OctoGônes 2022
Et allez c’est reparti pour une nouvelle édition d’OctoGônes, la grande convention de jeux lyonnaise – peut-être même la plus grande de France!
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Et allez c’est reparti pour une nouvelle édition d’OctoGônes, la grande convention de jeux lyonnaise – peut-être même la plus grande de France!
Ce samedi, je suis retourné en convention pour la première fois depuis février 2020. C’était à La Boîte de Pandoure, à Yverdon.
Ce week-end, il y avait une convention de jeu de rôle: la première CyberConv, dite aussi 1.0, sur Twitch, Discord et des plateformes de jeu en ligne.
Les étoiles sont alignées, les Grands Anciens sont de retour. Ce Grand Ancien répond au nom indicible de Poly-Games, convention de jeux sise à Sierre.
La convention La Tête dans la Lune est une de mes frustrations ludiques de ces dernières années, car tombant en même temps que celle du Dé qu’à Dents.
Et donc, je suis allé à Divinasion, comme chaque ann… Ah, non: l’année passée, je n’y étais pas. Bon, presque toutes les années, alors. Divinasion, c’est donc la conv’ en Sion. Ha! Ha!
Nouvelle année, nouvelle édition de la Japan Expo, à Paris. Cette année, c’est même la vingtième. Rien que! Ma première, c’était en 2004 au CNIT de La Défense: j’y étais allé pour faire la chasse aux illustrateurs pour Tigres Volants.
« Les étoiles sont alignées ». Les expressions lovecraftiennes, ce n’est pas trop mon truc, mais le slogan des Hydriades 2019 me paraît être le résumé le plus apte pour décrire cet événement ludique exceptionnel.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après la très grande Trolls & Légendes, la grande et locale Orc’idée, me voici invité pour la deuxième Journée des mondes oniriques, à Charleville-Mézières.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après Ludesco et sa démesure de l’autre côté de la Romandie, ce samedi avait lieu la convention de La Horde, au Grand-Lancy.
Il est samedi matin, je prends le train pour Monthey – proverbiale terre de mes ancêtres – et la Convention du Dé qu’a dents, le club de jeux chablaisien. Si vous avez lu le live report d’hier, vous aurez complété: “je prends le train à Aarau”. Un petit détour, mais ça en valait (sans jeu de mot) la peine.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.
Salins-les-Bains, vous connaissez? Moi non plus. Enfin, jusqu’à ce samedi et ma présence aux Journées du Livre à la médiathèque de cette petite ville du Jura français. J’y étais invité pour présenter le jeu de rôle Freaks’ Squeele: faire des parties, mais pas seulement.
Si on vous demande un jour quelle est la convention de jeu de rôle la plus paumée de Francophonie – les Chimériades étant hors concours, parce que la paumitude fait partie du concept – je vous suggère de mentionner RPGers, surtout si on pose un ratio fréquentation/éloignement.
À toute chose malheur est bon: grâce à un article nauséabond d’un masculiniste de gouttière qui a quelque peu enflammé les réseaux sociaux (enfin, surtout un) ce dimanche, je me suis souvenu que je m’étais promis de revenir sur mon expérience avec la Carte X. Si le sujet vous emmerde, vous avez le droit de ne pas lire: promis, je ne formaliserai pas.
Il semble qu’une “évolution pokémon” classique des conventions en Suisse romande implique de relocaliser l’événement au Palais de Beaulieu, à Lausanne. Après Polymanga et Japan Impact, c’est le cas cette année du Swiss Fantasy Show. Précédemment hébergée au Théâtre de Beausobre (et dans l’école voisine), à Morges, la manifestation geek bisannuelle est donc venue garer …
Les beaux jours reviennent et, avec eux, Orc’idée, qui est probablement la plus grande et/ou la plus ancienne des conventions de jeu de rôle de Suisse romande. Et donc, je reprends le chemin de l’EPFL – après Japan Impact – pour deux jours de jeu de rôle. J’avais l’habitude de dire “the sun always shine …
La troisième convention de ce mois de mars m’emmène, non pas en Belgique, mais pas loin: Lille, pour l’édition 2018 de Ludinord. Ludinord, c’est un festival de jeux multi-genres – un peu comme Ludesco, mais à l’échelle d’une grosse région transfrontalière. Du coup, l’affluence sur les trois jours est de l’ordre de 10 000 personnes.
J’ai coutume de dire que la convention de La Horde est “la convention en bas de chez moi”. Pour cette édition 2018, même si dans l’intervalle j’ai déménagé un chouïa plus loin, j’ai décidé de faire vivre ce slogan en y allant en vélo. Huit kilomètres, ça réveille! Bon, pour ça, j’ai quand même attendu qu’il s’arrête de pleuvoir; faut pas pousser, non plus.