rôle vaut plus que l’aspect « catalogue de collection » qu’il semble être.
En 2024, le jeu de rôle fête son demi-siècle. Et pour cette occasion, l’Université de Lorraine a organisé un colloque intitulé “Vous êtes dans une taverne…”
Après moult péripéties, j’ai commandé “Une boussole. Fondements théoriques et perspectives pour le jeu de rôles”, de Fabien Hildwein, et c’est très bien.
Selon une ancienne légende, un ouvrage sur les donjons et les dragons révolutionna le monde. Jon Peterson étudie son impact avec The Elusive Shift.
Ce week-end aurait dû avoir lieu Orc’idée. Les organisateurs ont pu maintenir la partie JDR’idée de la convention, à savoir les conférences.
Grégory Thonney et Gaspard Turin, de l’Université de Lausanne, ont organisé un Colloque « Jeu de rôle et transmission littéraire » les 5 et 6 mars 2020.
Le Jeu de rôle sur table, un laboratoire de l’imaginaire est un ouvrage universitaire collectif, écrit sous la direction de Danièle André et Alban Quadrat.
Pourquoi joue-t-on? Que recherche-t-on dans le jeu? Pourquoi une partie est dite « bien jouée »? Telles sont certaines des questions que s’est posé Bernard De Koven dans son ouvrage The Well-Played Game.
Même si la dernière fois que j’ai joué à D&D, il y avait encore une URSS, je suis désormais un paladin chatoyant. Eh ouais! Il faut dire qu’il s’agit là d’une initiative de l’association Aux portes de l’imaginaire, à laquelle je m’associe avec enthousiasme.
À toute chose malheur est bon: grâce à un article nauséabond d’un masculiniste de gouttière qui a quelque peu enflammé les réseaux sociaux (enfin, surtout un) ce dimanche, je me suis souvenu que je m’étais promis de revenir sur mon expérience avec la Carte X. Si le sujet vous emmerde, vous avez le droit de ne pas lire: promis, je ne formaliserai pas.
Voici le texte de mon intervention lors de l’Atelier de création de jeux de rôles, organisé par Oliver Vulliamy, collègue coopérateur de 2 dés sans faces, lors de la dernière convention Orc’idée. C’est à peu près reconstitué d’après des notes écrites à l’arrache, quelque peu augmenté de choses dites et discutées et remis dans un ordre presque cohérent.
Blogueur rôliste un peu fou dans sa tête sur Du bruit derrière le paravent, le sieur Pogo (Greg pour les dames) a décidé de nous raconter Les Gardiens de la Galaxie façon partie de Star Wars RPG – et ça fait un peu “Star Wars ta gueule à la récré”.
Quarante ans, ça fait une paye! Il était donc presque logique qu’un historien s’attache à retracer la genèse des jeux de rôles en général et de son Grand Ancêtre en particulier, j’ai nommé Dungeons & Dragons. Pour le coup, c’est Jon Peterson qui s’y colle, dans un ouvrage intitulé Playing at the World.
Il a fallu un peu de temps (on est suisse ou on ne l’est pas), mais les vidéos de JDR’idée, la série de conférences sur le jeu de rôle proposées pendant Orc’idée 2013, sont en ligne sur le site officiel de la convention.
Avec le printemps et les beaux jours, Orc’idée revient. Comme je le tweetais dimanche matin, the sun always shine on Orc’idée – sauf quand le thème implique des orgas peu vêtus, genre “Mille et une nuits”; cette année, c’était western, donc le soleil était au rendez-vous. Évidemment, dans le cas d’une convention de jeu, activité intérieure par excellence, on se fout un peu, mais ça fait quand même plaisir.
Il y a deux raisons qui m’ont poussé à lire Storytelling, de Christian Salmon: d’abord et surtout de bons retours (mais je ne sais plus de qui; peut-être Un lecteur?) et, ensuite, un titre qui me titille quelque part la fibre rôliste.
Je relaye ici une initiative très intéressante de Jérôme “Brand” Larré autour de son projet de traduction en français du jeu de rôle japonais Ryuutama (dont la souscription a explosé pas mal de records): il publie sur son blog les notes de conception de l’auteur de Ryuutama.
J’ai envie d’organiser une conférence sur le jeu de rôle pour la prochaine convention Orcidée. Voilà, c’est dit. Et écrit, aussi. J’avoue: c’est mon côté mégalomane qui s’exprime ici. Ça, plus le fait que je suis jaloux comme un pou de Thomas B. qui a eu l’idée avant moi, et pour du GN en plus!
Si j’étais méchant, je dirais que si j’ai tant attendu pour vous parler de Du bruit derrière le paravent, le nouveau blog de l’ami Greg, c’est parce que je voulais voir s’il n’allait pas mourir comme les autres. Oui, je lui en veux encore un peu pour Surge… Cela dit, j’ai déjà dû vous en parler, par la bande: références et autres liens, l’air de ne pas y toucher.
Au titre, vous allez vous dire que, ayé, c’est encore tonton Alias qui trolle et que, décidément, c’est pas beau, la crise de la quarantaine chez les auteurs maudits. Ce n’est pas complètement faux, mais restez quand même avec moi cinq minutes et, si jamais j’ondule trop de la toiture, ça vous donnera toujours l’occasion de vous épancher en commentaires.
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