Japan Expo 2023
Mi-juillet à Paris: grandes chaleurs, Fête nationale, touristes… Bon, pour nous, rien de tout ça, mais plutôt le pèlerinage habituel à Japan Expo.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Mi-juillet à Paris: grandes chaleurs, Fête nationale, touristes… Bon, pour nous, rien de tout ça, mais plutôt le pèlerinage habituel à Japan Expo.
Paris, 1909: dans le Paris des Merveilles, la vie suit son cours. Mais dans le premier tome des Enchantements d’Ambremer, cela ne va pas durer.
Ma dame et moi avons repris le chemin de la Japan Expo Paris, pour la première fois depuis trois ans.
Le Tamanoir aime bien mettre son (très grand) nez dans les affaires douteuses. Avec ce premier roman éponyme signé Jean-Luc A. d’Asciano, il va être servi.
Pour Les Artilleuses, on ne peut pas dire que le précédent tome se soit terminé de façon optimale. Le Secret de l’Elfe conclut cette trilogie steampunk.
Nouvelle anthologie dans le monde imaginé par Pierre Pevel, Malfaiteurs du Paris des Merveilles s’intéresse au côté le plus punk du steampunk.
Gilberto Villaroel nous avait prévenu, LORD COCHRANE REVIENDRA. C’est chose faite avec ce Lord Cochrane vs L’Ordre des Catacombes.
Paris, 1889: Tour Eiffel, spirites, assassins fantômes et superscience. C’est l’univers de la bande dessinée Naissance du Tigre.
Dans Le secret des Enfants-Rouges, de Claude Izner, le libraire Victor Legris s’embarque pour une enquête dans le Paris populaire de 1892.
Étrange petit bouquin que ce Les Ruines de Paris en 4908, d’Alfred Franklin. D’abord pour son concept, qui est résumé par le titre, mais aussi par son histoire.
Il y a quelques années, le hasard a voulu qu’à quelques mois de distance, deux blogs me parlent d’ouvrages de Gilles Thomas, spécialiste des catacombes.
Un braquage dans une banque parisienne, un objet mystérieux, le Paris des Merveilles et un trio féminin qui fait des trous partout, Les Artilleuses.
À Octogônes, j’ai croisé l’auteur uchroniste Sébastien Capelle et je lui ai pris La Pierre de la Victoire, une nouvelle qui se situe pendant la Commune de Paris.
Nouvelle année, nouvelle édition de la Japan Expo, à Paris. Cette année, c’est même la vingtième. Rien que! Ma première, c’était en 2004 au CNIT de La Défense: j’y étais allé pour faire la chasse aux illustrateurs pour Tigres Volants.
Vous voulez des contrées exotiques, du paranormal urbain et une époque pas si différente de la nôtre? Prenez Hante Voltige, de Nelly Chadour, paru dans la saison 2 des Saisons de l’Étrange et retrouvez le Paris de 1986, ses gothiques, ses cataphiles, ses manifestations et ses flics maudits.
S’il n’y avait pas eu la chronique de Lune, il y a des chances pour que je sois passé à côté de L’Effet Domino, de François Baranger. En effet, même si cet auteur (également illustrateur) est connu dans les cercles SF (avec le cycle Dominium Mundi), cet ouvrage-ci est un polar-thriller sis dans le Paris du début du XXe siècle.
Dernière livraison de la première fournée des Saisons de l’Étrange, Les Fantômes du nouveau siècle est une histoire fantastique qui se déroule en marge de l’Exposition universelle de 1900, à Paris. Oui, je sais: 1900, c’est encore le XIXe siècle, mais ici on s’en fout un peu.
Paris, 1935: des gagnants de la Loterie nationale meurent dans des circonstances étranges. Un trio de “gueules cassées” – des vétérans de la Grande guerre mutilés de la face – enquêtent, pendant que des scientifiques se livrent à des expériences étranges et que des agents étrangers conspirent dans l’ombre. Malheur aux gagnants, le dernier roman de Julien Heylbroeck, ressemble à du pulp, mais ça n’en est pas. C’est mieux que cela.
En théorie, le week-end de la Japan Expo aurait dû être studieux, avec multiples parties de Freaks’ Squeele dans l’antre des otakus. Comic-Con staïle, quoi. Ça ne s’est pas fait, du coup ma dame et moi y sommes allés en touristes.
Bon, il est une heure du matin et mon cerveau refuse de s’endormir: je vais prendre ça comme un signe qu’il est temps que j’écrive ce billet sur la soirée Freaks’ Squeele au Dernier Bar avant la Fin du Monde, à Paris.