Destination Tokyo 2024
Parmi les rendez-vous geeks-japonais de la région, Destination Tokyo s’est fait une place. Sauf que, cette année, l’événement s’est relocalisé à Saint Maurice.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Parmi les rendez-vous geeks-japonais de la région, Destination Tokyo s’est fait une place. Sauf que, cette année, l’événement s’est relocalisé à Saint Maurice.
Il y a des rendez-vous ludiques qu’il est difficile de manquer – même quand tout conspire contre. OctoGônes, la convention lyonnaise, est de ceux-ci.
J’ai parfois l’impression d’être maudit. Ou très con. Ou les deux. Par exemple en arrivant avec deux heures de retard à la convention La Boîte de Pandoure.
C’est par un temps radieux qu’Orc’idée, une des plus anciennes conventions de jeux de Suisse romande, a eu lieu le week-end passé à Chavannes-près-Renens.
Petit pincement au cœur au Château d’Yverdon pour Alterfictions, le premier festival de « l’autre littérature » – ou « mauvais genres », c’est selon.
Une semaine après mon retour de Cracovie, je reprends la route. Certes moins loin, puisque c’est pour OctoGônes, la convention de jeux lyonnaise.
Cette année, mon programme des conventions rôlistes a été plutôt chiche. Du coup, ce Festival Arcana était une occasion pour relancer la machine.
Si vous n’êtes pas suisse, il y a des chances pour qu’un terme comme JapaNeuch vous interloque. Il s’agit d’une nouvelle convention pop-culture japonaise.
Et allez c’est reparti pour une nouvelle édition d’OctoGônes, la grande convention de jeux lyonnaise – peut-être même la plus grande de France!
Ce samedi, je suis retourné en convention pour la première fois depuis février 2020. C’était à La Boîte de Pandoure, à Yverdon.
Ce week-end, il y avait une convention de jeu de rôle: la première CyberConv, dite aussi 1.0, sur Twitch, Discord et des plateformes de jeu en ligne.
Les étoiles sont alignées, les Grands Anciens sont de retour. Ce Grand Ancien répond au nom indicible de Poly-Games, convention de jeux sise à Sierre.
La convention La Tête dans la Lune est une de mes frustrations ludiques de ces dernières années, car tombant en même temps que celle du Dé qu’à Dents.
Et donc, je suis allé à Divinasion, comme chaque ann… Ah, non: l’année passée, je n’y étais pas. Bon, presque toutes les années, alors. Divinasion, c’est donc la conv’ en Sion. Ha! Ha!
Nouvelle année, nouvelle édition de la Japan Expo, à Paris. Cette année, c’est même la vingtième. Rien que! Ma première, c’était en 2004 au CNIT de La Défense: j’y étais allé pour faire la chasse aux illustrateurs pour Tigres Volants.
« Les étoiles sont alignées ». Les expressions lovecraftiennes, ce n’est pas trop mon truc, mais le slogan des Hydriades 2019 me paraît être le résumé le plus apte pour décrire cet événement ludique exceptionnel.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après la très grande Trolls & Légendes, la grande et locale Orc’idée, me voici invité pour la deuxième Journée des mondes oniriques, à Charleville-Mézières.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après Ludesco et sa démesure de l’autre côté de la Romandie, ce samedi avait lieu la convention de La Horde, au Grand-Lancy.
Il est samedi matin, je prends le train pour Monthey – proverbiale terre de mes ancêtres – et la Convention du Dé qu’a dents, le club de jeux chablaisien. Si vous avez lu le live report d’hier, vous aurez complété: “je prends le train à Aarau”. Un petit détour, mais ça en valait (sans jeu de mot) la peine.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.