Japan Impact 2023
Comme les choses semblent revenir un peu vers la normale dans le domaine sanitaire, Japan Impact revient à son horaire habituel de la mi-février.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Comme les choses semblent revenir un peu vers la normale dans le domaine sanitaire, Japan Impact revient à son horaire habituel de la mi-février.
Une année après la précédente édition, Destination Tokyo reprend ses quartiers, le temps d’un week-end, au Théâtre du Crochetan à Monthey.
En général, j’aime bien les mélanges, mais je dois avouer que j’ai mes limites. Témoin le groupe japonais Asu no jokei et son album Island.
Et c’est reparti dans les frimas hivernaux pour cette nouvelle édition de Japan Impact, qui… comment ça c’est l’été?
Ma dame et moi avons repris le chemin de la Japan Expo Paris, pour la première fois depuis trois ans.
Un des indices d’un début de retour à la normal, c’est que les conventions japonaises reprennent également. Première à réouvrir ses portes en Suisse, Destination Tokyo, la plus meuh-meuh des conventions helvétiques, s’est déplacée pour l’occasion sur les Terres de Mes Ancêtres, à savoir à Monthey. Et c’est donc dans le cadre très moderne du …
Les Miracles du Bazar Namiya, commence par trois paumés qui se cachent dans un vieux magasin abandonné et trouvent une lettre écrite trente ans plus tôt.
La Suisse romande a beau être une petite région, son actualité en matière de convention est loin d’être négligeable. Témoin l’édition 2020 de Japan Impact.
Nouvelle année, nouvelle édition de la Japan Expo, à Paris. Cette année, c’est même la vingtième. Rien que! Ma première, c’était en 2004 au CNIT de La Défense: j’y étais allé pour faire la chasse aux illustrateurs pour Tigres Volants.
Je vous avoue que, le post-rock et moi, c’est moins la grande histoire d’amour que ça eût été. Même ce Nowhere Now Here, nouvel album de Mono, ma laissé quelque peu froid. Et pourtant…
Japan Impact a ouvert les portes de sa onzième édition à l’EPFL ce week-end. Et, comme d’habitude, j’ai sorti le matos photo et joué les journalistes embedded auprès de ma cosplayeuse d’épouse.
En théorie, le week-end de la Japan Expo aurait dû être studieux, avec multiples parties de Freaks’ Squeele dans l’antre des otakus. Comic-Con staïle, quoi. Ça ne s’est pas fait, du coup ma dame et moi y sommes allés en touristes.
Si vous habitez en Suisse romande et que vous n’avez jamais entendu parler de Polymanga, la convention geeko-japonaise annuelle qui prend ses quartiers à Montreux le week-end de Pâques, c’est que vous habitez sous un gravillon au fin fond de la Brévine ou de la campagne genevoise.
Vendredi matin, je me baisse pour ramasser la fourre de mon laptop – un bidule qui doit tout de suite peser ses huitante grammes tout mouillé – et je me pète le dos. Samedi matin: je suis à l’EPFL pour Japan Impact, édition 2018, avec six kilos de matos photo sur le dos, un badge presse autour du cou et toujours les lombaires en vrac. Oui, je suis un peu con.
En fait, le metal, c’est un truc fractal: même les sous-genres les plus obscurs comportent des sous-sous-genres. Toujours. Ou alors on peut voir ça comme des ensembles stylistiques disparates qui se rentrent dedans de façon à la fois lubrique et non-euclidienne, c’est selon.
Bref, j’ai écouté The Eclipse, de Serenity in Murder.
Donc, vendredi passé, c’était concert (et c’était cool). Le lendemain, un tunnel du Lötschberg plus tard (plus ou moins) et je retrouve ma cosplayeuse d’épouse (avec Psychée dans ses bagages) à Sion pour Destination Tokyo, édition 2017 de la convention japonaise bisannuelle du Valais.
À l’origine, il y avait un Plan Génial: retourner à la Japan Expo pour y faire des démos de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures.
En même temps que la saison des conventions de jeux revient, celle des conventions geeks à forte coloration japonaise également: à preuve, cette édition 2017 de Japan Impact, qui déboule une semaine après Orc’idée.
Si je vous dis que Crescent Lament est un groupe de Taiwan qui fait de la musique traditionnelle japonaise teintée de death-metal et que je l’ai découvert leur album Elegy for the Blossoms via Angry Metal Guy, vous allez croire que je me fous de votre gueule.