Convention du Dé qu’a dents 2017: Internationale Ludiste

Convention du Dé qu'a dents 2017

Camarades ludistes, le dernier congrès de notre Internationale a eu lieu à la Maison du Peuple de Monthey, en République socialiste du Valaisistan, et j’ai eu l’honneur d’y représenter les camarades du kolkhoze 2d Sans Faces et ses fières productions!

Bon, donc, c’était la convention annuelle du Dé qu’a dents et c’était cool.

Destination Tokyo 2017

Destination Tokyo 2017

Donc, vendredi passé, c’était concert (et c’était cool). Le lendemain, un tunnel du Lötschberg plus tard (plus ou moins) et je retrouve ma cosplayeuse d’épouse (avec Psychée dans ses bagages) à Sion pour Destination Tokyo, édition 2017 de la convention japonaise bisannuelle du Valais.

DivinaSion 2017: Laser Hawk

DivinaSion 2017

Je ne sais pas si l’idée était de prendre au mot les mauvaises langues qui prétendent que le Valais est resté coincé dans les années huitante, mais cette édition 2017 de DivinaSion affichait une thématique “1980” assez marquée, avec son sous-titre “Laser Hawk” et sa déco de bar ultra-thématique, avec console Atari, Mac SE et néons qui clignotent.

Convention du Dé qu’a Dents 2016

Convention du Dé qu'a Dents 2016

Allez hop, dernière convention de l’année: on saute dans le train, direction Monthey et la Convention du Dé qu’a Dents. Je rappelle le principe pour ceux qui n’ont pas suivi mes trois derniers billets sur le sujet (quatre si on compte la Convention des Fous): c’est une de ces conventions de club, au rayonnement surtout local ou régional, mais où je vais d’abord parce que c’est la Terre de mes Ancêtres – littéralement, ma grand-mère habitait à deux cents mètres – et parce que j’y ai plein de potes.

Convention du Dé qu’a dents 2015

Convention du Dé qu'a dents 2015

Il y a trois raisons pour lesquelles je m’efforce, chaque année, de me rendre à la convention du Dé qu’a dents à Monthey. D’abord, parce que c’est une convention de jeu de rôle, ensuite parce que c’est organisé par des potes et enfin parce qu’elle se situe à Monthey, que je considère un peu comme “le patelin de mon enfance”, étant donné que ma grand-mère habitait à trois pâtés de maison de la salle.

La Fête du Jeu 2015

La Fete du Jeu 2015

En arrivant à cette édition de la Fête du Jeu, au CERM de Martigny, je me suis soudainement rappelé que je n’étais plus venu à cette convention depuis qu’elle avait eu lieu à Saxon. En d’autres termes, il y a trois ans. Le changement de lieu, justifié par une taille d’événement qui dépassait les capacités de l’ancien casino, s’était accompagné d’horaires qui s’était avérés incompatibles avec mon emploi du temps.

Divina-Sion 2013

Retour à Sion cette année pour la nouvelle édition de Divina-Sion, la convention de la Horde du Commun, le club local. Parce que c’est mieux. Cherchez pas, c’est une blague valaisanne…

Bref, ce retour pour moi se fait après trois ans d’absence pour des raisons diverses. C’est un peu dommage, parce que j’aime bien venir à Sion, pour des raisons honteuses (pour moi, s’entend), car nostalgico-familiales.

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Fête du Jeu 2012

De nouveau sur la route pour un retour à la Fête du Jeu de Saxon! Je vous avais parlé l’année passée de cette convention multi-genre et très grand public, sise dans le magnifique cadre de l’ancien Casino de Saxon; cette nouvelle édition a été quelque peu pénalisée par un temps nettement moins favorable, mais semble avoir bénéficier d’une organisation encore plus resserrée.

En fait, à l’instar d’une ancienne pub pour bagnole, on pourrait dire de la Fête du Jeu qu’elle a tout d’une grande, sauf sa taille. Entendons-nous bien: ce n’est pas exactement les portes ouvertes dans la ludothèque de campagne, mais ce n’est pas non plus le Festival du Jeu de Cannes. Le Casino et son parc offrent certes un espace assez vaste, mais pour quelques centaines de personnes.

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Les Valaisans dans l’espace / La Guerre des Romands

J’ai un aveu à vous faire: je suis Valaisan. Ah, vous le saviez déjà? Bon, en fait de Valaisan, j’ai toujours vécu à Genève, j’aime les loups et je suis écolo. Donc d’après John Bonvin, capitaine du VSS Couchepin et héros de la websérie Les Valaisans dans l’espace et de La Guerre des Romands, le petit film qui la conclut dans un zouli DVD, je suis un putain de dégénéré.

Ce qui ne m’empêche pas d’avoir été maintes fois plié de rire devant la petite heure de délire science-fictionnesque à très forte connotation helvétique. Parce si vous pensez que certaines de mes références locales sont un peu pointues, là vous allez être méchamment largués! La série raconte donc l’odyssée du VSS Couchepin, vaisseau spatial voyageant dans l’infini en quête d’AOC et d’une terre pour les Valaisans. D’ailleurs, c’est bien simple: il contient tout le Valais.

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Samael: Lux Mundi

Je tiens à prévenir tout de suite ceux qui viennent sur ce blog pour lire mes chroniques rock progressif façon Woodstock, chemises à fleur et patchoulis que les prochaines chroniques risquent d’être un peu brutales – à commencer par celle-ci. Samael, dont le nouvel album Lux Mundi vient de sortir, est un des rares groupes suisses qui a réussi à se faire un nom en dehors de nos frontières et ce n’est pas pour sa délicate mélancholie minimaliste.

Déjé, Samael, ce sont des Valaisans, c’est-à-dire pas exactement ce que le pays compte de plus subtil – j’en sais quelque chose! Du coup, musicalement, on est plus proche d’un croisement sauvage (forcément) entre Rammstein et Dimmu Borgir: un gros fond de black métal mélodique et une sérieuse louche d’indus par-dessus histoire que ça tabasse encore plus. Décidément, je suis en pleine période black métal, moi; il y a des gars qui, à l’approche de la quarantaine, font djeunz en s’achetant une moto, moi c’est en agitant ma pénurie de cheveux sur des rythmes de sauvages.

Bref, Lux Mundi, ça baffe! Je ne connais pas vraiment bien le reste de la production de Samael, mais ce que je peux dire, c’est que cet album me plaît bien, avec la bonne dose de gros métal qui tache et de mélodie pour avoir envie de se détruire la nuque par des mouvements saccadés d’avant en arrière, tout en n’ayant pas (trop) l’impression de se faire passer le cerveau à la ponceuse à gros grains. Les rythmiques indus donnent à l’album un ton martial, façon division blindée en goguette, le tout survolé par des claviers très présents, mais dont on ne peut pas vraiment dire qu’ils allègent l’ensemble.

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